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On s’en va 06-07/03

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Ons’en va

06-07/03

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adaptation Krzysztof

Warlikowski,Piotr Gruszczynski

traduction polonaise Jacek Poniedziatek

scénographieet costumes

Małgorzata Szczesniak

musiquePaweł Mykietyn

lumièresFelice Ross

mouvementClaude Bardouil

animations et vidéoKamil Polak

dramaturgiePiotr Gruszczynski

collaboration àla dramaturgieAdam Radecki

chargé de productionHubert Prekurat

maquillage et perruques

Monika Kaleta

régie plateauŁukasz Jóźków

assistants à lamise en scène

Katarzyna Łuszczyk, Adam Kasjaniuk

avecBartosz Bielenia,

Agata Buzek,Magdalena Cielecka,

Ewa Dałkowska,Bartosz Gelner,Maciej Gąsiu Gośniowski,

Małgorzata Hajewska-Krzysztofik,

Jadwiga Jankowska-Cieślak,

Wojciech Kalarus,Marek Kalita,Dorota Kolak,

Zygmunt Malanowicz,Monika Niemczyk,Maja Ostaszewska,Jaśmina Polak,Piotr Polak,

Magdalena Popławska,Jacek Poniedziałek,

Maciej Stuhr

durée 3:20avec entracte1re partie 1:50 entracte 20 min2e partie 1:10

directeur technique Paweł Kamionka

construction du décor

Paweł Paciorek

régie sonMirosław Burkot

régie lumièreDariusz Adamski

régie vidéoAntoni Mantorski

maquilleusesMonika Kaleta,

Agnieszka Rębecka

accessoiresTomasz Laskowski

habilleusesEwa Sokołowska,

Elżbieta Fornalska

machinistesTomasz Laskowski, Kacper Maszkiewicz

traduction françaiseMargot Carlier

surtitrageZofia Szymanowska

photographie de couverture © Magda Hueckel

MERCREDI 6 ET JEUDI 7 MARS À 20:00M A I S O N D E L A C U LT U R E - S A L L E J E A N - C O C T E A U

T H É ÂT R E

On s’en vad’après Sur les valises de Hanokh Levinmise en scène Krzysztof Warlikowski

Spectacle en polonais surtitré en français

PRODUCTION NOWY TEATR, VARSOVIE / COPRODUCTION THÉÂTRE NATIONAL DE CHAILLOT, PARIS LA COMÉDIE DE CLERMONT-FERRAND SCÈNE NATIONALE, THÉÂTRE DE LIÈGE, HELLENIC FESTIVAL, ATHÈNES, BONLIEU SCÈNE

NATIONALE ANNECY, CULTURESCAPES SWITZERLAND, BÂLE / SPECTACLE CRÉÉ À VARSOVIE LE 14 JUIN 2018

entouré de ses acteurs et actrices au talent prodigieux, issus du Nowy Teatr de Varsovie, Krzysztof Warlikowski revient à Hanokh Levin. Sa première rencontre avec l’auteur avait abouti, en 2003, à la création du spectacle Kroum, toujours au répertoire. On s’en va, plus désabusé encore, prend pour assise le texte Sur les valises, sous-titré « comédie en huit enterrements ». La communauté dépeinte est persuadée qu’il lui est impossible de continuer à vivre là et comme ça. Les personnages éprouvent de fortes envies d’ailleurs, pris au piège, qu’ils sont, de leur réalité minée par la déception. La seule destination qu’ils atteindront est la mort, lors d’un voyage qui n’aura rien d’héroïque. Cette conviction se répand dans de nombreux pays. Certains sont forcés de s’enfuir, d’autres étouffent sur place et ne voient d’autre solution que de partir, d’émigrer. Cependant, une chose leur échappe : très vite, leurs désirs se dévêtent de leur côté tragique et les font sombrer dans le ridicule et le désespoir. Dans cet univers qu’il connaît bien, Warlikowski injecte des émotions neuves, récemment éprouvées, et sublime le sourire désenchanté de Levin.

« Les départs sont ratés par nature. »Krzysztof Warlikowski

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Le côté tragique de l’existence dévore tout mon être, tout mon théâtre. Jadis, mes spectacles étaient bien plus cruels. Aujourd’hui, la distance me permet d’avoir un regard ironique, sans oublier toutefois l’aspect tragique. Mais on peut s’amuser encore. Plus nous sommes unis, plus nous constituons une communauté, mieux c’est. En fait, le seul optimisme qui apparaissait parfois dans ces spectacles, c’était au moment où toute la troupe se réunissait dans le final. C’était l’enthousiasme, l’expérience communautaire, avec l’espoir de pouvoir le transmettre et l’élargir vers le public. […]J’essaie de ne pas penser à la mort. J’avais un vrai problème avec la mort, autrefois. À présent, j’ai construit un système qui m’éloigne de cette pensée. Travail, travail, travail, travail… Faire partie d’une famille, mais uniquement de la famille théâtrale, pas d’une autre. Cette communauté que j’essaie de reconstruire à chaque spectacle, est en même temps une tentative de reconstruire une communauté réelle. Nous la renforçons tous les deux ans avec un nouveau spectacle. Nous les idéalistes, nous recherchons désespérément une nouvelle communauté qui remplacerait l’ancienne. Jadis nous avions été une communauté de personnes qui construisaient ensemble, à présent nous ne construisons pas l’avenir, nous sommes des marginaux. Les artistes sont laissés de côté, ils sont des marginaux

Extrait de l’entretien avec Krzysztof Warlikowski réalisé à Varsoviepar Piotr Gruszczyriski, traduction Agnieszka Grudzinska.À retrouver en intégralité sur bit.ly/cc-onsenva

« Lors de mes premiers départs, j’éprouvais de la honte pour le lieu d’où je venais. À un moment cette honte s’est

transformée en fierté. Maintenantla fierté a cédé la place à la rage,

à la distance et au mépris. »Krzysztof Warlikowski

Shabtaï ShousterZygmunt MalanowiczBianca, sa femmeMałgorzata Hajewska-KrzysztofikNina, leur fille Jaśmina PolakBella, leur filleMagdalena Popławska

Henia GelernterEwa DałkowskaDani, son filsJacek PoniedziałekTzvi, feu son mariBartosz Gelner

Mounia GlobchikWojciech KalarusLola, sa femmeDorota KolakZigui, leur filsPiotr PolakBobeh, la mèrede MouniaJadwiga Jankowska-Cieślak

Tsilla HoffsteterMonika NiemczykAmatzia, son filsBartosz Gelner

Motke ShoriMarek KalitaTzipora Shori, sa femmeMaja OstaszewskaAvi Shori, son frère bossuZygmunt Malanowicz

Angela Hopkins, une touriste américaineMagdalena Cielecka

La putainAgata Buzek

Alberto PinkusMaciej Stuhr

Eli Houker,Alphonse HouzliBartosz Bielenia

Le croque-mort, Le barmanMaciej Gąsiu Gośniowski

les comédiens et leurs personnages

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Votre spectacle s’intitule On s’en va. Est-ce un message adressé au gouvernement de votre pays, issu du parti Droit et justice ?C’est une manière de dire que l’on pourrait s’en aller, oui. À Varsovie, la municipalité est encore du côté du parti Plate-forme civique [PO, centre droit]. Mais si cela devait changer aux prochaines élections de l’automne, avec une arrivée du PiS à la tête de la ville, je ne sais pas ce qu’il adviendrait de ce théâtre, le Nowy Teatr, que nous avons créé dans la capitale il y a deux ans. Le PiS s’intéresse beaucoup à la culture, qu’il souhaite réorganiser et contrôler, comme il a déjà largement réussi à le faire à Cracovie et à Wroclaw.

Cette nouvelle création ne peut donc pas être dissociée du contexte politique polonais ?Non, mais en même temps, je n’ai pas eu envie de faire un spectacle directement politique : beaucoup le font en ce moment, et je m’interroge sur l’utilité de cette démarche. J’ai moi-même multiplié les prises de parole dans mes derniers spectacles, et là, j’ai eu envie de revenir au théâtre, à quelque chose de plus indirect, qui passe par l’intime. L’histoire que raconte Hanokh Levin, c’est d’abord celle d’une communauté qui rapetisse.

« Cette histoire, c’est celle d’une communauté qui rapetisse. »

Vous revenez à cette occasion à Hanokh Levin, dont vous aviez adapté, en 2005, la pièce Kroum l’ectoplasme. Est-ce un geste en soi que de monter un auteur israélien aujourd’hui en Pologne ?C’est surtout que les êtres observés par Levin ont beaucoup en commun avec ceux que l’on peut croiser en Pologne… Mais il est vrai que nous sommes dans un drôle de moment dans ce pays, avec notamment cette loi [adoptée en février] qui interdit l’expression « camps de la mort polonais », pour éviter que les crimes nazis ne soient attribués à la Pologne. Après la chute du Mur, il y a eu un gros travail de mémoire et d’histoire dans ce pays, qui se poursuit, d’ailleurs : le paradoxe, c’est qu’il n’y a jamais eu autant de livres publiés sur cette période qu’aujourd’hui, mais le gouvernement met le couvercle sur ces recherches. Le problème, c’est que le ressentiment polonais vient de cette expression simple : « les camps de la mort polonais ». Et ce ressentiment semble insurmontable. Les Polonais ont toujours eu ce fantasme d’être des héros…

Le titre original de la pièce de Hanokh Levin est Sur les valises, et elle montre une humanité qui passe son temps à s’en aller…Oui, et c’est aussi une manière de parler d’une réalité polonaise d’aujourd’hui, où beaucoup de gens partent vivre ailleurs. Cinq cent mille Polonais vivent à Londres, par exemple. Dans ce pays, depuis l’arrivée du PiS au pouvoir, de nombreuses personnes ont perdu leur poste, notamment dans la culture. Que faire quand notre pays ne veut plus de nous ? À quel point un individu appartient-il à un lieu, à un pays ? C’était déjà le problème de Witold Gombrowicz, c’est l’éternelle malédiction polonaise : l’attachement au pays et le désir de le fuir. Mais le fait que beaucoup de gens partent a aussi ouvert le pays sur autre chose : une autre communauté se forme, critique, consciente du passé.

Comment se place ce Nowy Teatr que vous avez créé en 2016 ?Le Nowy Teatr s’affirme de mois en mois comme un îlot de liberté, une sorte de forum, avec un public qui lui est très attaché. C’est émouvant car c’est exactement le rôle qu’a joué le théâtre dans la période communiste.

On s’en va signifie-t-il que vous vous en allez de Pologne ?Non, au contraire. Faire ce spectacle, pour moi qui travaille beaucoup à l’étranger, c’est justement un retour à la Pologne : en être, être parmi les autres, avec eux, dans cette atmosphère crépusculaire qui s’étend. C’est être dans l’éternel paradoxe de Gombrowicz. Je suis encore plus parti à cause de ce qui se passe dans ce pays, et encore plus revenu. Et le retour à Hanokh Levin me libère de la logique des démarches purement dénonciatrices : il s’agit d’essayer d’atteindre le plus intime, pour toucher la conscience.

Propos recueillis par Fabienne Darge en juin 2018 pour Le Monde

Mon combat pour « l’homme polonais » qui aurait de vastes horizons, qui penserait à

sa liberté, quelle qu’elle soit, à sa mémoire, qui aurait la conscience de l’avenir…C’est un travail qui n’en finit pas. […]

Krzysztof Warlikowski

entretienavec Krzysztof Warlikowski

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PHOTO ©

JEAN-LOUIS FERNANDEZ

Krzysztof Warlikowski est l’une des figures majeures du théâtre européen et appartient aux rénovateurs du langage théâtral. Il explore aussi intensément les possibilités contemporaines de la tragédie antique. Dans ses spectacles, Warlikowski ne cesse de renouveler son alliance avec le spectateur, en entraînant le public dans un processus commun de découverte de sens et de significations. Ses spectacles constituent des débats théâtraux dont le résultat n’est pas acquis d’avance. Depuis quelques années, il travaille aussi pour l’opéra où il transfère ses découvertes théâtrales pour œuvrer en faveur de la re-théâtralisation de l’opéra.Né en 1962 à Szczecin, il a mené des études de philosophie et d’histoire à l’université de Cracovie avant de s’installer à Paris pendant quatre ans où il étudie la philosophie, la littérature française, les langues étrangères et l’histoire du théâtre à l’École pratique des hautes études. Puis il revient en Pologne pour commencer des études de mise en scène à l’École supérieure de théâtre de Cracovie, où il présente ses premiers spectacles tout en continuant de parcourir l’Europe à la rencontre des maîtres incontestés de l’époque, Peter Brook et Giorgio Strehler. Ces allers-retours, ces voyages, ces rencontres, lui donnent un regard particulier sur son propre pays. Dans cette société en reconstruction, il constate une relative désaffection pour l’art dramatique et s’interroge alors sur ce qu’il convient de faire pour être plus en adéquation avec les réalités et les désirs de ces jeunes générations, qui n’ont plus à contester le nouveau régime « démocratique ». Il prend conscience que le théâtre doit devenir celui des questionnements plus intimes, en particulier sur les tabous qui persistent dans cette Pologne libre, mais profondément dominée par une Église catholique relativement conservatrice. Antisémitisme, liberté et identité sexuelle, antiféminisme, racisme, spiritualité, tout ce qui peut être dérangeant devient le champ de son intervention artistique. Depuis 2008, il dirige le Nowy Teatr (Théâtre Nouveau) à Varsovie qu’il a fondé avec un groupe de collaborateurs permanents. À partir de 2009, sans abandonner son travail sur les grands textes dramatiques, il s’engage dans une voie qui le conduit à proposer des spectacles constitués de fragments littéraires juxtaposés, organisés, venus d’auteurs aussi différents qu’Hanna Krall, Jonathan Littell et surtout John Maxwell Coetzee qui deviendra son auteur fétiche, une sorte de fil rouge qui traversera successivement (A)pollonia (2009), devenu un spectacle emblématique du règlement de comptes avec l’histoire polono-juive, La Fin* (création française à la Comédie en janvier 2011), les Contes africains d’après Shakespeare (2011), Kabaret Warszawski* (2013), Les Français*, adaptation de l’œuvre monumentale de Marcel Proust À la recherche du temps perdu et Phèdre(s)* avec Isabelle Huppert (2016).Des spectacles de théâtre mais aussi des spectacles d’opéra, puisqu’il a mis en scène dix-sept œuvres lyriques sur les quinze dernières années (Verdi, Gluck, Berg, Wagner, Stravinsky, Strauss, Tchaïkovski, Janàcek, Mozart).Ce travail en profondeur, qui ne refuse pas la radicalité, ne laisse jamais indifférent. Mais cette « perturbation » volontaire des spectateurs n’est pas pure provocation. Elle est nécessaire pour faire entendre des voix discordantes au moment où la peur de l’avenir, la peur des « autres », des étrangers en particulier, poussent à rechercher une sorte de consensus mou, réconfortant mais trompeur. Refusant un théâtre qui ne se nourrirait que de la beauté factice des images, qui n’aurait pour but que de conforter le public dans ses habitudes, qui ne serait plus qu’un produit marchand au milieu de tous les produits marchands, Krzysztof Warlikowski privilégie un théâtre de la parole, de l’échange exigeant, de la confrontation des désirs.Jean-François Perrier pour la Comédie de Clermont-Ferrand, 2015*spectacles accueillis et coproduits par la Comédie de Clermont

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CHORÉGRAPHES ASSOCIÉS

Rosalba Torres Guerrero& Koen Augustijnen

Deux artistes aux parcours professionnels très riches qui associent des sensibilités à la fois proches et complémentaires.

Avec un goût prononcé pour l’hybridation des cultures et les émotions fortes, ils recherchent la diversité, tant dans les thèmes qu’ils abordent que dans leurs rencontres avec les interprètes qu’ils

convoquent. C’est avec cette envie de s’enrichir au contact des autres qu’ils ont

accepté d’être artistes associés.

REPÈRESRosalba Anne Teresa De Keersmaeker (Rosas),

Alain Platel (les ballets C de la B),Philippe Decouflé, Krzysztof Warlikowski.Koen les ballets C de la B, Staatstheater d’Oldenburg, Konzert Theater de Bern,

Toneelgroep d’Amsterdam, Maqamat Dance Theatre de Beyrouth, Ivo van Hove.

DANSE#avecvosados #émotion

15 MARS 20:30 - 16 MARS 17:00MAISON DE LA CULTURE

(B)coproduction la Comédie de ClermontEn transposant la boxe du ring à la

scène, Koen et Rosalba en explorent toutes les facettes, de la physicalité à la psychologie, en passant par l’esthétique. Comment danse et boxe peuvent-elles se rejoindre, s’influencer ? Deux boxeurs

professionnels et sept danseurs emblématiques de la scène hip-hop

belge croisent leur énergie brute.En savoir plus sur

bit.ly/cc-KoenRosalba

METTEURE EN SCÈNE ASSOCIÉE

Nathalie BéasseDurant quatre semaines,

la Comédie accueille quatre pièces emblématiques présentées lors de la Biennale de Venise 2017, pour mieux

découvrir le travail scénique et plastique d’une artiste singulière.

THÉÂTRETRAVERSÉE D’UNE ŒUVRE

4 SEMAINES, 4 SPECTACLES EMBLÉMATIQUES

20-21 MARS 20:30happy child

Une promenade fantastique sur le fil de l’enfance perdue. « Un spectacle ludique

d’une grâce extrême. » Le Monde

26-27 MARS 20:3028 MARS 19:00 - 29 MARS 20:30tout semblait immobile

« Véritable mine de talents singuliers, vivier d’artistes hybrides, à cheval sur les

genres. Entre franche drôlerie et émotions brutes. […] Un délice. » Médiapart

2-4 AVRIL 20:30roses

Une adaptation étonnante de l’œuvrede Shakespeare. « Une jubilation en toute liberté autour de Richard III. » Libération

10-11 AVRIL 20:30

le bruit des arbres qui tombentC’est l’histoire d’une famille,

d’instantanés de vie rythmés de flashs poétiques, drôles, organiques et sensitifs. Du rire à la contemplation, s’ouvre toute

une palette d’émotions.En savoir plus sur

bit.ly/cc-nathaliebeasse

#artistesassociés

EN MARS, LES NOUVEAUX ARTISTES ASSOCIÉSENTRENT EN SCÈNE

En 2019, le duo de chorégraphes Rosalba Torres Guerrero & Koen Augustijnenet la metteure en scène Nathalie Béasse sont artistes associés à la Comédie.Pour partir à leur rencontre, cinq pièces et des rendez-vous sont programmés.

LES ARTISTES SUR LE CHANTIER, N° 20Florence Giorgetti et Robert Cantarella, Ida ou le Délire

20.01.2019 © Jean-Louis Fernandez

Depuis le début des travaux du futur théâtre de la Comédie, Jean-Louis Fernandez, photographe associé, réalise une série de portraits d’artistes

accueillis dans la programmation. Ces photographies, à suivre en ligne et dans les programmes de salle, nous plongent au cœur du chantier

à différentes étapes de la construction.

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L I C E N C E D I F F U S E U R 1 0 6 3 5 9 2

THÉÂTRE-MUSIQUE#avecvosados #curieux12-13 MARS 20:00

MAISON DE LA CULTURE

Mathieu BauerDeux spectacles pour traverser l’histoire du cinéma et

des États-Unis. Une soirée, à la façon des séances de cinémad’antan avec un entracte sur le modèle du concert-cabaret.

« Sans nul doute l’un des plus beaux hommages duthéâtre au cinéma. Jubilatoire. » — Médiapart

En savoir plus sur bit.ly/cc-unenuitamericaine

Une nuit américaine

Il était une fois l’Amérique…

BILLETTERIE ET ABONNEMENTSwww.lacomediedeclermont.com0473.290.814

#grandtexte #têtedaffiche #engagé #émotion

Parcours spectacles :composez l’abonnement

qui vous ressembleRetrouvez tous les parcours thématiques

en ligne pour vous aider à votrechoix dans la programmation.

À partir de 4 spectaclesde 10 € à 22 € la place

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Écoutez la playlist de la saisonbit.ly/lacomediedeclermont-playlist1819