I x^ “ 'œ « i 5 S‘ 3 îsbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1876_07_06_MRC.pdfgrand jour...

4
p ppi nos lüfJ-.viiiriofM iinPp^.i /iii'mi'Àtlè: i--.» » 0 m| ;<hii;K'»| ,u Meyi’|-ii iiiiV'^hliü no 1>uhii .niia'iiii /'liilvl' I \»|jüli)n»J nui; -VipV^p^UW11# ! ’VAB0NIICI|ENY > i’jl iuj» -nir. i iN l 7lir. -i ifti:; , i « n ^ r ' ; j .‘ (jiiljj'l .li hVtié'i’l t y l huSïjJjï*1 '*!,/i >1 ' < j |jio'-l»..i.»k UlûJ t l (i 't j*l • Ifuplflm ftpli’l | HlKj i'Uf'jll 1 >uoviiou II. *Mt'4ètiBï'i;i'. ni'y. ;■ > T -i* >6(1 fiüU.m '■osyiiip / hc/A ( j . y , , f p ^ i n i o / l yûOtÛfi8 »ij , ... I .1 UVJ.II 1 MOFWÉrâüMBunr, I ' V/,.v, n ' 1 O-V» 6.10 Il||;.h. J-.ifliiU -iKÉDÀOMJDR EN GHKP coü ^ I é A 1' nui j. T iim iiiljf ;r 'j' ' i l' | j' fW ^ -n .1 ,|> 'II I 'nii I x^ “" « i5‘S 3 îs Lmotiœ ^ U lipÆ ^^t/JïîîJIfîîS ïïii,, 4, j fr, M cuim : U Up» : 4# Bn pfiil» djTm , 6» cT . «J»OTl WMiWUQTS K M <*0"^ » » O in.M iiftin. il'ttkiiiakiiini z ■ “ • d* B<ÿ». IU> <|M .m lM M l à' k chaste on fu t on chnresilji on tôt M11H0 Pt-Ki DoùH*. ' Mv SCBERT I. .•Jii.Jll'JI/l Ill.iJiill'Jlii; I li: » il. ¥■ Scbprt.^puié (|euflW arrcndiçsçratnt, est mort dimanche SMUn.i dans sa soixante- troisième année, après une craelle maladie de pimienrs mois Il a ^aijju; ^ Ü tp t," jilusieuris'mois Üè sepfr frapçefptur briser.^ttenyigoureuse organir sation qui, sops des apparences un peu iréles, renfermait tant d’activité, tant de volonté persévérante, tant de puissance de travail; Qui'de üdas auréit cru, lorsque nous somiùèé allé» ldi Oirrir, aù do'hi.du Comité républicain, la çandidature dans, éon arrondissement natal, en Iq voyant si bien .portant ,pt si dispos, en i’eo|teodant,«ffirmer ses principes politiques avec tant d’énergie et tant d’éloquence fami lière, que, peu de jours après, la maladie ré duirait aaoiffflf.ft'gojte voUsl hipnjaite pour défeqdre ia cause de la liberté et pour ensei gner leiir devoir aux électçure, et terminerait pi^matarémpq| une laborieuse^yip qui pou vait longtemps encore nous servir d'exemple, ■ ta Sebert sera vivement regretté par toüs les élécteürs de notre arrondissement qui aiment la franchise, qui détestent les opjpiqns équivoques et qui étaient fiers d’étre représentés par un homme sincère dont le ; passé politique était une garantie pour l’avenir. •• - M. Sebert avait voté la République, parce que la République est aujourd'hui une néces sité, et aussi parce que c’est le meilleur des gouvernements, le plus fécond en réformes, celui qui peut le mieux nous assurer l’ordre à l’intérieur et la paix extérieure. Ayant voté la,République, il était prêt à la défendre jaussi bien contre les attaques au grand jour de ses ennemis avoués que contre les sournoises perfidies de ces politiques ~ — |.v.uu.vt> UV VW puillllf UN ntont qui n*Ont para un moment accepter les lunitùnohs nouvelles que pour mieux les -,i" : détruire. ; { ,ill n’était pas un de ces républicains d’oc casion qui, bien que compromis au service de l’Empire, espéraient tromper les électeurs Ci affichant des opinions libérales contre les- quellejs toute leur vie passée protestait j Mais il n’était pas non plus un de ces répu blicains, dont la race disparaît d'ailleurs de jopreqjour, qui ne tiennent aucun compte des circonstances, qui bouleversent tout à la fois sous prétexte de tout réformer, ot qui, violant aller trop vite, trébuchent et restent M'Chemin* Il appartenait à ce groupe de politiques honnêtes et prévoyants qui ont fondé la Ré p liq u e par horreur des révolutions .et (qui tiennent à l'appuyer à la fois su r.l'ordre* qt sur la liberté. Celte République, que certaines gens de 'qualitéféi^éent de craindre et qu’ils accusent, pûnr effrayer lesJgnorants en simulant eux- ■ftfees l’efffoi, mettre en péril, la morale, la sociétéi >1a sécurité de la patrie, cette Ré publique rassurante, grâce à des hommes jcomme M. Sebert, s’impose tous les jours de plus en plus h l’esprit des électeurs qui se donnent la peine de réfléchir Un. peu, en dépit des alarmistes intéressés ,qui prophétisent des malheurs et.dea ruipes. , Voilà pourquoi nos concitoyens ont choisi M. Sebert poiir les représenter, malgré la maladie, malheureusement trop réelle quoi qu’on en,ait dit, qui l’a empêché de parcourir notre arrondissement. On avait confiance en lui. Cette confiance, son passé la. justifiait; il ne l’aurait pas trompée. Ceux d’entre nous qui ont eu Thonnehr de l’approcher savent avec quelle ChaleUr de cœur ir S’occupait; au milieu de ses souf frances, des intérêts de ses élqçtç.ure. to’unp force, de caraçtèro . peu commune, jl lutr tait contre le mal pour recevoir ses compa- iHotos avec une affabilité charmante et pour leur donner les conseils qu’en solïicllaitl dè sa grénde expérience des affaires. ' Sa préoccupation constante, était de. re prendre assez de force pour visiter |es com munes de notre arrondissementi s’informer de .leurs besoins et. mettre son influence au service de.leurs demandes. Il y a quelques semaines, lorsque nous es^- périons une amélioration prochaine dans son état de santé, il nous disait : droits de qj^jeup trouveront une énergique et légitime prateçtiop. » , . —! * Enfin, je vajs dpnc pouvoir serrer la main à tous ceux qui ont soutenu ma candi dature avec tant de dévouement, à tous mes amis connus et inconnus. » Hélas ! cette amélioration était trompeuse ; ce n’était que le signal de sa fin. Il est mort sans avoir pu réaliser son désir; il est mort sans avojr pu représenter efficace ment à la Chambre le pays où i| était né, cê qui était sa suprême et légitime ambition; mais il nous a laissé le souvenir d’un honnête homme et d’un bon citoyen et, comme l’a dit Bossuet, « c’est une consolation en mourant de laisser son nom en estime parmi les hommes. » E. Courtier. On lit dans le compte rendu * officiel de là séance du mardi 4 juillet : M. le'président .• J*. Chambre vient de faire une nouvelle perte: II. Sebert, député de l’Oise, est décédé après une longue.maladie qqi ne; lui a pas permis de siéger un seul jour parmi nr.usi , Ancien président de la chambre des-notaires de Paris, JH. Sebert a fait partiede l’Assemblée nationale dans ..laquelle son caractère droit et élevé, ses aptitudes juridiques, son esprit libéral et indépendant lui avaient assigné une place distinguée. ; , j ,| ,.t . De tou Ut partt. Très-bien I ,lri*-bien! rfest W U ... i > i . ,| . mu ■Mi h pthidenU Nons perdqnsen lui un excel lent collègue, digne de tous nos. regrets. XIMniuw'RéWteilmid’aapiptimeut.) f i Rpè obsèques ;de MT-8èbérl,Tluro.nt lf«Bf dè- maiq mercredi s o»urantl à midi jtrès-piAjl», en l’église Saint-Sulpice. . Ilya être procédé au tirage au sort de la dé putation qui devra assister i à la cérémonie funèbre. LA LOI MUNICIPALE blée et y ont tenu une séance qui n’a pas duré 'moins de deux hedres. *< MM. Belhmont, Gambetta, Germain, Jules Ferry, Lëblond, Allain-Targé, oui successive ment pris là'parole. :( ' Trois Opinions se sont produites : PajournS- ment, la discussion de là loi municipale pleine etentière, la transaction proposée parla CommW sion municipale. La. discussion; ndfls l’avons dit, a été très longue ët fort vive ; l’entente n’a pu se faire sur un des ^rois termes que nous venons d’indiquer, et les bureaux devront soumettre de nouveau la question à leurs groupes respectifs, en leur fai sant connaître la nature et la portée des dérlara1 lions'de le président du conseil. M. Sebert est né en 1814, à Saintines (Oise) ; il était donc ôgé de 62 ans. Président de la Chambre des notaires de Paris, M. Sebert, pen dant la Commune, résista éqergiquemenl aux prétentions du délégué de la justice, qui voulait obliger les noUires à faire adhésion à la Com mune. Il figura sur la liste des candidats de l’Union parisienne de la presse, et fut élu aüx élections complémentaires du 2 juillet 1871. A l’Assemblée nationale, ,M. Sebert siégea au centre gauche dont: il a toujours soutenu la po litique républicaine. Au mbmenl des tentatives de restauration monarchique, M. Sebert dé clara à plusieurs reprises, et dans les termes les moins ambigus, qu’il « voterait sans hésitation contre les projets de restauration d’une moriart- chie tombée, il y a plus de quarante ans, soùs le poids d’une impopularité et d’une antipathie qui h’ont pas ceésé depuis, • êt décfara^u’il se prononcerait « pour lé maintien de la Répu blique et pour la consolidation des lois sage ment conservatrices sèus l’égide desquelles lés f, La Commission chargée d’examiner le projet de loi municipale devait proposer l'adoption protisoire du syslèmp que soutient.le gouver nement pour la nomination des maire», c’esj-ài- dire l'élection par les conseils municipaux^ dans toutes les communes, à l’exception des chefs-lieux de départements, d’arrondissements et de cantons; mais la majorité des trois groupçs de gauche se prononçait contre cette solution, et, pour éviter un conflit, dont tout le monde comprehd le» dangers, ses bureaux ont eu, vendredi, une entrevue avec M. Du- faure. i Le Conseil des minisires s’est réuni -le len demain, etf après une longue délibération, it a décidé le maintien dé son projet de loi, tel qu’il l’a présenté, au nom de M. le Pré-idenl de I» République. En d’autres circonstances, cette nouvelle aurait produit une assez vive impression; maie, aujourd'hui, tous les hommes politiques senfent la nécessité, pour le parti républicain, de sou tenir un ministère qui a donné tant de gagea de dévouement à la République, et ils ont pris la décision la plubsage : celle d’ajourner jusqu’à la secomle session de la Chambre une question dont la discussion serait à peu près impossible, dans l'état d’irritation où les exigences jd'espri le trop absolus ont jeté les diverses fractions de la majorité. En réalité, il n’es», pas plus urgent de trancher la question delà nomination des maires .que les autre» questions d’organisation municipale, et, puisque le gouvernement ne s’opposeipasià un ajournement de quelques mois, on ne saurait mieux faire que d’attendre, pour la discuter,ije dépôt du rapport sur l’ensemble de la loi. i, UnQ réunion de députés républicains a eu lieu chexfMu loùisiBlanc. Il: s'agissait* dè cons tituer un nouyeap groupeid'extrôme gauche^ ' . Dix-sept mqmbres étaient préqpnts. En têtant *9ra?ltKd«!jadhésibn»ienvoyées: par k * lfo ; lë nombredes adhérents s’élève à vingt-cinq. Voici leurs -noms : MM. Madier de Montjau, Edouard Ldckroy, démenceau, Bouquet, Marcou, de DouviUe-Maillefeu, Rollet, Girault, Daumas, Durand, GeorgeePérin, Duportal, Barodet, Can- tagrel, Talandier, Turigny, Maigne, Moreau, Martin Nadaud, Naquet, Ordinaire, Floqtiet, Raspail père et Benjamin Raspaih On a décidé que le groupe n'aurait pas de président et que, l’on, nommerait un délégué spécial chaque fois qu’il y aurait à n^ocier au nom du groupe. ECHOS Les bureaux et les délégués des trbis gaafches oe sont réunis dans un des bureaux dolAssem- Op a procédé, dans le conseil municipal dp Paris, 4 l’élection d’un président. M. Hérisson a été élu par 33 yoix contre 27 donnés à M. Bonnet-Duverdier. Le choix de M. Hérisson est excellent; on se rappelle les services qû’il.» rendus comme maire, de* Saint-Sulpice pendant le siège. . Ôht été.élus vice-présidents: M. Dubois, par 33 vçix sur 56 votants, et M. Asseline, par 33 sur 62 votants. Les secrétaires sont jji tribune, à '^qii s’appliquaient' les injures les explications qui lui étaient demandée», lajs- ssant ainsi .pej^f ra r, tous les /groupe da 1* r’jgauche l’injurp qu’il ayait^ lapcée 4 la tvRiun^ (jM. Carré-Kéri.souët a cru devoir fui envoyer dpux |émoins pouir lui demander, au nom du , flTo'n'pé ^ p u b l i c a î n u n e réparation par les - Nbus savons'pertinemment que l’intention de M, Carré-Kérisouët est d’obtenir la juste ré paration qu’d demandé, Il n’acceptera aucune finda non-recevoir. • Ilembre d^ la gauche républicaine et du centre gauche, M. (^rré-Kéri«ouêt a eu l’hon- heur de relever le premier le gant jeté au parti républicain par M. Robert Mitcfiell, et ce parti sait qu’il peut compter sur lui. v « Les témoins de M. Carré Kérispuêt sont : MM-i député de laLoire-Inférieure, an cien officier du génie;, et Cprentin-Guyho, dé-, puté du Finistère, avocat 4 fa çaurdecasastion. /^Pl^RobÏÏM l t c h é l l sont ; l7. le bàéon de1 Boorgôing, ancien écuÿer de l’empe reur, et M. Sarlande. • j,-— r— ocoiuiaum ouill MM. Cpllin, Bonpfrd, Levrand el Delpecb. Le sjnaic ëst M. Dëligny. On remarquait lundi, dans les couloirs de la .Chambre; les évolutions, au pmins* bizarres, de M. le .vicomte :Emmanuel i d’Ilarcourt^ secré- laire de la présidence, qui. passait alternative ment des bras de M. Paul de Gassagnac idans ceux de M. Reille et ne quittait cesibonapartirtèu notoires que pour aller s’épancher dans le* eein de Mi- Robert Mitchell. On assure qüé fé‘Jlige'd’instruction vient de rendre une ordonnancelrie, nen voirie Me>Rou4ier devant la police correctionnelle. Il tera assigné dans le oourant>de la|MraaiM prochaine. -i Nom i^ n s danp le Çourmr t « A :14 t»tilté"dtki ihcidents dë la èéaécé de lundi,‘â'.là Chdmbrè dëô"dépntéà, deé exblica- •* ' ........................ m*. - ..........r- ..... tiens ont été imméd.atemëhi'detaèh’déès ùi?M. ’Cehé-Kéélÿoütt Ï'H!* ito m '^ W lF n l les Udüioiih dyWChlttttiiti. - ' 1 . m. cfrmL&mü ^ . RobW fiM ftèheir'dè'W é} léW 6tum q u ’il 'Vèüàirde prbnbiiéer èéhs for^e'aiHferrahmh au «om enf,;dti M'.'àébrfeèé'Péifti ReriàÀAftH Pour qu’un» université existe, il suffit qu'elle ait trois facultés complètes en/exercice, j Or, l’université de Paris réunit ces conditions, comme on vp le voir. : - Elle a d’abord une faculté de» lettres, avec 7 professeurs et 30 élèves; puis une faculté de droit, avec 13 professeurs et 125 élèves, et, enfin, une faculté dp sciences avec 7 professeurs et 8 élèves. Sans ces 8 élèves-fournis par l'école ecclésiastique, des Carmes et l’école jésuitique de la.irue des Postes, la faculté des sciences n’aurait encore que des professeurs. > Les sacrifices en argent ont été énormes. -Presque partout les prêtres abandonnent une partie de leurs émoluments pour une période de dix années. Les dons, legs, produits de quêtes, etc., dans les diocèses de Cambrai et d’Arras, atteignent aujourd’hui la somme de quatre millions: Voici le nombre actuel/.des élèves : A Paris; pour les trois faculté», t6 3 ;- 4 Angers, 38; 4 Lyon, 62; à Lille, 50. En tobtai3. LA GUERRE EN iïs s rs & È M ® développé? en, po^ie,. m -H pelle la situation difficile dé ^ du» W m m oHmA 4 « l « > i e r m iM&oi .ppur wesÜi,*9|iTi IV te.petenant pa - J i ilpoodu p trj Des bandes du ^ c ^ KprJra «ti»cl9piepl ta ^erfrie A feu « ’ .(tadipger, ' niser selon On serappelleque l’Assemblée nationale avait décidé que les ex-préfets de l’empire, gratifiés d’une pension pour infirmités contractées au service nde ‘l'Etat, seraient tenus de faire* la preuve de leups prétendues infirmités en se sou mettant ài l’examen d’une commission de mé decins. • Corapie on pouvait s’y attendre, aucun de ces ■ infirmé » n’a osé affronter l’examen ira ^ * P 3 ^ .A uF8> la commission du budget a-t- PMïe(®ratél simplement supprimé le cré dit affecté au paiement de ces pensionnés. La commission a également supprimé le,cré dit poür le traitement de disponibilité qui était lo^rlai; - ; --------- H n’y a plus d'illusions 4 se fàirel Non-seulo* ment la guerre entre* la Serbie et la Turquie est déclarée, mais le Montenegre i’eta dafelghtat mis de la partie. Toutes les h é ÿ ^ H 2 f w 4 - mées avec le prince Nikiu pour le retenir dan» une sage qeutrajRé, lui «ponltnt comme rtimn#nealmn imn j . ... compensation que réification de frontières, ont échoué. • / i Devant le peuple assemblé/ le prwceédàlune proclamation annonçanf qoé la htawè eet^dé- clarée 4 la Turquie. Des crihdentknqnMtaïoiM retenti 1 On les.' entend toujours cmîon^qMsnd on fiiit .vibrer certaines cordes -patnetiMcsuat belliqueuses dans* le cceur des-fMUfdcslxiiaHs ,ne bavons que trop ce qu’il en fcoâténooarleéaA > 4'de pareils eotralnemeuts. m , | L'armée, rangés enèataUlsm étéifcaraignde 1»rteprincé Mikiln. iet ia tsçni^seÉim ilta 1 étendard sacré. Après cette cétémoRln^Ptairâ du départ , été donbé tt,mis.’sM dirigé du bôté de-1 Herzégovine, ün ;accord complet i existe entre la Serbie et le Monfentgro. i , -1 . . , i . r rv jr r tjtii etail acqordé^ üntertain nombre de préfets de l’or- .drfl dlofél, privés de leurs fonction,s et qui n’étaiérifpas dans les conditions légales. FEUILLETON (15) ET RISLER AINfi MŒURS PARISIENNES ' «IM gt «baMui fu l-AudAmie frar.oai.î, : I . , .!àn|. il. H, . :: ,.\it lutR IA rin inoqaa dr loi él ne Tenlut pis le croira. Il corn i Usail d . Jongle dite celte manie d,eon ç«n|Ml'i“l« de roir en toute ebow l'in- O/uni» pernicieuu de It remmo. Poutlant les MRdée dk Planus lui tonnaient queltitiefois à itnpHt, sartout le eoir, dans see moment.., de aolitude, quand Sidonie/partaht an théâtre atec madame Dobaon, s’en allait après tout le train de ea toilette, taiesant l'apparlement bien eide irilôt quooa longue traîne .avait patsé le seuil. .Béa.bougiee brdlaient devant les alacea; dés r objets de toilette dispersés, abandonnée. menus vuja-w uv tuneiii) uisperses, suanuonnss, disaient les caprices extravagants et les dépenses exagérées. Risler ne voyait rien de tout cela; seurërtferit, quand il entendait la voiture de GeotlgM rouler dans la tour, il éprouvait comma une impression de malaise et de froid en pensant qu’k lldtage autdeasous madame Eromnnl.passait .ira .aqirdeo^opto afule. rauvre femme I Si l -• Alors, aH llév ée se metlre air travail, il daè- ceodait doucement demander ai madame était Le A'IA'* Siècle rapporte un dernier écho de la- réception de M. Jules Simon 4-1’Aéadémie 'ftunçàise.1 - * On parlait devant M. Thiers du beau'discoun et du brillant succès de son chef d’étaLmajor : Quel joli coup asséné sur la tête de M. Buffet! — Oui, dit M. Thiers, et pourtant ce n’est pas 4 M. Buffet que,Simon avait pensé, c’est 4 Les hostilités sont ouvertes. Un a eu lieu entre Serbes et Turcs prè» de Zaitehur en Bulgarie, non loin de .Widdin. ; .r .-» -i ■ Quant 4 savoir qui a été vainqueur, o’m t rcu qu’il nous est encore iropqeaihla de iW ,, ^ dépêchés de source turque nousprepréseoteot les Serbes fuyant à toutes jan|beiViet[.b|ÛBU>t deui mille mort, ntr le btnûoiitondioiquo im télégrammes slave, assurent que,loO.ipooilioill dm Turcs ont été enlevées psr les vileunusm troupes du général Tcbmulrfr. Il faut s'attendre k cas ronMignenoiita oc», tndktoins. Nous y sommes d’aillcure dâk ha bitués. Depuis plus d’un anr Ton» eL ja m g * ont b it i l’envi mentir |o télégraphe, et peodlnl piusmura années, eu k iS r l* . em portaient les bnllailee victoires qoe l‘o««|it. les réservistes arriri liera daris CoasUstinoplo. Ilksoét ai le tronçon dé chemin dé ferqdi 'ka midi et doit1 un jour aller rejoiÛfa plus lard Bigdad. lls viehnent tuéki jodr parmll. visible, et croyait de son devoir de lui tenir compagnie. La fillette était déj4 couchée ; mais le petit bonnet, les souliers bleu» traînaient encore, de- vanl le feù avec quelques jouets. 'Claire lisait travaillait, fiyant & côté d’ellè sa mère silôn- cieuseMoujour» en train dé frotter, d’épous- sefar fiévreqsement, s’épuisant 4 souffler sur le bottier de sa,montre, et.dj* fqiàdq suite, avec cet entêtement des manies qui commencent, remettant le même ôbjet li la même p.'ace, d’uh nolil'Ataotn nnrvnnvr I r. K m .» . r> 1-1- - i__î- pelitî geste nerveux. Le brave Risler, lui hon plus, n’était'pas une compagnie bien égayante ; mais cela n’empêchait pas la jeune femme de l’accueillir aveç bonté., Elle savait tout ce qu’on disait de Sidonie dans la fabrique; et bien qu’elle n'en crût que la moitié, la vue dé ce pauvre homme, que sa femme abandonnait Si souvient, lui serrait lé cœur. Une pitié réci proque faisait'le‘fond de ces relations tran- quilles, et rien n’était plus touchant que ces qi ________ ________ ___________ deux délaissés se plaignant mutuellement et es sayant de se distraire. V Assis 4 cette petite table bien éclairée au mi lieu du saloh, Risler se sentait peu 4 peu pé nétré par la chaleur du foyer, l’harmonie des choses environnantes. Il f retrouvait • •14 'des meubles qu'il connaissait depuis vingt ans; le nor|r»it de son ancien patron, ef) sa çbére mg- Chçrche, » 'penchée près de fui .sur S ame « Cherche, » penchée près de fui sur uelques mignons ouvrages de couture, lui pa nsant plus jeune et'ptUs aimable enebre pirnii ... .plUs aimable enebrepéi loué ces vieux1 souvènirs. De temps en temps èlle, té levait’pour'aller voir f enfant* endormi Pièce A «ôté et dont le souffle Hégeret’en- tendait aux intervalle»,de sjlence. .«an», s'en rendre bien compte, Risler se trouvait mieux, Plu» phaudement que chez lui ; car certains J r T." . * r , vrai vcitaiim ours séh joli appartement, qui s’ouVrait 4 'toutu heuré pour de»'départs oü des retours .précipités, lui faisait l’effet d’une halle sans porte» ni fenêtres, livréeaux quatre venta. Chez ilui, on campait ; ici op deraçurait. Une main soigneuse disposait partout l’ordre et l’élégance. Les ctiàisé» en cèrclè avalent l'air de ‘caiiser m ira «lira 4 volk' biwk,1 la Mi' brtW)t“ïrtk àh bruit charmant, et le petit bonnet do made moiselle Fromont avait gardé dans tous Ses nœuds de rubans bleus des sourires doux et des regards d’enfant. ' Alors, pendant que Claire pensait qu’un si excellent homme aurait mérité une autre com pagne dans la vie, Risler, en voyant ce calme et beau visage tourné vers lui, ces yeux indulgents et spirituels, se demandait pour quelle coquine Georges Fromont délaissait une aussi adorable fémme. VI L INVENTAIRE La maison que le vieux Planus habitait 4 Monlrouge s’accotait contre celle où les Chèbe avaient vécu quelque temps. C’était le œêiqe étyge unique élevé sur , un rez-de-chaussée 4 trois fenêtres, le même petit jardin 4 treillage, les tpémes bordures de bbis >ërt. Le ViëuX caissier dèmënralt là aVec sa sœur. Il prenait le .pzrtajt de la station le mqer. i Ji . 4 . ..... , JéÀagi cuisine, logte la couture de la maison. Ja matin, wyenajtâ Iheure dû élner, et le di manche, restait chez lui 4 soignqi1ses fleura e ses poules. La vieille fille faitait le mééage, la couple plus Iiéüreüx: abhorrait tou» les hommes, le frère avait toutes les femme» en défiance ; avpc cela ils s’adoraient, se considérantjçhatun cpmme une exception dans la pervprsité générale de leur pexe. En parUnt de lui, ello dirait Inujmra: • Monsieur Planus ninn frèrat . et lm géecla même solennité affectueuse méfiait dq-s ■ Made moiselle Planus, ma- sœur! » au milieu de toutes ses phrases. Pour ces deux êtres timides ot natr^Puris, qu'ilu ignoraient tout en le ira- irnWfénr : Joufmllémrtit,. ul( Ilh'rkpalrodelnonii- troa do donx nipfecee oocupito a ra fain la nlua do tnal possible, et lorsqu’un <M no ooniuial nue du'ite.arftua dk quîrïltr müit W Xi ‘Uuïi'iihkcdh. (fcuraulvl dé » » Idé», accbrait dit coupable différent. l* H m A W ."Um# selle Planus ma sœur. » iJi-n* répondait E t c’était là leur éternel sujet de discussion, 4 ces heures rares de flânerie que le vieux Sigismond se réservait dans sa journée si rem- pbe.ef, réglée b'®n droit comme ses livres, de çaissé: Depuis quelque temps surtout le frère et la sœur apportaient dans leurs débats une ani- avec tant de cordialité f.,!.. Gomment était-ce /à-dessus id Plaqué dit : « J ai dasprebves... » I o t ,*"v“ ' ‘Tu8,’ ■raconla que le père Achille, ut) roif à onte Heures, avàit rebebilré Géorata' et Sidonie au moment où ils entraient aapiloyait sur madame Fromont jt„, _ vait'la conduite de ton mari tout à tait indigne, quant 4 Sigismond, il n’avait pas de mots atsex ra.aiu par, uo itiuis amers contre la drôlesse inconnue qui envoyait Éu.ï?P*yer à la caisse de» cachemires de six mule francs. Pour, lui, il y allait de la gloire et de Phonnepr de cette vieille maison qu’il ser- vâit depuis sa jeünesse jr—r - [fwneè8w. , QU’esl-cë que nous alTohs: devenir f... aelfera —■ muo uuus auons devenir r. disait-H continuelfemenL.. Oh! les ftatoiesi.. Up jour,,mademoiselle Planus tricotait près du leu en attendant ton frère. ... U couvert était mis depuis une demi-heure, et la vieille fille commençait 4 s’inquiéter d’un ‘retard aussi iUcroyablè, quand Sigismond entra, fia figure bouleversée, sans prononcer un mot, >«e qui était contraire 4< toute» »“ K-Ku-ora. Ha ........................................... .. — .. u»ro..ra..un vuu.n, OC9 habitudes, al tondit que lapprle fût bien fermée, pui devant la,mmà,interrogative et troublée dpi - J’ài du nouveau, dit-il 4 voix basse. Je pais quelle est la femme qui est en train dehbuà riltn.il. ... ruiner. Plus bas encore, aprè* un fègard circulaire aux meubles muets de leur petite salle 4 manger, il prononça un nom singulier,1si inattendu, que mademoiselle Planus se le fit répéter deux fou». Krt^p^'Wë? . ---,1 •'•«•tiw » ’»» «ir ' U Virflkèfh n’ _ —- -l’y Pouvait pas croire...' Ufià personne si bien élevée, ai polie, qui l’avait reçue tuyiiiw au m uiuttiu UU 118 6011816111 0 0 0 » 0 0 E elil hôtel garai du quartier Montmartre. E t cet omme-là ne m enait pas. On le connaissait . fi'antràa aurai 1.» depuj» longtemps. D'ailleurs, d’autrés aussi, les avaient rencontrés. A la fabrique, on ne parlait plus que de cela. Risler seul ne se doutait de rien. — Mais, c’est votre devoir de le prévenir, déclara mademoiselle Planus. Le caissier prit un air grave : Irès-déljcat... Qui sait d’abord s’il Voudrait me croire? Il y a des aveugles si aveugles... Et puis, en me mettant eritre le» 3 — o— --- j--— , vu tue iiiciuiui «nira les deux associés, je nsque de perdre ma* plaça... Dh! lesfomtoee... les femmes... Dire que ce «/u, ci aujuuiu am 7_ ,_ _____ premières maisons de Paris,,. VéùèctoVezbu’il Và se tenir tranquille!... AHVbifert. bUi.’.11 fcut que ménaieué se marie... Gonime si on Avait besoin de se marier... Et encore, il épouse une Parisienne, un de ces petits chifions mal peignée qui sont tacuine d’une maison honnête, quand il avait 14 sous la main une brayefilleà peS près de ton tee, une enfent dû payé, hbbitûèf ëh travail, et crimement charpentée, 'ôn'1peut le dire!... » . Mademoiselle Planus ma sœur* 4 la charpente de laquplle Hélait fait allusion, avait une occa» sion »u|>erbo d as’é ç r i e r ,■ Oh! les hommes... les hommes... * mais elle garda le silénce. Ceci «ûtèMIttswil... i - , L. vidai Sigismond cobtinm — Et rolli où nous en MminM... Drptiii trois moi», k.jmimière r.briquo île uiptera . ««“ i l * / o i ' n r a de Ijè iM'fkbl'çkj'nuTtyrira^ fflçt Tbllte la jbulmnijti lia I.IS nu nuTnT'im. guiohet devant lee demandée de M, Getngea. la cbukerl aj^m t n , an™, araiv..'maie garel irfrerttéfre f J. .'4U sétont'fUns feû rifrtihreceé de fin d’année... Ce qn’il r .'d .h t a IbMjiVrai Gfoœes fait des folies Ou tTé’en vk en hailsranf L me répond que'ça’rik fd r tïï moet jeune est le niettre...'VralniWiî.nei 4 croire...’ ce eenif 4 eroirai., t,iol Le eanaier n ----- « le,* . Lacairaiw^U. silence fut gros di Le vieille fille é la nlunktt dés feu cherener un lenktte «fi nhéfbnle de fi^rats.de talions vétroepectivéa. peftonne^ ________ tu lfl — Au faitv ctot unè'idé^ mond... Vous deyrivx alkr .vra s u r toei pourrait lui dit. eèt »i loin;:.' Et puis béf'Wm arriver 14... Ge malhouremtH tout de VBéme^itiAt.n Honl fc ,* i m m m È jéntsfc „„ „ „ T0K_ U « «’M wblih'fiota*»,. ____________ acheva de le décider, m,., « itraw k. DiSOBTi' •flT.fSVyOil .k uih ob

Transcript of I x^ “ 'œ « i 5 S‘ 3 îsbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1876_07_06_MRC.pdfgrand jour...

Page 1: I x^ “ 'œ « i 5 S‘ 3 îsbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1876_07_06_MRC.pdfgrand jour de ses ennemis avoués que contre les sournoises perfidies de ces politiques ...

p p p i n o s lü f J - .v i i i r io f M iin P p ^ .i /iii'm i'À tlè : i--.» » 0 m| ;< h ii;K '» | , u Meyi’|-ii iiiiV '^h liü n o 1 >uhii .niia'iiii / ' l i i lv l ' I \»|jüli)n»Jn u i; -VipV^p^UW 11# ! ’V A B 0 N IIC I|E N Y >i ’j l i u j » - n i r . i i N l 7 l i r . -i i f t i : ; , i « n ^ r ' ; ■ j . ‘ ( j i i l j j ' l . l i

hV tié 'i’l t y l huSïjJjï*1'*!,/i >1' < j |jio'-l»..i.»kUlûJ t l (i 't j*l • Ifuplflm ftp li’l | HlKj i'Uf'jll1 > uoviiou II. *Mt'4ètiBï'i;i'. ni'y. ;■ > T -i* >6(1

f iü U .m '■osyiiip / h c / A I Î

( j . y , , f p ^ in io / l yûOtÛfi8

» i j , . . .I .1 UVJ.II 1 ■M O F W É r â ü M B u n r ,

I ' V/,.v, n ' 1 O-V» 6.10 I l | |; .h . J-.ifliiU

-iKÉDÀOMJDR EN GHKP

c o ü ^ I é A 1'nui j.

— T iim iii l j f ; r ' j ' ' i l ' | j 'f W ^ - n .1 ,|> 'II I 'n i i

I x^ “ " ' œ « i 5 ‘S 3 îsL m o tiœ ^ U l i p Æ ^ ^ t / J ï î î J I f î î S ï ï i i , , 4 , j f r ,

M c u i m : U U p » : 4# „ Bn pfiil» d jT m , 6» c T . «J» OTl WMiWUQTS KM <*0"^ » » O i n . M i i f t i n .

i l 't t k i i ia k ii in i

z ■ •“ • d* B < ÿ » . IU > <|M . m l M M l à ' k c h aste o n f u t o n c h n r e s i l j i o n t ô t M11H0

Pt-Ki DoùH*.

' M v S C B E R T■ I. .•Jii.Jll'JI/l Ill.iJiill'Jlii; I li: » il.

¥■ S c b p r t .^ p u ié ( |e u flW arrcndiçsçratn t, e s t m ort dim anche SMUn.i dans sa soixante- troisièm e année, après une craelle m aladie de p im ien rs mois

I l a ^aijju; ^ Ü tp t , " jilusieuris'mois Üè sepfr f r a p ç e fp tu r b riser.^ tteny igoureuse organir sation qui, sops des apparences un peu iréles, renferm ait tan t d’activité, tan t de volonté persévérante, tan t de puissance de travail; Q ui'de üdas au ré it c ru , lorsque nous somiùèé allé» ld i Oirrir, aù do'hi.du Comité républicain, la çandidature dans, éon arrondissem ent natal, en Iq voyant si bien .po rtan t ,pt si dispos, en i ’eo|teodant,«ffirm er ses principes politiques avec tan t d’énergie e t tan t d ’éloquence fami­lière , que, peu de jou rs après, la maladie ré­du ira it a a o iffflf.ft'gojte v o U sl h ip n ja ite pour défeqdre ia cause de la liberté e t pour ensei­g n er leiir devoir aux électçure, e t term inerait p i^m atarém pq | une laborieuse^yip qu i pou­vait longtem ps encore nous servir d 'exem ple,

■ t a Sebert sera vivem ent regretté par toüs les élécteürs de notre arrondissem ent qu i aim ent la franchise, qu i détestent les opjpiqns équivoques e t qui étaient fiers d’étre représentés par un homme sincère dont le ; passé politique é ta it une garantie pour l ’avenir. ••

- M. Sebert avait voté la République, parce que la République es t aujourd'hui une néces­s ité , e t aussi parce que c’e s t le m eilleur des gouvernem ents, le plus fécond en réformes, celui qui p eu t le mieux nous assurer l’ordre à l’in térieur e t la paix extérieure.

A yant voté la,R épublique, il é ta it p rê t à la défendre jaussi bien contre les attaques au g rand jo u r d e ses ennemis avoués que contre le s sournoises perfidies de ces politiques~ — |.v.uu.vt> UV VW puillllf UNn to n t qu i n*Ont para un moment accepter leslu n itù n o h s nouvelles que pour mieux les-,i" :détru ire.

; { , i l l n’é ta it pas un de ces républicains d’oc­casion qui, bien que compromis au service d e l’Em pire, espéraient trom per les électeurs C i affichant des opinions libérales contre les- quellejs toute leur vie passée p ro tes ta it

j Mais il n’é ta it pas non plus un de ces répu­b licains, dont la race disparaît d 'ailleurs de jo p re q jo u r , qui ne tiennent aucun compte des circonstances, qui bouleversent tout à la fois sous prétexte de tout réform er, o t qui, v io lan t aller trop vite, trébuchent e t resten tM'Chemin*

Il appartenait à ce groupe de politiques honnêtes e t prévoyants qui ont fondé la Ré­p l i q u e p ar horreur des révolutions .e t (qui tiennent à l'appuyer à la fois s u r . l'ordre* qt su r la liberté .

C elte République, que certaines gens de 'qualitéfé i^éent de craindre e t qu’ils accusent, pû n r effrayer lesJgnoran ts en sim ulant eux- ■ftfees l’efffoi, m ettre en péril, la morale, l a sociétéi >1a sécurité de la patrie , ce tte R é­publique rassu ran te , grâce à des hommes jcomme M. Sebert, s’impose tous les jours de

plus en p lus h l’esp rit des électeurs qui se donnent la peine de réfléchir Un. peu , en dépit des alarm istes intéressés ,qui prophétisent des m alheurs et.dea ru ipes. ,

Voilà pourquoi nos concitoyens on t choisi M. Sebert poiir les représenter, m algré la m aladie, malheureusem ent trop réelle quoi qu’on en ,a it d it, qui l’a empêché de parcourir n o tre arrondissem ent.

On avait confiance en lui.

Cette confiance, son passé la. ju stifia it; il ne l ’au ra it pas trompée.

Ceux d’en tre nous qui ont eu Thonnehr de l’approcher savent avec quelle ChaleUr de cœ ur ir S’occupait; au milieu d e ses souf­frances, des intérêts de ses élqçtç.ure. to’unp force, d e caraçtèro . peu commune, j l lutr ta it contre le mal pour recevoir ses compa- iH otos avec une affabilité charm ante e t pour leu r donner les conseils qu’en solïicllaitl dè sa grénde expérience des affaires. '

Sa préoccupation constante, é ta it de . re­p rendre assez de force pour v isiter |es com­munes de notre arrondissem enti s’informer de .leurs besoins et. m ettre son influence au service de.leurs demandes.

Il y a quelques sem aines, lorsque nous es - périons une am élioration prochaine dans son é ta t de san té, il nous d isait :

droits de qj^jeup trouveront une énergique et légitime prateçtiop. » , .

—! * Enfin, je vajs dpnc pouvoir serrer la main à tous ceux qui on t soutenu ma candi­dature avec tan t de dévouement, à tous mes am is connus e t inconnus. »

Hélas ! cette amélioration était trom peuse ; ce n’é ta it que le signal de sa fin.

Il es t m ort sans avoir pu réaliser son désir; il es t m ort sans avojr pu représenter efficace­m ent à la Chambre le pays où i | é ta it né, cê qui é ta it sa suprême e t légitime ambition; m ais il nous a laissé le souvenir d’un honnête homme e t d ’un bon citoyen et, comme l’a d it Bossuet, « c’est une consolation en m ourant de laisser son nom en estime parm i les hommes. »

E . Co u r t ie r .

On lit dans le compte rendu * officiel d e là séance du mardi 4 juillet :

M. le'président .• J*. Chambre vient de faire une nouvelle perte: I I . Sebert, député de l’Oise, est décédé après une longue.maladie qqi ne; lui a pas permis de siéger un seul jour parmi nr.usi

, Ancien président de la chambre des-notaires de Paris, JH. Sebert a fait partiede l’Assemblée nationale dans . .laquelle son caractère droit et élevé, ses aptitudes juridiques, son esprit libéral e t indépendant lui avaient assigné une place distinguée. ; , j , | ,.t .

De tou Ut partt. Très-bien I ,lri*-bien! rfest W U . . . i > i . ,| . mu

■Mi h pthidenU Nons perdqnsen lui un excel­lent collègue, digne de tous nos. regrets. XIMniuw'RéWteilmid’aapiptimeut.) f i

Rpè obsèques ;de MT-8èbérl,Tluro.nt lf«Bf dè- maiq mercredi s o»urantl à midi jtrès-piAjl», en l ’église Saint-Sulpice.. I ly a être procédé au tirage au sort de la dé­

putation qui devra assister i à la cérémonie funèbre.

LA LOI MUNICIPALE

blée et y ont tenu une séance qui n’a pas duré 'moins de deux hedres. *<

MM. Belhmont, Gambetta, Germain, Jules Ferry, Lëblond, Allain-Targé, oui successive­ment pris là'parole. :(' Trois Opinions se sont produites : PajournS- ment, la discussion de là loi municipale pleine etentière, la transaction proposée parla CommW sion municipale.

La. discussion; ndfls l’avons d it, a été très longue ët fort vive ; l’entente n’a pu se faire sur un des ^rois termes que nous venons d’indiquer, et les bureaux devront soumettre de nouveau la question à leurs groupes respectifs, en leur fai­sant connaître la nature et la portée des dérlara1 lions'de le président du conseil.

M. Sebert est né en 1814, à Saintines (Oise) ; il était donc ôgé de 62 ans. Président de la Chambre des notaires de Paris, M. Sebert, pen­dant la Commune, résista éqergiquemenl aux prétentions du délégué de la justice, qui voulait obliger les noUires à faire adhésion à la Com­mune. Il figura sur la liste des candidats de l’Union parisienne de la presse, et fut élu aüx élections complémentaires du 2 juillet 1871.

A l’Assemblée nationale, ,M. Sebert siégea au centre gauche dont: il a toujours soutenu la po­litique républicaine. Au mbmenl des tentatives de restauration monarchique, M. Sebert dé­clara à plusieurs reprises, et dans les termes les moins ambigus, qu’il « voterait sans hésitation contre les projets de restauration d ’une moriart- chie tombée, il y a plus de quarante ans, soùs le poids d ’une impopularité et d’une antipathie qui h’ont pas ceésé depuis, • êt décfara^u’il se prononcerait « pour lé maintien de la Répu­blique et pour la consolidation des lois sage­ment conservatrices sèus l’égide desquelles lés f,

La Commission chargée d’examiner le projet de loi municipale devait proposer l'adoption protisoire du syslèmp que soutient.le gouver­nement pour la nomination des maire», c’esj-ài- dire l'élection par les conseils municipaux^ dans toutes les communes, à l’exception des chefs-lieux de départements, d ’arrondissements et de cantons; mais la majorité des trois groupçs de gauche se prononçait contre cette solution, et, pour éviter un conflit, dont tout le monde comprehd le» dangers, ses bureaux ont eu, vendredi, une entrevue avec M. Du- faure. i

Le Conseil des minisires s’est réuni -le len­demain, e tf après une longue délibération, it a décidé le maintien dé son projet de loi, tel qu’il l’a présenté, au nom de M. le Pré-idenl de I» République.

En d ’autres circonstances, cette nouvelle aurait produit une assez vive impression; maie, aujourd'hui, tous les hommes politiques senfent la nécessité, pour le parti républicain, de sou­tenir un ministère qui a donné tant de gagea de dévouement à la République, et ils ont pris la décision la plubsage : celle d’ajourner jusqu’à la secomle session de la Chambre une question dont la discussion serait à peu près impossible, dans l'état d’irritation où les exigences jd'espri le trop absolus ont jeté les diverses fractions de la majorité.

En réalité, il n’es», pas plus urgent de trancher la question delà nomination des maires .que les autre» questions d ’organisation municipale, et, puisque le gouvernement ne s’opposeipasià un ajournement de quelques mois, on ne saurait mieux faire que d ’attendre, pour la discuter,ije dépôt du rapport sur l’ensemble de la loi. i,

UnQ réunion de députés républicains a eu lieu chexfMu loùisiBlanc. Il: s'agissait* dè cons­tituer un nouyeap groupeid'extrôme gauche^ '

. Dix-sept mqmbres étaient préqpnts. En tê tan t *9ra?ltKd«!jadhésibn»ienvoyées: par k * lfo ; lë nombredes adhérents s’élève à vingt-cinq. Voici leurs -noms : MM. Madier de Montjau, Edouard Ldckroy, dém enceau, Bouquet, Marcou, de DouviUe-Maillefeu, Rollet, Girault, Daumas, Durand, GeorgeePérin, Duportal, Barodet, Can- tagrel, Talandier, Turigny, Maigne, Moreau, Martin Nadaud, Naquet, Ordinaire, Floqtiet, Raspail père et Benjamin Raspaih

On a décidé que le groupe n'aurait pas de président et que, l’on, nommerait un délégué spécial chaque fois qu ’il y aurait à n^o cier au nom du groupe.

ECHOSLes bureaux e t les délégués des trbis gaafches

oe sont réunis dans un des bureaux dolAssem -

Op a procédé, dans le conseil municipal dp Paris, 4 l’élection d ’un président. M. Hérisson a été élu par 33 yoix contre 27 donnés à M. Bonnet-Duverdier. Le choix de M. Hérisson est excellent; on se rappelle les services qû’il.» rendus comme maire, de* Saint-Sulpice pendant le siège. .

Ôht été.élus vice-présidents: M. Dubois, par 33 vçix sur 56 votants, et M. Asseline, par 33

sur 62 votants. Les secrétaires sont

jji tribune, à '^qii s’appliquaient' les injures

les explications qui lui étaient demandée», lajs- ssant ainsi .pej^f r a r , tous les /g roupe da 1* r’jgauche l’injurp qu ’il ayait^ lapcée 4 la tvR iun^ (jM. Carré-Kéri.souët a cru devoir fui envoyer dpux |ém oins pouir lui demander, au nom du

, flTo'n'pé ^ p u b l i c a î n u n e réparation par les

- Nbus savons'pertinemment que l’intention de M, Carré-Kérisouët est d ’obtenir la juste ré­paration qu’d demandé, Il n’acceptera aucune f in d a non-recevoir.

• Ilem bre d^ la gauche républicaine et du centre gauche, M. (^rré-Kéri«ouêt a eu l ’hon- heur de relever le premier le gant jeté au parti républicain par M. Robert Mitcfiell, et ce parti sait qu’il peut compter sur lui. v « Les témoins de M. Carré Kérispuêt sont : MM-i député de laLoire-Inférieure, an­cien officier du génie;, et Cprentin-Guyho, d é - , puté du Finistère, avocat 4 fa çaurdecasastion.

/ ^ P l ^ R o b Ï Ï M l t c h é l l sont ; l7. lebàéon de1 Boorgôing, ancien écuÿer de l’empe­reur, e t M. Sarlande. •

j , - — r — ocoiuiaum ouillMM. Cpllin, Bonpfrd, Levrand e l Delpecb. Le sjnaic ëst M. Dëligny.

On rem arquait lundi, dans les couloirs de la .Chambre; les évolutions, au pmins* bizarres, de M. le .vicomte : Emmanuel i d ’Ilarcourt^ secré- laire de la présidence, qui. passait alternative­ment des bras de M. Paul de Gassagnac idans ceux de M. Reille e t ne quittait cesibonapartirtèu notoires que pour aller s’épancher dans le* eein de Mi- Robert Mitchell.

On assure qüé fé‘Jlige'd’instruction vient derendre une ordonnancelrie, nen voirie Me >Rou4ierdevant la police correctionnelle. Il tera assigné dans le oourant>de la|MraaiM prochaine. -i

Nom i ^ n s danp le Ç ourm r

t « A :14 t»tilté"dtki ihcidents dë la èéaécé de lundi,‘â'.là Chdmbrè dëô"dépntéà, deé exblica-•* ' ■ ........................ m*. - ..........r-.....tiens ont été imméd.atemëhi'detaèh’déès ùi?M .

’C e h é - K é é l ÿ o ü t t Ï 'H ! * i t o m ' ^ W l F l â n l l e s Udüioiih dyW Chlttttiiti. - ' 1

. m. c f r m L & m ü^ . R o b W f iM f tè h e i r 'd è 'W é } l é W 6 tu m q u ’il

'Vèüàirde prbnbiiéer èéhs for^e 'aiH ferrahm h au « o m en f,;dti M'.'àébrfeèé'Péifti R eriàÀ A ftH

Pour qu’un» université existe, il suffit qu'elle ait trois facultés complètes en/exercice, j Or, l’université de Paris réunit ces conditions, comme on vp le voir. :

- Elle a d ’abord une faculté de» lettres, avec 7 professeurs et 30 élèves; puis une faculté de dro it, avec 13 professeurs et 125 élèves, et, enfin, une faculté dp sciences avec 7 professeurs et 8 élèves. Sans ces 8 élèves-fournis par l'école ecclésiastique, des Carmes et l’école jésuitique de la.irue des Postes, la faculté des sciences n’aurait encore que des professeurs. >

Les sacrifices en argent ont été énormes. -Presque partout les prêtres abandonnent une partie de leurs émoluments pour une période de dix années. Les dons, legs, produits de quêtes, etc., dans les diocèses de Cambrai et d ’Arras, atteignent aujourd’hui la somme de quatre millions: Voici le nombre actuel/.des élèves : A Paris; pour les trois faculté», t6 3 ; - 4 Angers, 3 8 ; 4 Lyon, 62 ; à L ille, 50. En to b ta i3 .

LA GUERRE ENi ï s s r s & È M ®développé? en, p o ^ ie ,. m -H pelle la situation difficile dé

^ d u » W m m oHmA 4 « l« > ie r m iM & oi

.ppur wesÜi,*9|iTi IV te .p e te n a n t pa -J i ilpoodu p t r j Des bandes du ^ c ^K prJra «ti»cl9piepl ta ^erfrie A feu « ’

.(tad ip g e r, '

niser selon

On serappelleque l’Assemblée nationale avait décidé que les ex-préfets de l ’empire, gratifiés d’une pension pour infirmités contractées au service nde ‘l'E tat, seraient tenus de faire* la preuve de leups prétendues infirmités en se sou­mettant ài l’examen d ’une commission de mé­decins.• Corapie on pouvait s’y attendre, aucun de

ces ■ in firm é » n ’a osé affronter l’examen ira^*P3^.A uF8> la commission du budget a-t-

PMïe(® raté l simplement supprimé le cré­d it affecté au paiement de ces pensionnés.

La commission a également supprimé le,cré­d it poür le traitement de disponibilité qui était

lo ^ r la i ; - ; ---------

H n ’y a plus d'illusions 4 se fàirel Non-seulo* ment la guerre entre* la Serbie e t la Turquie est déclarée, mais le Montenegre i ’eta dafelghtat mis de la partie. Toutes les h é ÿ ^ H 2 f w 4 - mées avec le prince N ik iu pour le retenir dan» une sage qeutrajRé, lui « p o n ltn t commertimn#nealmn imn j . ...compensation que ré if ic a tio n de frontières,ont échoué. • / i

Devant le peuple assemblé/ le prw ceédàluneproclamation annonçanf qoé la h taw è eet^dé-clarée 4 la Turquie. Des crihdentknqnMtaïoiM retenti 1 On les.' entend toujours cm îon^qM snd on fiiit .vibrer certaines cordes -patnetiM csuatbelliqueuses dans* le cceur des-fMUfdcslxiiaHs

,ne bavons que trop ce qu’il en fcoâténooarleéaA > 4 'de pareils eotralnemeuts. m , |

L'armée, rangés en èataU lsm étéifcaraignde 1 » rtep rin cé Mikiln. iet ia t s ç n i^ s e É im i l t a 1 étendard sacré. Après cette cétémoRln^Ptairâ du départ , été donbé tt,m is .’sM dirigé d u bôté d e -1 Herzégovine, ü n ; accord com plet i existe entre la Serbie e t le Monfentgro. i , - 1 . . ,

i . r rv j r r tjtii etailacqordé^ ü n te rta in nombre de préfets de l’or- .drfl dlofél, privés de leurs fonction,s et qui n’étaiérifpas dans les conditions légales.

F E U I L L E T O N (15)

ET R ISLER AINfi

M ΠU R S P A R I S I E N N E S

' « I M g t « b a M u i f u l-A udA m ie f ra r .o a i . î ,: I . , .!àn |. il . H, . ::

, . \ i t

lu tR I A r in inoqaa d r loi é l ne Tenlut p is le croira. Il corn i Usa il d . Jongle d ite celte manie d ,e o n ç«n |M l'i“l« de ro ir en toute ebow l'in- O/uni» pernicieuu de I t remmo. Poutlant les MRdée dk Planus lui tonnaien t queltitiefois à itnpH t, sartout le eoir, dans see moment.., de aolitude, quand Sidonie/partaht an théâtre atec madame Dobaon, s’en allait après tout le train de ea toilette, taiesant l'apparlement bien eide irilôt quooa longue traîne .avait patsé le seuil..Béa.bougiee brdlaient devant les alacea; dés

r objets de toilette dispersés, abandonnée.menus vuja-w uv tuneiii) uisperses, suanuonnss, disaient les caprices extravagants et les dépenses exagérées. Risler ne voyait rien de tout ce la ; seurërtferit, quand il entendait la voiture de GeotlgM rouler dans la tou r, il éprouvait comma une impression de malaise e t de froid en pensant qu’k lldtage autdeasous madame Eromnnl.passait

.ira .aqirdeo^opto afule. rauvre femme I Si

l -• Alors, aH llév ée se metlre air travail, il daè- ceodait doucement demander ai madame était

Le A'IA'* Siècle rapporte un dernier écho de la - réception de M. Jules Simon 4-1’Aéadémie

'ftunçàise.1 - *On parlait devant M. Thiers du beau'discoun

et du brillant succès de son chef d ’étaLmajor : Quel joli coup asséné sur la tête de M. Buffet!

— Oui, d it M. Thiers, et pourtant ce n’est pas 4 M. Buffet que,Simon avait pensé, c’est 4

Les hostilités sont ouvertes. Un a eu lieu entre Serbes et Turcs prè» de Zaitehur en Bulgarie, non loin de .Widdin. ; .r .-» -i ■

Quant 4 savoir qui a été vainqueur, o’m t rcu qu’il nous est encore iropqeaihla de i W , , dépêchés de source turque nousprepréseoteot les Serbes fuyant à toutes jan|beiViet[.b|ÛBU>t d eui mille m ort, n t r le b tnûoiitondioiquo im télégrammes slave, assurent que,loO.ipooilioilldm Turcs ont été enlevées p sr les vileunusm troupes du général T cbm ulrfr.

I l faut s'attendre k cas ronMignenoiita oc», tn d k to in s . Nous y sommes d’aillcure d â k ha­bitués. Depuis plus d ’un anr T on» eL j a m g * ont b i t i l’envi mentir |o télégraphe, e t peodlnl piusmura années, eu k i S r l * . e m ­portaient les bn llailee victoires qoe l‘o « « |it .

le s réservistes arririliera daris CoasUstinoplo. Ilksoét ai le tronçon dé chemin dé fe rq d i 'ka midi e t doit1 un jou r aller re jo iÛ fa plus lard Bigdad. lls viehnent tuéki

jod r p a rm ll .

visible, et croyait de son devoir de lui tenir compagnie.

La fillette était déj4 couchée ; mais le petit bonnet, les souliers bleu» traînaient encore, de- vanl le feù avec quelques jouets. 'Claire lisaittravaillait, fiyant & côté d ’ellè sa mère silôn- cieuseMoujour» en train d é frotter, d’épous- sefar fiévreqsement, s’épuisant 4 souffler sur le bottier de sa,montre, et.d j* fqiàdq suite, avec cet entêtement des manies qui commencent, remettant le même ôbjet li la même p.'ace, d’uhnolil'A taotn nnrvnnvr I r. K m .» . r> 1-1 - - i__î-pelitî geste nerveux. Le brave Risler, lui hon plus, n’était'pas une compagnie bien égayante ; mais cela n ’empêchait pas la jeune femme de l’accueillir aveç bonté., Elle savait tout ce qu’on disait de Sidonie dans la fabrique; et bien qu’elle n'en crût que la moitié, la vue dé ce pauvre homme, que sa femme abandonnait Si souvient, lui serrait l é cœur. Une pitié réci­proque fa isa it'le ‘fond de ces relations tran- quilles, et rien n ’était plus touchant que cesqi ________________ ___________deux délaissés se plaignant mutuellement et es­sayant de se distraire. V

Assis 4 cette petite table bien éclairée au mi­lieu du saloh, Risler se sentait peu 4 peu pé­nétré par la chaleur du foyer, l’harmonie des choses environnantes. Il f retrouvait • • 14 'des meubles qu 'il connaissait depuis vingt ans; le nor|r»it de son ancien patron, ef) sa çbére mg-

Chçrche, » 'penchée près de fui .surS ame « Cherche, » penchée près de fui sur uelques mignons ouvrages de couture, lui pa­nsant plus jeune et'ptUs aimable enebre pirnii. . . .plUs aimable enebrepéi

loué ces vieux1 souvènirs. De temps en temps èlle, té levait’p o u r'a lle r voir f enfant* endormi

Pièce A «ôté et dont le souffle Hégeret’en-tendait au x intervalle»,de sjlence. .«an», s'en rendre bien compte, Risler se trouvait mieux, Plu» phaudement que chez lui ; car certainsJ r T." ■. * r , vrai vcitaiimours séh joli appartement, qui s’ouVrait 4

'toutu heuré pour de»'départs oü des retours .précipités, lui faisait l ’effet d ’une halle sans porte» ni fenêtres, livréeaux quatre venta. Chez ilui, on campait ; ici op deraçurait. Une mainsoigneuse disposait partout l’ordre et l’élégance. Les ctiàisé» en cèrclè avalent l'air de ‘caiiser m ira «lira 4 volk' biwk,1 la Mi' brtW)t“ ï r t k àh bruit charm ant, et le petit bonnet do made­

moiselle Fromont avait gardé dans tous Ses nœuds de rubans bleus des sourires doux et des regards d ’enfant. '

Alors, pendant que Claire pensait qu’un si excellent hom m e aurait mérité une autre com­pagne dans la vie, Risler, en voyant ce calme et beau visage tourné vers lui, ces yeux indulgents et spirituels, se demandait pour quelle coquine Georges Fromont délaissait une aussi adorable fémme.

VI

L INVENTAIRE

La maison que le vieux Planus habitait 4 Monlrouge s’accotait contre celle où les Chèbe avaient vécu quelque temps. C’était le œêiqe étyge unique élevé sur , un rez-de-chaussée 4 trois fenêtres, le même petit jardin 4 treillage, les tpémes bordures de bbis >ërt. Le ViëuX caissier dèmënralt là aVec sa sœur. Il prenait le

.pzrtajt de la station le m qer.

i Ji. 4. .. . . . , JéÀagi

cuisine, logte la couture de la maison. Ja

m atin, w yenajtâ Iheu re dû élner, et le di­manche, restait chez lui 4 soignqi1 ses fleura e ses poules. La vieille fille faitait le mééage, la

couple plus Iiéüreüx:

abhorrait tou» les hommes, le frère avait toutes les femme» en défiance ; avpc cela ils s’adoraient, se considérantjçhatun cpmme une exception dans la pervprsité générale de leur pexe.

En parUnt de lui, ello dirait Inu jm ra : • Monsieur Planus ninn frèrat . et lm g éec la même solennité affectueuse méfiait dq-s ■ Made­moiselle Planus, ma- sœur! » au milieu de toutes ses phrases. Pour ces deux êtres timides ot natr^Puris, qu'ilu ignoraient tout en le ira-

irnWfénr: J o u fm llé m r t i t , . u l ( Ilh 'rkpalrodelnonii- troa do donx nipfecee oocupito a r a f a in la nlua do tnal possible, e t lo rsqu ’un < M n o oon iu ial n u e d u 'i t e . a r f t u a dk q u î r ï l t r m ü i t W X i

‘U uïi'iihkcdh . (fcuraulvl d é » » Idé», accbrait dit coupable différent.

l* H m A W • ."Um#selle Planus ma sœur. »iJi-n* répondait

E t c’était là leur éternel sujet de discussion, 4 ces heures rares de flânerie q u e le vieux Sigismond se réservait dans sa journée si rem- pbe.ef, réglée b'®n droit comme ses livres, de çaissé: Depuis quelque temps surtout le frère et la sœur apportaient dans leurs débats une ani-

avec tan t de cordialité f.,!.. Gomment était-ce

/à-dessusid Plaqué dit : « J ai dasprebves... »

I o t ,*"v“ ' ‘Tu8,’ ■ raconla que le père Achille, ut) roif à onte Heures, avàit rebebilré Géorata' et Sidonie au moment où ils entraient

aapiloyait sur madame Fromont jt„ , _vait'la conduite de ton mari tout à tait indigne, quant 4 Sigismond, il n ’avait pas de mots atsex ra.aiu par, uo itiuisam ers contre la drôlesse inconnue qui envoyait Éu.ï?P * y er à la caisse de» cachemires de six m ule francs. Pour, lui, il y allait de la gloire et de Phonnepr de cette vieille maison qu’il ser- vâit depuis sa jeünessejr—r - [fwneè8w. ,

QU’esl-cë que nous alTohs: devenir f ... aelfera

—■ muo uuus auons devenir r.disait-H continuelfemenL.. Oh! les ftatoiesi..

Up jour,,mademoiselle Planus tricotait près du leu en attendant ton frère.. . . U couvert était mis depuis une demi-heure, et la vieille fille commençait 4 s’inquiéter d ’un

‘retard aussi iUcroyablè, quand Sigismond entra, fia figure bouleversée, sans prononcer un mot, >«e qui était contraire 4< toute» »“ K-Ku-ora.

H a ............................................ . — .. u»ro..ra..un vuu.n , OC9 habitudes, al tondit que lap p rle fût bien fermée, pui

devant la,mmà,interrogative et troublée dpi

- J’ài du nouveau, dit-il 4 voix basse. Je pais quelle est la femme qui est en train dehbuàriltn.il. ...ruiner.

Plus bas encore, aprè* un fègard circulaire aux meubles muets de leur petite salle 4 manger, il prononça un nom singulier,1 si inattendu, que mademoiselle Planus se le fit répéter deux fou».

K r t^ p ^ 'W ë ?. ---,1

• ' • « • t i w » ’»» «ir' U V irflkèfh n ’_ — - -l’y Pouvait pas croire...' Ufià

personne si bien élevée, ai polie, qui l ’avait reçue

tuyiiiw a u m u iu t t iu UU 118 6011816111 0 0 0 » 0 0

Eelil hôtel garai du quartier Montmartre. E t cet omme-là ne m en a it pas. On le connaissait

. f i 'a n tr à a a u ra i 1.»depuj» longtemps. D'ailleurs, d’autrés aussi, les avaient rencontrés. A la fabrique, on ne parlait plus que de cela. Risler seul ne se doutait derien.

— Mais, c’est votre devoir de le prévenir, déclara mademoiselle Planus. ’

Le caissier prit un air grave :Irès-déljcat... Qui sait d’abord s’il

Voudrait me croire? Il y a des aveugles si aveugles... E t puis, en me mettant eritre le»3 — o— --- j--—, vu tue iiiciuiui «nira lesdeux associés, je nsque de perdre ma* plaça... Dh! lesfomtoee... les femmes... Dire que ce

« /u , ci aujuuiu am 7_ ,______premières maisons de Paris,,. VéùèctoVezbu’il Và se tenir tranquille!... AHVbifert. bUi.’.11 fcut q ue ménaieué se marie... Gonime si on Avait besoin de se m arier... E t encore, il épouse une Parisienne, un de ces petits chifions mal peignée qu i sont tacu ine d ’une maison honnête, quand il avait 14 sous la main une brayefilleà peS près de ton tee , une enfent dû payé, h b b itû è f ëh travail, et crimement charpentée, 'ôn '1 peut le d ire! ... » .

Mademoiselle Planus ma sœur* 4 la charpente de laquplle Hélait fait allusion, avait une occa» sion »u|>erbo d a s ’é ç r i e r ,■ Oh! les hommes... les hommes... * mais elle garda le silénce. Ceci

«ûtèM Ittsw il... i - ,L . vidai Sigismond cobtinm — Et ro lli où nous en MminM... Drptiii

trois moi», k .jm im ière r.briquo île uiptera . ««“ i l * / o i ' n r a de

Ijè iM 'fkbl'çkj'nuTtyrira^fflç t T b l l t e la j b u lm n i j t i l i a I .IS n u n u T n T 'i m .guiohet devant lee demandée de M, Getngea.

la cbukerl a j^m t n , an™ , araiv..'m aie garel irfrerttéfre f J. .'4U sétont'fUns feû rifrtihreceé de fin d’année... Ce qn’il r . ' d . h t a IbMjiVrai

Gfoœes fait des folies Ou tTé’en vk en hailsranf L me répond que'ça’rik fd r t ï ï m oet jeune est le niettre...'VralniWiî.nei 4 croire...’ ce e e n if 4 eroirai., t,iol ’ “

L e e a n a ie r n ----- « l e , * .Lacaira iw ^U . silence fut gros di

Le vieille fille é la nlunktt dés feu cherener un lenktte «fi nhéfbnle de fi^ ra ts .d e talions vétroepectivéa.

pefto n n e ^ ________

t u lfl— Au faitv c to t u n è 'id é ^

m ond... Vous deyrivx a lk r

™.vra sur toeipourrait lui d it .eèt »i loin;:.' Et puis béf'Wm arriver 14... Ge malhouremtH tout de VBéme^itiAt.n H on l f c , *

i m m m È

jéntsfc „„ „ „ T0K_ U« «’M w b lih 'f io ta * » ,.____________acheva de le décider, m ,., «

i t r a w k . D iS O B T i'•flT.fSVyOil

. k

u ih ob

Page 2: I x^ “ 'œ « i 5 S‘ 3 îsbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1876_07_06_MRC.pdfgrand jour de ses ennemis avoués que contre les sournoises perfidies de ces politiques ...

Se»'

a m

qui vont donner, n de rb U n i

«gil» , Bobres,llo ta» ’«*brU cotn«*de8

Dès njouid 'lifiiailp Turquie a sous les eranos106.000 honm ea bien équipés et bien armés. Avant qutoie Jéa re , ee chiffre sera porté à350.000 homnffeé.. -^ '.T

L’agence Haras nous communique la note

« Noue croyons savoir que le (con8eil des ministres qui a été tenu aujourd’hui à Versailles s'eot spécialement entretenu des nouvelles rela- tivœ à i’ô rien t.

« Il résulte {de toutes les informations reçues que la politique d'abstention et de noo-inter-v rention a les plus grandes i hances d 'ètre adoptee e i^n Ô q n é e p a r l’ensemble des puissances euro­péennes vis-à-vis des coinplicalions orientales. jEn.tofltcas^oèlte.politique fe?t celle d« gouver- jMidehtifrançais; il y restera uniquement et invariaWemept «Uaché. •

L’incertitude sur l’issue de la lutte se com- pïiqiM d’une incertitude non moins grande sur. S O ^ é ^ L li , sur l’attitude des puissances euro­péennes.•u L'Autriche; qui cfamptétant de Slaves parmi ses süjetslës moins dévoués, souhaiterait sans douté le isucçès dès1 Turcs ; mais elle est liée par ses voisins.r < Là Rassie est partagée entre la politique de

. ’Soii pnnCe. qùi se regarde avec quelque raison ‘m tà ttà l’arbitre et la défenseur de la paix euro- ’péehh^ et les aspirations panslavistes qui ■aÿlétttla nation, et qu i se traduisent en ce mo- 'm enl àVecuéfe angulière vivacité.

L'Âdgleteriè qui se pique d ’èlre la première 'pnimancé mnsulmaUe du monde et qui a long- teibpn conSid^é l'intégrité de l’empire ottoman ■icÀt&ty'iâà ^ée tio fr de vie et de m ort, ne peut

, *M iÜ r à sés protilgés un appui énergique sans • â q a e r dë provoquer une intervention non

''moins puissants eh sens contraire.*''' ''L ’ÀU'ànagné attend dans.une sorte de neutra­

lité mystérieuse; l ’italie se réserve; la France <s’cst Voué! pour longtemps au recueillement.

COURRIER DE.VERSAILLES■ r .

Séance du lundi 3 juillet.LA CHAM BRE

QüeUc séance I et comment raconter les tristes scènes d o n t la- Chambre aujourd’hui nous a 'donné le spectacle?J .:: H t Gambetta adressait à H. le ministre de la .-guerre une interpellation relative aux faits qui >eea0n t récemment passés anx examens écrits de i'Ecole polytechnique. Un certain nombre, peut-être même une certaine catégorie de can- didats, ont eu connaissance du sujet de compo- «ilion de géométrie descriptive; la chose est

La fin de oettèaecondq riposte de M. Gam- betta ne se passe point su is quelques violences encore. Comme M. Tristan Lambert oohlinue de s’agiter et d’intehtompre, M. Gambette, dont les mains se promènent nerveusement sur le rebord de la tribune, trahissant l’impatience fiévreuse de l’oratoqr, réplique à toutes lès in- terruptiops, è t d it qu ’il en sera toujoure ainsi quand on voudra; ‘

A nous ne savons quelle insinuation qui vise H. Gambetu, celui-ci répond : — Vous falsifies les textes; affaire d 'habitude 1 — Quels textes? quels textes? crie M. Tristan Lambert. — Vous avez falsifié le texte avec lequel vous avex dé­claré la guerre et perdu le pays! Les bonapar­tistes entrent en une fureur nouvelle, mais cette fois la réplique ne vient pas.

U , Robert Mitchell, le héros de cette tem­pête parlementaire, tient à la finir comme il l’a commencée. Il rient déclarer è la tribune que si M. Gambetta ne veut pas laisser insulter sa République, ses amis et lui ne laisseront jamais insulter l'Empire. E t alors le tum ulte recom­mence, les cris repartent de plus belle ; les bo­napartistes menacent la gauche , menacent le ministère, crient à M. de Marrère qu’il a prêté serment à l'Empire, qu’il était magistrat sous l’Empire, et tout cela avec une telle force et d ’un air de telle fureur que le ministre de l'in­térieu r'se lève et va demander la parole, et qu’à côté de lui M. Dufaure, le vieux specta­teur de tant de batailles parlementaires, a peine à se contenir et à ne pas laisser éclater le senti­ment qu’inspire ce débordement de violences sans nom.

Et cependant t f . Grévy regarde, et semble ne découvrir personne qu’il puisse rappeler à l’ordre. L’embarras du choix, sans doute ?

Il n’y a plus rien en discussion ; pourquoi M. Grévy laisse-t-il M. Mitchell monter à la tribune?

Sous prétexte de s’expliquer sur une ques­tion personnelle, — quelle question personnelle peut-il voir dans le mot pourriture impériale? — il déclare qu’il ne laissera pas insulter l’em­pire, et il fait l’éloge de l’empire.

La gauche indignée se lève e t proteste.— A l’ordre 1 à l’ordre! crie-t-on au pré­

sident.Avant de terminer, M. Mitchell dit qu’on

l ’accuse à tort de vouloir déconsidérer la Répu­blique. « C’est une besogne à laquelle nous n'avons nul besoin de nous mêler. ■

Les cris : A l’ordre! recommencent.M. Grévy prononce une petite semonce qui

ramène encore à la tribune M. Mitchell; c’est aux députés de la gauche qu’il s’est adressé.

— Je somme M. Mitchell, réplique M. Périn, de désigner ceux des membres de la gauche qui déconsidèrent la République. \

M. Mitchell se tait.M. Grévy qui, pendant toute la séance, a

oublié qu’il y avait un décret de déchéance, trouve que M. Mitchell n’a pas outrepassé son droit, e t enveloppe dans un bl&me commun les interrupteurs qui troublent la séance et font dévier la discussion.

on t maintes fois déclaré, et hier «ncora, qu’ils fou leraien t devant aucune tentative pour

déconsidérer la Chambre, » etquela proportion de M. Robert Mitchell lui a tout l’a ir d’uae ten­tative de ce genre. Voilà les bonapartistes -furieux.

Un des leurs, M. Sarlande, déposa alors une demande de scrutin sur la question préalable.

-6 on but est d'étaler aux yeux du pays un effec­t if important et de grosrir le chiffre des bona­partistes du nombre de leurs alliés.

Qu’arrive-t-il? C’est que les iégitiiqistes, hon­teux de se compromettre à ce point, s’abstien­nent. M. Sarlande a beau courir tous les bancs,. il ne frit qu’une maigre récolte. Rarement ma­nœuvre parlementaire tourna si bien contre' ses auteurs ; ils restent seuls, tout seuls.

Pour. . . . . 362 . ( îContre . . . . 73 !

G’est une défaite piteuse pour le bonapartisme militant. A droite, MM. Janvier de la Motte fils et de Gùilloulet reprochent amèrement à M. le duc de Bisaccia sa défection e t celle de ses amis. A gauche et au centre, on rit.

Sur le rapport de M. Robert de Massy, la Chambre a validé ensuite, raqs débat, l'élection de M. de la Rochejaquelem dans l'arrondisse­ment de Bressuire (Deux-Sèvres). On a voté en­suite divers projets de loi spéciaux, et, l’ordre du jour étant épuisé, la Chambre s’est ajournée

jeudi.

Cette interpellation, M. Gambetu la présentait «n term es des plus mesurés, réclamant une enquête faite par les ministres de la guerre et de l’instruction publique, avec le concours de membres de la Chambre et du Sénat, pour qiie l ’impartialité n’en pût être mise en doute, pour que l'autorité en fut absolue; faisant remarquer ce que la situation de certains professeurs, examinateurs ou répétiteurs payés par l'Etat gagnerait, aux yeux du public, à ne pas se par­tager entre l’Ecoleet des institutions particulières e t demandant la cessation de ce cumul au prix même d e sacrifices budgétaires.

m:<.Aux frémissements de la droite, l’orateur <venaitde signaler'que l’Ecole de la rue des Postee avait eu l’heur de connaître le sujet de la coaiposition, et il faisait remarquer que, l’an derotM^déjà, le proviseur d’un de nos lycées,

-aiMli par un élève, écrivit au directeur de rBoole; polytechnique...• m**- Cfétait avantlaRépublique ! crie M. Robert Milébelli‘ ^ 1- "

E t les bonapartistes de rire.Qq se récria à gauche, où l’on voyait l ’inten»

tion ironique dé M. Mitchell. — Soyez tran- qtiiUdÇ fit alora M. Gambetta qui paraissait Joui à fait noaltrç de lui, je vais répondre. Et, p e n n i .aèa mots, mais avec un frémissement intérieur qui se laissait deviner, l'orateur, re­gardant les bonapartistes bien en face, et de cette voix superbe qui est la voix des indigna­tions oratoires, leur jeta cette riposte : ■ C’était e^H épuhtfque; car depuis 1870, grâce à Dieu, nous sommes débarrassés de la pourriture im- péèialfcf » L’indignation rie pèse point ses mots, ét^id ^ parlementaire que fût celui-là, il pro- yoqug.sur les bancs de gauche une explosion f a û d â b le d e bravos. /i Air bru it furieux de ces bravos, qui dura bien sÉnséntèriruption dix grandes minutes, les bo- naparjistes bondirent, s’agitèrent, levant les h r ^ M gringolant les étages, se poussant les

criapt tous ,à.i* f°is» quelques- uns même hurlan t e t se démenant comme de véritables possédée. Lee xnots'M plus violents,

sgÉfoeé injures éorUiént dé toutes ces ' 1 tons ces b f o faisaient dès geèteé de JairiaW-nous ne vîmes 1 de spèctacle

i l ; M- d e ^ u il le u te t semblait vouloir, tout ftrsilfudèCM eagoac père avait retrouvé savaix fbribénde des grands jourè do Gorpe légis-

M. Rouheè était affolé, M. Haentjens ges-

c ^ le Uynpèle déchaînée p«r ou» du * » ùuIm i calme n p e rb e , lennioa « a diMonia

) anquAle. M. de C i**, r«- * 1. * . Weddinglon appuya

liant tu tl b ile Articulés ce bliMDleuU connaitaaienl

U ion tour pour difendre l a .1 Dt t ire ' un peu II

i demandait la le-

e rue dï> Poelee .vd*: miniairev'il éb.eyiM'.'fl

dl ITest-ce point tua.

ê s tq u '

L E SÉNAT

Au début de la séance, nous assitons an dépôt d’un grand nombre de rapports.

Depuis le début de la séance, on racontait qu’un débat très vif s’était engagé à la Chambre des députés sur l’incident de l’Ecole polytech­nique, et l'on était impatient de peuvoir quitter le Sénat afin d ’aller faire un tour chez le voisin, Mais M. Depeyre a pensé qu’il devait jouer une petite comédie. Il a feint d'ignorer que le mi­nistre de la guerre était retenu à la Chambre des députés pour répondre à une question de M. Gambetta, et il est venu interroger le ministre des finances sur le même sujet. Le prétexte est bien simple. M. Depeyre veut aussi que l’on dise :

« On accuse l’Ecole des postes ! Voyez ! C’est M. Depeyre, un ami intime des jésuites, qui demande l’enquête ! »

Cela est bien simple, mais cela eft bien vieux comme jeu, d’autant plus que M. Depeyre a eu tort de venir une heure après M. Gambetta I

Quoi qu’il en soit, le sénateur clérical a’est correctement acquitté de sa l&che. U ne s’est pas emporté et a demandé avec une grande sim­plicité à connaître le coupable et qui avait bé­néficié des indiscrétions commises.

M. le ministre des finances a répondu que l’enquête se poursuivait, et que bientôt on serait fixé.

L’affaire s'est terminée ainsi.

mm*fég ifo parlementaire, c’eét le . honnête et loyal d«e Assemblées, c’eet le droit,’ ut la justice, c 'a it la liberté

Mais, d it le XIX* Siècle, la tribune français n'est pas déshonorée pour ri peu. Elle en p, d ’ailleurs, entendu bien d’autres, et cela, au plus beau temps de l’éloquence parlementaire.P Nos plus grands orateurs, Berryer en tète, et l’impassible. M* Guizot lui-même, n 'ont pas toujours su retenir sur leur lèvres un m ot mal­heureux; pourquoi exigerait-on davantage de M. Gambetta?

Pourquoi, surtout, tenir ri peu de compte des provocations incessantes dont il est l’objqt' dût qu’il parait à la tribune? Certes, il était impossible de mettre plus de réserve, plus de calme et de retenue dans le développtmeut du cette interpellation au ministre de la guerre. El pourtant M. Gambetta a été interrompu neuf (pis en moins d’un quart d'heure, ayant ds perdre patience.'

Notez, en o u tre , que les bonapartistes n'étaient pour rien dans l’affaire, ce qui ne les a pas empêchés de s« signaler au premier rang des interrupteurs. La République non plus n’était pas en jeu ; il s’agissait d’une question intéressant la morale et la conscience publique il semblait donc qu’il n’y eût pas matière à surexciter l’esprit de parti. Mais les bonapar­tistes voulaient un scandale; ils l’ont eu.

Seolis, sous U présidence do M. le Maire, le 9 Billet courant, à WI» heure e t demie de l'après-

midi. dans la grande sàlle de l'ancien Evêché, pour le compte-rendu des travaux de l’année, e t la distribution des récompenses qui ont été méritées par les élèves des Cours d ’adultes.

Les deux Sociétés n)u*icale et chorale ont bien voulu promettre leurs concours pou r cette cérémonie.

Journée du mardi A ju ille t.

LA CHAM BRE

La séance a été mauvaise pour les bonapar­tistes, et il est probable qu 'elle leur servira de leçon. La Chambre leur a prouvé qu'elle était lasse de leurs plaisanteries, et elle les a traités comme ils le méritent. Elle n’est plus disposée à se laisser ennuyer par les loustics qui, depuis quelque temps, semblent avoir piis le comman­dement en chef de là bande.

M. le président Grévy annonce çu 'il a reçu de M. Marceu une proposition invitant M. le garde des sceaux à rechercher et à trad lire devant la juridiction compétente les auteurs et les com­plices du coup d’Etat de 1851. Cet e proposition devait être renvoyée à la Commission d’initiative, puisque son auteur ne demandait pas l’urgence; mais messieurs les bonapartistes, pour frire les braves, l’ont réclamée avec ostentation.

• > Nous voulons vous donner la temps de préparer votre défense! » s’est écrié spirituelle­ment un député de la Gauche, et l’urgence a été repoussée à une^rande.majorité.

A peine cette affaire est-elle terminée que M. le président donne lecture d 'une autre pro­position de loi qu’un bonapartiste quelconque vient de déposer entre ses mains : « La Chambre dès députés décide la mise en accusation des auteurs et complices du 4 Septembre. »

M. Robert Mitchell donne lecture d’une troi- àième proposition, tàut à frit gaie, celle-là.

• Seront compris parmi lea complices du 2 Décembre , les huit millions d ’électeurs qui, etc), les candidats *t fonctionnaires qui ont prêté Muvnént'àretri ire. » "I, M. Robert Mitchell frit de la politique am u­sante. La sentiment général esllabonnehum eur; néanmoins, i l en est q b l se fichent, M. la Uortttf deChoiseol est de'oeux-dà.

H dégringole de sa place e t réclame l’urgence pour avoir la dre it 'dli, dèttàndèr \A qaestlon préalable, • parce que certains de Me collègues

OE DROITE EJ DE GftUCHEL a collation des g rades.

La commission sénatoriale qui est chargée d’examiner le projet de loi relatif à la collation des grades, a choisi pour rapporteur M. Paris.

M. Paris est, comme la majorité de la com-ission, partisan du etatu que; son rapport

doit conclure au rejet de la proposition minis­térielle et au maintien de la loi de 1875: On savait, d ’ailleurs, que les commissaires élus étaient en majorité contraires à l’adoption de la loi qui a obtenu les suffrages de la Chambre des députés ; on ne sera donc point surpris de cette nouvelle. On ne doit pas non plus en être effrayé.

Dans une Chambre qui est partagée en deux moitiés presque égales, les décisions des com­missions ne sont pas toujours des préjugés irré­sistibles et des arrêts sans appel. Nous espérons que le Sénat ne se croira pas obligé de partager l’avis et de ratifier la sentence des représentants de ses bureaux.

On dit que les honorables membres qui ont chargé M. Paris de rédiger le rapport se préoc­cupent surtout d’en finir vite, de ne pas infliger au public et aux familles les ennuis d’une trop longue attente. C’est un louable sentiment.

Mais, à ce compte, on pouvait aller plus vite encore, on pouvait nommer M. Paris rappor­teur dès le lendemain du jour où la commission était élue, et M. Paris pouvait écrire son rapport en moins de vingt-quatre heures. Tout ce qui pouvait être dit en faveur de la loi de 1875 et du jury mixte a été exprimé, répété, nous n’osons dire ressassé, avec autorité par (e* évo­ques, avec vivacité par la presse, avec une fer­meté de style toute lapidaire par les auteurs de pétitions qui inondent depuis deux mois les bureaux du Sénat.

Il n’y a qu’à puiser au hasard dans ce flot d'arguments, flot monotone, d ’ailleurs, et peu entraînant. On aura beau faire, ni l’éloquence de la tribune, ni celle de la presse, ni même l’éloquence des signatures ne fera que le 'ju ry mixte soit autre chose qu’un moyen presque infaillible de baisser le niveau des examens.

U n scandale.

Le lecteur sera sans doute curieux de savoir comment les organes bonapartistes accueillent le mot de pourriture impériale lancé dans la Chambre des députés par M. Gambetta.

Nous lisons dans le Paye ;

• La République a été traités de fumier.■ Et le président de la Chambre a été obligé

de tolérer le mot, ayant toléré le mol qui avait amené ces représailles.

« Quel gouvernement a jamais été réduit à cet état d’impuissance, qn’uns paroilloépitbète pût lui être impunément appliquée?

• Fumier et République, ces deux choses accolées ensemble se trouvant dans le Journal officiel et s’y trouvent à leur place naturelle, sans que personne ait la droit de trouver qu’il y a un excès de langage.

• Encore deux ou trois séances comme celle- là, et le gouvernement républicain aet défini­tivement conspué et déshonoré. »

On le voit, c’est tout bénéfice pour le parti bonapartiste. A force de provocations, il se frit un gros m ot; qu’importe? A pourriture impé­riale il répond : fumier républicain, et il se droite les mains.

L’Ordre, organe de M. Rouher, est encore moins calme et, chez lui, la fureur domine l’ironie.

« Quant aux « pourritures • qu’expectore M. Gambetta, dit ce journal, les amis de l'illustre dictateur lui font, de son propre aveu, avaler assez de crapauds pour qu 'il bave de la sanie. C’est à M. Grévy, le président de la Chambra des députés, à prendre les mesures de propreté nécessaires pour que la grande Assemblée radi­cale ne soit point, à période fixe, infectée des déjections du candidat à la future p résignes de la République. >

Un autre article de l’Ordre débute ainsi t

« M. Gambetta — qui est un ignorant e t un sot — a débité hier à la tribune de la Chambre des députés des stupidités — qui naturellement ont été applaudies p ar loue les crétine— soyons parlementaires — de la gauche.

« Voilà le ton sur lequel nous devons désor­mais polémiquer avec les champignons vénéneux du parti républicain qui parlent de pourriture et qui doivent s’y connaître, puitque c’eet leur couche habituelle. »

Décidément, la modération set uns belle chosel .

On devine le but poursuivi par les bonapar­tistes, ces éternels ennemis ds notre honneur et de hotre liberté. Ce qu'ils veulent déshonorer, os n 'est pas seulement U République, c*est le

S tab ilité .

Hier, dans Paris, le drapeau des Etals-Uuis flottait à plus d’une fenêtre : glorieux drapeau, qui signifiait, en 1776, Liberté, et qui signifie, en 1876, Stabilité. Depuis cent ans, nous ne connaissons que trois gouvernements qui aient duré :

La République des Etats-Unis;La République helvétique;E lla monarchie constitutionnelle du royaume-

uni des Iles Britanniques, qui est une répu­blique aristocratique, présidée par un chef .h é­réditaire.

La guerre de sécession, d it l’E cta , l’assassinat de Lincoln, peuvent-ils être mis en regard de 1789, 1793, 1798, 1814, 1815, 1830, 1848, 1851, 1870,1871?...

Qu’est-ce que le Sonderbund suisse, comparé aux journées de Berlin, de Dresde, aux fusil­lades de Rastadt (1848)?

Qu’esl-ce que telle émeute irlandaise ou oran- giste, rapprochée de la seule répression des dé- cabrittes de Russie’

Que sont les désordres des Etats-Unis, de la Suisse, de l’Angleterre, des pays bataves ou belges ou Scandinaves, de tous les pays libres en un mot, comparés aux révolutions de l'Au­triche, de l'Italie, de l'Espagne?

Saluons donc ce glorieux centenaire de la République américaine, qui nous enseigne une fois de plus que Liberté ost synonyme de Star bilité.

TOliVELLES DEPARTEMENTALESL e « lé n e m b iN s m c u i d e l a

p o p o l a S l s n cm 1 8 7 9 .Le ministère de l’intérieur a transmis aux

préfets des instructions en vue du dénombre­ment quinquennal de la population en France, qui doit être exécuté dans le courant de l’année prochaine. Les dépenses locales de cette opéra­tion étant à la charge des communes, le mi­nistère a invité les maires à inscrire au budget communal la prévision nécessaire péur faire face à ces dépenses.

A Paris, les frais de dénombrement opéré en 1872 se sont élevés en moyenne, par mai­rie, à 4,700 fr., soit 95,000 fr. pour les vingt mairies; il faut y ajouter 45,000 fr. pour im>

■ions et personnel de l'administration cen­trale. ■— Total, 140,000 fr. environ.

Pour 1877, ori prévoit que la dépsnse sera plus élevée, à cause de l’accroissement de la population, qu’on suppose s’être augmentée de 11 0/0 depuis 1872.

Si celle dernière prévision est exacte, la po­pulation de Paris dépassera, en 1877, le chiffre de 2 m illions, qu’elle n’avait pas encore atteint.

T h m b p r a d e s q u i t t a n c e * .

La direction du timbre et de l’enregistrement vient de rappeler au public que les timbres

■ C h * u t i l l y . — Dimanche dernier, le chef i lu train n* 665, le sieur Boret, en sautant du train encore en marche, à la gare de Chantilly, est tombé si malheureusement que son corps a été lancé sur la voie; le train lui a passé sur le corps en le mutilant affreusement; la tête était entièrement détachée du tronc.

C r é p j . —. Le hameau de Bouillant, — commune de Crépy, ■*-- qui est situé au fond d ’une vallée étroite, a été très éprouvé par l’orage du 22 ju in . Le sieur Godard, jardinier-maraî­cher, a eu son j f rdin couvert par les eaux ; les deux tiers de ses légumes sont enfouis sous des terres descendues des pentes voisines. Il 'subit une perte d’enViron 1,500 fr.

On cite un grand nombre d'autres habitants qui ont également beaucoup perdu : MM. Ri­che, père, Léguillon, Géjrard, Meunier, Lecocq, Hasard, de la Hante, Godard (Auguste), Picard.

La foudre est tombée à 'plusieurs reprises sur le clocher de là vieille' égliàe, dite l’église Saint- Thomas; elle est tombée également sur le télé­graphe du chemin de fer, chez M. Flotte et dans le jardin du sieur Varmier.

A Rouville, presque toutes les maisons ont. été inondées.

A Ormoy-Villers, la foudre est tombée sur la ferme du sieur Grangé.

A Feigneux, le tonnerre a consumé une meule de foin, et c’est pour M. Gilquin, maire, une perle de 3,000 fr. Beaucoup d ’autres proprié­taires ont eu aussi leurs maisoûs dévastéée par l’inondation.

On signale encore, parmi les communes qu’a frappées l ’orage, celles de Fresnoy-la-Rivière, Russy-Besmont, Vfcunaoise, Vauriennes, Vez.

B r * a e n * n « i l l e . — On nous écrit :

Monsieur le Rédacteur,

Le petit village d ’Ermenonville, si agréable et toujours si fréquenté par de nombreux tou­ristes, avait, le dimanche 25 juin, une anima­tion toute particulière.

Les sapeurs-pompiers de celte commune étaient, par leur chef, appelés à concourir enlrVux par l’exécution des manœuvres de leur pompe, lesquelles sont si souvent incomprise» dans les petites localités.

Depuis deux mois, cette petite compagnie, malgré les fatigues des nombreux travaux de la saison, n’a pas cessé les exercices presque quo­tidiens que réclamait leur chef; aussi, la satis­faction a-t-elle été générale.

A 2 heures et demie, un nombreux public encombrait !a place du village, une vaste tri­bune était occupée par les membies honoraires de la société de secours mutuels de sapeurs- pompiers et par un jury composé d’un lieute­nant de la compagnie de Sentis et des chefs des subdivisions de Baron et de Nanteuil-le-llau- douin.

Après trois heures d’exercice, sous un soleil très ardent, cinq prix, d’une valeur totale de 140 fr.,on t été délivrés aux plus méritants,

Ges prix avaient été spontanément oflerts par les notables du lieu.

Puisse, cette cérémonie toute locale, être imitée par tous les officiers de ce corps si utile.

y Un de vos abonnés.

L a i f a e v i l l e . — La veuve Derolpot, ménagère, a trouvé très-simple de se procurer du cidreçtff^fvin. Pendant q u e ls sieur Sor- telle, dont la demeure est contiguë à la sienne, faisait des absences, la femme Derolpot prenait une échelle et descendait dans la cour du sieur Sortelle, de là dans la cave où elle puisait aux divers barils. Tant va la cruche à l’eau qu’elle se casse et un beau jour Sortelle a surpris en flagrant délit sa voisine, qui honteuse et confuse, se vit dresser procès-ver bal.

S * l o t - M * x i * i l * . — Des outils de car­riers, déposés dans U carrière du sieur Verdin, ont été soustraits dans la nuit du 26 au 27 juin. On ne' connaît pas le voleur.

^!" .—1 coaluiionafe, tout M a cariadéchiré, m eurtri, mai, m u inU llipnce reparaît par inauula, «lia, parle m im a quelquefoia; on eepére la aaurar, g rie* a u i bons soins qui lui aont prodigués. Touteietioeeocom, celle entant aat l’objet de tjmpalbleo de tope; ara qualiléa extraordinaires depuis longtemps déjà l'araiem (bit remarquer et placer, dans l'école, é la téta de toulea ses compagnes. Puises ce noureau et si terrible exemple sentir de leçons aux paraota e t aux enlanlsl Le* parents surtout, h a m atins et maltresses d e rn ie n t sans cesse rappeler, dans les familles et dans les classes, les prhautlona k prendra contra ces sortes de dangers si commons et si faciles a éviter. (7e«m a!*a l ’A uiuJ.

INFORMATIONS

V a n e le a * f * v . — Le 27 ju in , dé» ouvrier» du sieur Gilant, entrepreneur de charpentes,

mobiles de dix centimes placés au bas des manœuvraient une chèvre pour la changer dequittances doivent être oblitérée au m o,eo da f r H W P , » . ” «la signature de celui qui donne décharge et de *■” ■"* “la date de l’oblitération; une croix ou une barra ou même la date ne suffisent pas, la si­gnature est obligrtoire.

Le jeudi 29 juin ont eu lieu à Sentis lez exa­mens pour le certificat d ’études primaires. Ce» examens étaient présidés par M. Boucher, ins­pecteur des écoles, assisté da MM. Chartier, de Caix de Saint-Aymour, Frémy, Dupuis, Chai- min, Margry, membres de la délégation canto­nale de Sentis, et de MM. les Instituteur» du canton, réunis à l’occasion du concours can­tonal.

Sur quinze élèves inscrit», trois ont subi, avec succès, les épreuve» écrite» et le» épreuve» orales. Ce sont, par ordre de mérite :

I* Calais (Eugène), de Sentis,2* Vanier (Charles-Alexandie), d’Ognon,3* Chabod (Charles), de Sentis.

Dix jeunes filles se sont également présentée». Cinq d’entre elle» ont été jugée» dignes du cer­tificat d’études. Ce sont, par ordre d’admis­sion :

l a Mallet (Blanche), de Saint-Firmin,2* Prévost (Maria), de Sentis,3* Frank (Jeanne), d’Orry-la-Ville,4* Heurteux'(Angèle), ds Saint-Firmin,5* Lefèvre (Joséphine), de Sainl-Fjrmin.

B — î é i é « T l M t r o t lM B f f é a ë r a l *nz l ’azuoudissemsut n i sem is

La réunion annuelle en assemblée générale de la Société d’instruction générale aura lieu à

trouvait sur un m iir , perdit l’équilibre, et tomba dans le parc d’une hauteur de 10 mètres. La mort fut instantanée. Cet homme est le nommé Brûliez, couvreur; il ne travaillait que depuis deux jours à réparer la couverture d ’un m ur de la sucrerie de Vauriennes.

I f o r f c e r i * . — M. 0 . Dumas, propriétaire à Saint-Nicolas-d’Aliermont, p ris Dieppe, était possesseur de l’obligation partant le n* 532,065, emprunt de 1865. Le 16 juin, il a pu lire dan» tous les journaux que ce numéro venait de sor­tir le premier au tirage accompli la veille à Paris et donnant droit à la prime de 150,000 £ .

M. 0 . Dumas est un ehfant de Verberie, qui s’est fait, dans l’horlogerie de marine, à Paris d’abord, et ensuite à Saint-Nicolas-d’Atiennent, où il a transporté ses ateliers, une réputation justement méritée. Il était le continuateur de feu M. Motel, de Compiègne, k qui son talent dans l'art des chronomètres marins avait valu, sous Louis-Philippe, la croix de la Légion d ’honneur.

Le Journal de Charleroi raconte qu’un acte de sauvagerie a mis en émoi, samedi soir, la commune de Moçceau-sur-Sambre. Un homme, sous l’empire d ’tiûe surexcitation alcoolique, ou dans un moment d ’aliénation mentale, a teinté d’égorger sji'femiûe avec un rasoir. C’éét en* bri- ' sant un carreau de la chambre où elle se trou^ vait avec son enfant et én se laissant tomber dans la rue, qu’elle a pu échapper à une mort certaine. Les blessures qu’elle a reçues ne met­tent pas ses jours en danger. Le coup du hlsoir qui était destiné à lui couper ta g&rgè lui a en­levé un doigt de la main gauche; [C’&q ub se­cond coup qui Ini a ouvert le brnsi Que se pas­sa-t-il lorsqu’elle eut échappé? On lignoie! Mais lorsqu’on pénétra daus la demeure, Ten- fan tqu i parait avoir été la cause innocente de cette tragédie était étouffé. H était encoreVtiaud et portail autour de l'abdomen de noihbfôiWe* ecchymoses et des contusions ^jui ne iaiteént aucun doute sur la nature de sa inort. (ie pèré avait assouvi sa rage sur lui. ' ' .

• les couM t>8 'rfdiibMlt11 'I J ** ; I Avant-hier, disent les journaux ^*'.tj,yon)

pendant un court orage qui a: éclàié véTs iiüatré h eu re , la foudre e t tombée edr la caserne dé la Part-Dieu : sept cuirassiers et trois ouvrière civils ont été atteints plus eu moins grièyeiqent. M. Foch, médecin major du (I* cuirassiers, leur prodigua de» secoure.

Un des ouvrier» civils est assez fortement contusionné ; deux cuirassier», Vincent et Ga- ‘ " i, assez gravement blessé», ont été trans­

portés à l’infirmerie.Un autre coup de foudre a tué une femme

sur le pont Lafayette.

LA GUILLOTINE EN , ANBRIQUB ;

Un fermier des environs de Lafryette (Itv- diana) qui était las de Ia ,vie, ;M. James Al Moore, vient de faire choix d ’un singulier genre de suicide. Il s’est rendu à Lafayette dans, les ateliers de MM. Harding et fils, fabricants de machines, et, s’étant fait’ remettre une 'haché des plus tranchante» et des poteaux en bois, U s’est construit une véritable guillotine; la haché était retenue par une corde au milioti de.la? quelle était jupe cjundetiè q u i, e n f l a n t , devait arriver à mettre lé feu à la corde el faire ainsi tomber le couperet improvisé.

Ces préparatifs terminé», M. Moore àà ltiim é la chandelle en question et la mise en position ; puis il s’est hé les pieds avec de» courroies qu’U avait préalablement vissées au plancher et, après s’être mis sous le nez de la èuate imbibée de chloroforme, il a attendu le coup frtaL

Quand où l’a découvert, son expérience avait réassi : la tête était abselument séparée du tronc. ' ,y ■ ■ -

Un fort tremblement de terre a eu lieu à Corinthe et dans les villages environnants. Plusieurs maisons ont été renversées, lea autres menacent ruine. Les habitants sont en ifuite. Des rochers se sont détachés des montagnes.

Le Progrès de VOrne raconte que M fo Le- febvre, femme de l’adjoint au maire de.Mesnil- Ciboult, .vient d’être tuée par un laurean.

Cette malheureuse était allée .déni: son her­bage pour y chercher ses vaches. Le taureau sa jeta siir elle, l’éventra et la dépouilla littérale­ment deseseffels.

Ce n’est que deux heures aprèé qu 'on troüty son cadavre, pré» duquel le taù reai était rtaféL

Mme Lefebvre laisse six e n h n ts ,‘dont l 'iln é a dix ans.

Chatiau-T b ie m y . — Dimanche dernier dans la soirée, une petite fille du Ménl-de-Bon- neil, Natalie Boitel, avait été envoyée par parents dans un pré peu éloigné de la maison, pour y chercher un àne que le père de famille avait conduit lui-même. La pauvre enfrnt eut l’imprudence de rouler autour de son bras le licou de ranimai* et bientôt, ne pouvant plus retenir l'Ane, qui s'enfuyait et ruait, elle tomba, Ait entraînée au milieu des pierres brutes, des ornières et des aspéritésdes terres et du chemin; heureusement une femme du hameau vint passer de ce côté, elle trouva l'enfant inanimée, méconnaissable e t baignée dans son sang; son bras tenait encore la longs, e t l’ftne paissait tout près d’elle, dans un fossé qui borde la routé. Aujourd’hui l’cnfrnt vit encore; sa tête

On vient de pêcher à Ploumanac’h (Finistère)une anguille posant 38 kilog. et demi. Ce poisson a été vendu 50 fr.

On écrit de Toulon à la Politique :

Un événement des plu» inattendus a jeté J e désarroi, depuis uqe semaine, dans la tplqfqe clérical de notre ville. Mercredi dernier, l ’un des plus anciens banquiers de Toulon, frisant partie du cercle çatholiqua de potre^vi/le, a été arrêté inopinément sous la prévention d’abus de confiance. Ce banquier, l’un des pins fermas soptiens de T ordre moral à. Toulon, frisse un passif de onze cent mille francs /nviron. Un grand nombre de membres du cercle catholique sont victimes, parati-ii, de cette catastrophe financière.

Une nouvelle qqi intéressera le high l i ft .. Vous n’avez certainement pas onbiié lord

Hamilton, don» le luxe et l'élégance firent tant de bruit il y a quelques années. • H •

Lord Hamilton vient de dire adieu Su mondq. Donnant sa démission d’èfffcierlpu 11* hus­

sards anglais, il entre cotUnie aumônier au coq- vent de» Carmélites à Kenseington.

11 vient ds mourir à l’hospice de Bioêtre un homme qui était en proie à une aberration .mentale des plus singulières. C’était un soldat nommé Henri Duhamel, qui avait, été blessé k la tête à la, bataille de Buzénvahsa blessure s'était promptement cicatrisée, mais depuis.ee moment, il se croyait mort.

Quand on lui demandait des nouvelles de sa santé, il répondait : « Vous voulez savoir com­ment va Duhamel ? le pauvre garçon I il a élé tué d’un coup de feu dans la tête à BuxenvaL Ce que voqi voyez là n'est pas Duhamel; c'est

Page 3: I x^ “ 'œ « i 5 S‘ 3 îsbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1876_07_06_MRC.pdfgrand jour de ses ennemis avoués que contre les sournoises perfidies de ces politiques ...

M O K J »

» f"? ■DMBuehUiB^iu’iU o n t f t i l à n raM mblanco; «M it bien mal faite, vous dovries les '^ fr iP & 'A iire u n o a u tro . • t l; iamaifl. en parlant dé lui-même, il ne disait / a ou moi, mais txl», Souvent il tom bait dans ,U(n êU t complet d’immobilité et d'insensibilité, qui durait plusieurs jours. La sensibilité était complètement éteinte «bez lu i, car on pouvait lui appliquer des vésicatoiresou des sinapismes, loi pincer les bras et les jambes, sans qu'il mabifestfct la plus petite souffrance.

Le Patriote d'Angert publie ce qui su it :« On s'en retenait beaucoup, il y a quelques

jours, dans les environs de Saumur, de l’ar* restation d e vicaire de Milly, canton de Gennes.

-« Nous n'avons pas voulu annoncer un f tit aussi grave sapa prendre des informations sé­rieuses: aujourd'hui nous pouvons donner la nouvelle comme certaine.

« La justice demanderait compte à M. le vi­caire de certains actes d'immoralité dont il élajt d'ailleurs hautement accusé par la rum eur puîilique.

« M. l ’abbé a été écroué à Saumur. •

Les journaux donnent des renseignements sur un terrible accident arrivé en Espagne le 24 juin. Le train-courrier de Barcelone à Saragosse se trouvait k midi cinquante, entre Cervera et Tarrega, dans une courbe e t sur un /em blai de 14 mètres de hauteur, lorsque le cinquième wagon du train dérailla, rompit ses attaches

s eelui qui le précédai t et se plaça en travers r^e . d n q ÿ s v ô i tu r^ qui suivaient dé- jrt/à Içurtow V fuient pfécipitéea de cette

LyanUf hjtutéur de-11 imèti^s, et! allèrent se v en & o r 0 ^ d ^ p a 'a r e l ^ l i m orts; il

■ e s t 'd tp x , up bonim ent qne femme, dont on q*a pd rerenoaltre l’identité. Douxe voyageurs ont été grièvement blessés et 'A i plus légère- m ent; vingt autres ont été contusiotmés.

f in affreux accident a émit hier, après midi, entre quatre et cinq heures, un des quartiers

. * de Boulogne.Mil. Nortier frères, mécaniciens, quai du

Bassin, 16, avaient reçu de l ’administration des ' travaux publics (ponts-el-chaussées) une torpille

ayant été immergée déjà lors du naufrage du C karht Dickens et que chacun croyait inoffen- eive, remplie de vase ou d ’eau de mer. Plusieurs fois auparavant, MM. Noriier avaient été charges d ’effectuer la même besogne que celle que l’on réclamait d ’eux, c’est-à-dire couper en piulieurs parties des torpilles du même modèle, e i jamais le plus petit accident, le moindre danger n'avait été constaté.

Avec la confiance la plus entière, le travail Bit donc confié à un jeune ouvrier de 18 ans, nommé Achille Valence, demeurant rueJein- ville. Le brave garçon s’installa à son étau, se mit k scier en deux l’enveloppe métallique. L'opération était presque terminée, lorsque, cédant à un mouvement d'impatience, Valence voulut en finir et achever avec le marteau ce que la scie avait si bien commencé; il porta la tor­pille sur l'enclume et la frappa d ’un seul coup.

Aussitôt une explosion épouvantable se pro­duisit: les vitres de l’atelier sautèrent en éclats, iét le malheureux Valence, pour ainsi dire pul­vérisé, fut dispersé en lumbeaux dans toute la

>.pièce.Toute la partie du corps faisant face & l'en­

clume avait dUparu ; on voyait l’épine dorsale, le foie; une épaule démontée touchait l ’autre par derrière, une jam be était brisée, la tête

f f ïT W r - r r W T T - T - r - T — m iu i i iT Z I M :

/ / . • l '( , l U o l i i i r ' ' uM fniiiloii .r.:!?seule n'avait p u été alteinte. L’atelier, qui oc­cupe un espace considérable, était couvert de débris sanglants. , . > ,

C’était quelque chose d ’horrible qüe lé visage intact de oe péuvre jeune homme, tout k l’heure si plein de santé, ayant encore toute l’apparence de la vie a l ouvrant des yeuit vils sur les resU sd’on corps absout.

Op. prête au général de Gissey l’intention d ’interdire désormais les steeple choses mili­taires.

Les gravés accidents survenus, il y a quel­ques jours, aux courses de Rouen, ne doivent! pas être étrangers k celte déterminaison.

Voilà une question toute dlactualité par la chaleur torride qu 'il fait. Sait-on combien le service de, l’arrosage public occupe actuellement de cantonniers à Paris ? 3,500 gagnant de8 fr. 50 à 4 fr. par jour. La plus grande partie de ces travailleurs est disséminée sur les bou­levards et aux Champs-Elysées, et ces endroits sont à peu près fxclusi veinent arrosés au moyen de pompes à la main. Dans les rues, 881 ton­neaux dits d’arrosage fonctionnent depuis huit heures du matin jusqu’à six heures du soir.

LA BARONNE DE SAINT-POCHABD

Encore une célébrité à la mer!Mme la baronne de Sainl-Pochard est morte

subitement hier, dans le quartier dé la place Maubert, où elle était connue depuis plus de vingt ans.

Cette dame— dont le nom était MmeEtwling — appartenait à la haute aristocratie anglaise; elle avait un air de grandeur et de dignité rare, et était toujours vêtue avec une certaine élé-

mce. 'Sa passion dominante, irrésistible, était de

s'enivrer, non dans lesecretde son appartement, mais dans les plus ignobles cabarets.

Elle ne buvait que de l’eau-de-vie et de l ’ab­sinthe, et souvent l’ivresse l'avait entraînée à des foUeis et k des excentricités qui dépassaient toute permission ; aussi était-elle connue dans tous les postes de police des ravirons.

Ce sont ses camarades d» comptoir, pour la plupart chiffonniers ou balayeurs, qui lui avaient donné ce joli surnom de Baronne de Samt- Pochard.

Elle était excessivement riche, mais sa famille veillait seulement sur elle pour lui envoyer une forte pension, car, en vertu de ce principe de la liberté anglaise que chacun est maître de ses actes, on ne contrariait en rien ses penchants.

11 y a deux ans, elle rencontra un soir, dans un cabaret, un étudiant de quarante-cinquième année, nommé Couturier, et connu au quartier Latin sous le surnom de Jésus-Christ. Il h t sa conquête, comme buveur émérite d ’abord, et comme chanteur de chansons à boire ensuite.

Elle l’éponsa et tous les jours ils se grisèrent ensemble.

Il y a six mois, son mari mourut misérable­ment des. suites d ’une combustion instantanée après une trop forte absorption d ’alcool. La ba­ronne afiligée noya davantage son chagrin dans l’absinthe.

Cette étrange femme occupait rue Maubert, 47, un bel appartement dans lequel elle vient d'être trouvée morte, comme son m ari, par suite de ses funestes abus d’alcoolisme.

Les loups pullulent daus la Grande-Charnié (Maine-et-Loire). Mercredi, un de ces carnas-

«era eet -, « l ié ,d m un champ do la ferma de la Lande, commune de Chamroecf, a pria dana m gueule un jeune poro de 25 kil. e t a pu l’em­porter; malgré la truie ftirieuao qni a voulii lui djaputey sa pregénilure, maia n ’a pu lui durai lâcher prise-.

EXéCDTION

On noua écrit de Bordeaux ; ,■ Pascal, l’asstsein de Méry, a subi le châti­

ment qu’il (méritait.' On se souviqpt (que ce misérable et son complice, aidée par tine fille de mauvaise vie,! avaient assassiné un jeune homme dé dix-huit ans nour le voler. Ces deux derniers ont été condamnés aux travaux forcés à perpétuité. Quant à Pascal, lundi, 8 juillet, pn présence d’une foule nombreuse, il a satisfait à la justice humaine. >

UN HÉRITAGE DE 100 MILLIONS

Voici, en France, le pendant de l ’affdi.re Tichborne, moins cependant l’accusation de faux et de subornation. Il y a plus de quatre- vingts ans, mourut aux Indes un certain Bu- bois, qui, après avoir exercé de hautes fonctions, laissait à ses héritiers unè fortune assez consi­dérable. La période d ^ c u s e que l’on traversait alors entrava singulièrentêhl li« recherches, et, lorsqu’on fut à même de les poursuivre plus activereen}, les héritiers avaient été dispersés de tous les côtés par la tempête révolutionnaire.

Ce ne fut pourlant pas l’absence, mais plutôt la foule des concurrents qui embarrassa la ju s­tice. Qes quatre coins de la'France, les' Dubois accpururent et Dieu sait combien nous en possédons. Tous fondaient sur l'héritage, bien déterminés à n’en pas lajsser trace. Et voilà les juges de feuilleter leurs,papiers et d’établir des filiations à perte de vue. Bien peu y conser­vèrent leurs cheveux; quelques-uns faillirent en perdre la tête.

Aucun des candidats ne parvint à établir sa parenté d’une manière assez évidente.

Si les frais de procédure marchaient, lez ca­pitaux marchaient encore plus vite et faisaient boule de neige. Les intérêts composés s'acca^' mulaient, les masses d’or s'accroissaient d ’une façon inquiétante et l'Etat seul paraissait devoir les engloutir dans ses coffres, car l’époque d f là prescription approchait à grandes guides, quand tout à coup les véritables Dubois se sont révélés.

Leur dossier est formidable ; le nombre des pièces qui le composent donne la migraine rien que d'y songer. Enfin, dans cette étrange lutte des paperasses et des pièces d’o r, les premières ont triomphé.

Les héritiers demeurent à Thuraesnil, près de Lille. Après bien des efforts, ils vont entrer en possession des cent petits millions qui ont grossi pour eux. E l encore ce chiffre n’est-i! que très approximatif ; nous avons préféré pé­cher par défaut plutôt que par excès.

i«égard» chez son ami. Gemment supposer, rafffet, qu’elle avait1 pu loi ètr» volé»? Ou ne vole p u un commissaire de police. Le magis­trat, tranquille aur le sort de s o i écharpe, ren­tra chez lui, où il s’endormit bientôt du som­meil du juste.

Le lendemain, de bonne heure, il ne son­geait pas encore k envoyer demander son écharpe dans la maison où il croyait l’ayoir oubliée, lersqu’il reçut mi petit paquet très; bien enveloppé, dans lequel il trouva son écharpe avec un mot ainsi conçu et dont nous conservons la curieuse orthographe :

• Monsieur le Gardeuil (quart S œ ilj,» L’autre soirreje vous ai voilé votre cin-

ture croyant fair votre foulare. Corne vous pou­vez avoir besoin de votre centure pour aréter de mes confraires et amis je m ’empresse dé vous la ranvoyer.

• Dans tou ça c’est moi qu’est le voilé.. « Votre dévoué administeré.

> Barbillon. •Cette lettre, qpicontient assurément l’expres­

sion d ’une exquise délicatesse, a beaucoup touché M. le commissaire de police, e t nous sommes convaincu, dit l'Evénement, qu’il en gardera bon souvenir à son auteur, si jam ais il a occasion de le rencontrer.

i—

A la correctionnelle : iUn témoin s’avance à la barre.— Voici comment la chose s’est passée :J’éütis dans mon comptoir, comme qui dirait

vous, monsieur le Président, dans le vôtre...Tête du président.

Un adorable mot d’enfant dans le Journal amusonl .*

— Monsieur Savonnet, combien y a-t-il de genres?

— Trois, m’sieu : masculin, féminin, neutre.— Etablissez la différence?— Le masculin, c’est les hommes ; — le fé­

minin, c’est les femmes; — le neutre, c’est les vieilles filles.

Une petite aventure, qui rappelle les plus beaux temps de la filouterie française,'vient d ’avoir lieu tout récemment e t mérite d être rapportée :

Il y a quelques jours, un commissaire de police était à diner chez un de ses amis. Comme il devait le soir être de service dans un théâtre des boulevards, il mil dans sa poche soit écharpe afin de pouvoir s’en servir en cas de besoin. Il était sorti de chez son ami et avait déjà fait une 'partie de son inspection lorsqu'il s'aperçut qu 'il n'avait plus son écharpe. Que pouvait-elle être devenue? Elle était égarée évidemment, il l’avait laissée sans doute par

SANTÉ A TOUS r“ ‘,ue 8ans n,Me”U A L lIfi a I U I J i j wne> Mn8 purggg el sans fiais, par la délicieuse farine de Santé de Du Barry de Londres, dite :

B E Y A L E S C I È R EVingt-huit ans d’un invariable succès en com­

battant les dyspepsies, mauvaises digestions, I,gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, pi- ~tUiles, nausées, renvois, vomissements, consti­pation, diarrhée, dyssenterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrose, insomnies, mé­lancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. — 80,000 cures annuelles, y. compris celles de Madame la Duchesse de Castlestuarl, le duc de Pluskow, Madame la marquise de Bréhan, lord Stuart do Decies, pair d ’Angleterre, etc., etc.

N° 49.842 : Mme Marie Jolv, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervosité, in­somnies, asthme, toux, fiatus, spasmes et nausées. — N* 46,270 : M. Roberts : d ’une consomption pulmonaire, avec toux, vomisse­ments, constqiation et surdité de 23 années. — N* 46,210 : M. le docteur-médecin Martin d’une gastralgie et irritation d ’estomac qui le faisait vomir 15 à 18 ois par jour pendant huit ans. — N° 19,522 : M. Badwiu, de l’épuise­ment le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunesse.

M. le docteur F.-W . » médecine à l'Université de

jj!'» n r 'm f S iJ -rms uiiilpiifjidhv..Curan» 80,410. . , u t u

!%l2}'%uC ï . ai‘ i’ ““ H,,“ u ‘ '*‘ [ 'f V e n a n t , d u s son quatrième mois, npuf- frajt, sans a u r a apparente, d ’une atrophie complété, avec vomissements continuels qui résistaient k la diète la plus soignée, k deux nourrices et k tous les traitements d e i ’a r t mé- dieaL La Revalescière a complètement rétabli sa santé en s u semaines de tem pe; •

Plus nourisante que la viande, elle écono­mise encore 50 fois son prix en médecines. Eu boites : 1/4 k il., 2 fr. 25*; 1/2 kiL, 4 f h - l k i l . , 7 jr .; 12 kil., 60 fr . - Les Biscuits de favoles- mire, en boites de 4 , 7 et 60 fr. — La Bevaleo- cüre chocolatée, en boites de 2 f r .2 5 ; de 576 Urnes, 60 fr. — Du Barbv e t C*,26, place Ven- dôme, .Paris. — Dépôts : à Sentis, chez MM. Du- vourmentbl et DgLABUEixE, épiciers; k Crépy- en-Valois, chez M. Gomabd, épicier.

BULLETIN COMMERCIALHALLE DE PARIS DU A JUILLET 1876,

(Non compris l’impôt;. - c o u r s c o m m e r c ia u x P ar 100 k.

F a r in e . . . . . . ............................. 38 9 î i S 9 MAeaeigle, le . MO k i l . . . . 25 ... à iS . .

Blé indigène, suivant qualité.. . 25 »• a 28 50Seigle .......................... 1 7 .» à 17 50Orge ; . . . . ................................... 1 8 - . à 20»»Escourgeon................. 19 »• à 20 »»Avoine......................... 22 50 à 26 50b a m s in . .................... 19 .» à 19 25bon«- - . . \ . ................ 15 5 0 à 1 6 »Recoupettes................ 13 50 k 14 50Remoulages (suivant couleur).. 15 > k !8 •»

Farines de consommation.157 kU. 100 kU.

Marque Darblay. 62 • k » 39 48 k » • •>Autres de choix.. 61 » k 62 38 84 k 39 48Bonnes marques 59 * k 60 37 58 k 38 20Ordinaires 58 » k 59 36 92 k 37 58

F in i - o té .Ju ille t.............

Quatre derniers.’ .’.* '!.Quatre premiers . . . . . . . . . . . .

: V . . ‘ • h f iM f r ’ v i f i v. v w • PariatL a VHIaUe),S|.lllél. ^

------------------------------------------ i l iiiu iif lin( i 1 w .ü is m 4 i « 4 , — -»1"

2.8011328II 8*V aches.,,

V eaux.... 7361 73 'I 90Moutons. 17.939 21 : t »»

Peaux de

CoteHuit-Marques. Supérieures. .

0 heures).. . . 59 75 k • . . . 58 75 k »

U U lt K f a i l t N 3 JUILLET 1178 ■ODVEMEItT DES FARINES

Restant de la veille...................... 5.864 34Aryivage officiel du jour 246 25Ventes officielles du jour 215 09

Reste disponible 5.895 48Prix moyen du jour : 38 fr. 21.

HUILES ET BIAIHES OL tklIIE USC S4 juillet.

COTE OFFICIELLE Colrq. 1,4, .

Disp. en Ion. . . 77 5 0 1 Disp. en tonne. 69 25Tont. fû td isp .. 76 »• — e n f ù t. . . 67 75Epur. eu tonne. 85 50 | Indigène »» »»

COTE COMMERCIALECol* a.

Disponible. . . . 76 »Juin.................. 76 »•Ju ille t 76 504 derniers 78 504 premiers 80 *>»

Les 100 kil. nets, futcomp., esc-1 0/0 enlr.

Lin.Disponible. . . . 67 75Ju in ..................‘ 67 »»Ju ille t.............. 67 ».4 derniers 67 504 p rem iers .... 68 » .

Les 100 kil. nets, fûtcomp., esc. 2 0/0 enlr.

SUCRESParis, 4 juillet.

COTE OFFICIELLE88’ saccharimétriques 7 -9___ 58 50 I

— 10 1 3 ... 52 50Blancs, type n* 3...................... 60 75Bonne sorte ........................... 137 50Belle sorte................................. 433 . .Certificat de sortie....................... 74 75Mélasse de fab n q u e................ 7 50

— de raffinerie............... 9 »»

« e n b i M , . k .— rase.........v

f / î Ulne. . . . *. Z

3 Juillet - #2.413 UL ^ ' “ “BOEUF OU VACEE

. Vendu: 25/rt2k il, . 1 /4derrière. . 86k 1 64 1/4 devant. - > 78 à i 54 A lo y au ..... I> » k 2 84 Bassebouch. » 16k» 64

MOUTON •Vendu : 6.248 U1

I f qualité.. I 72**2* — 1 '3»

ïX fflh iVendu : 2.W1 Ul.

a i i a ' t t i / M n n l i f S n qurttiM ^i 10 k 179

S " » - ............ »

B o n n e Se P a r iei Ju ille t 1 8 7 6 . ' : r

<f f ;

96ï %

3 » .1063 7 6 655 ».

q ualité ... 1 2 2 k t7 i , qualité ... 1 »»k 1 2

Gigots

3 0 /0 .............41 (2 0 |0 .........5 0 /0 ..............Banq. de F r . B anq.d . Paris Comp t. d’esc. Crédit agricole Crédit foncier. Soc. gén. alg. C r. industriel. Créd. Ivonnais Crédit mobil.. Dép.etcompt. Société génér. Biuq.fr.-éjiyp. C harentes.. . .E st..................M id i... N o rd ..

c M & E S : :Italie. I I I IF™c.d,A«i/.. 45» mCr.m ebil.es». 517 10 Ç b e a .m tr i ï . IM »

Portugais. . . .CÜ. fer. Rom. Sarafossoi 1 -‘166 '

Obi. du Trésor D. de la Seine. Paris, 1855-60

1865...1869...1871... 1/41871

Bons liq. 50/0. 500 40 |0 10- 40|0 500 3 0[0 10* 30|0 500 4 0(0 com .30|0

^ 5f 30(0 dép. 5 0|0

S.alg.l50f.6*|. 500f.5-|.

715 » .320 »720 - •557 50 150 »»628 75 517 50 43b »•427 50 582 50 755 - •

1255 •»OBLIGATIONS

C haren tes.... 296 »»f* * 5 0 |0 ......... 616»»E * tS 0 |0 ........ 311»»A n te n n e s ... . 311 »» L y o n . . . . .* . . 3 2 0»» Bourbon. 8.0(0 313 »» D a u p h in é .... 310 •» Médit" (fasioi

2

488 75 229 490 502 - , 372 50 355 .»94 •»

510 »» 482 a»95 » .

480 »»94 ••

470 » . 406 25

80 »« 292 50 122 50

(fusion) 312 56 Médit. 1866.. ,816 »» Victor-Enun.. • 814 .»M W . ^ , ^ 3 i i Nord français. 819 »»Orléans 316 56Grand central. 313 50 Ouest . . . . . . . 31450Vendée 254 *•Médoe 255 •»Canal de Sues 508 «a it ^

Le Propriétaire-Gérant.- Ernest PatEM.

A n n o n c e » « lu d i e i a i r e M *

Etude do M* Victor-Louis P e l b o i s , docteur en droit, avoué à Sentis,

rue Rougemaille, n* 14.

V e n t e s u r l i e i t a t i o nEntre Majeurs el Mineures,

En l’audience des criées du tribunal civil de première instance de Sentis',

SEPT CARRIÈRESSilAfcs u m rire d , SENLISet de SAÎNT-

NICOLAS, commune de Courteuil,

D ’u n C h a n t ie rSis audit SENLIS, porte de Creil,

E n l i a i t L . o t s Qui pourront être réunis en tout

ou en partie.

L’adjudication anra lieu le M m in ü vusgt-cfmqi J u i l l e t f SY S,.„ . ,r .. h eu rad tm id i.

En exécution d ’un jugement contra­dictoirement rendu entre les parties ci- après nommées par le tribunal civil de première instance de Sentis, le neuf mai mil huit cent soixante-seize, enregistré;

Il sera, aux requête, poursuite e t di­ligence dé : '

1* M. Charles Puissant, ingénieur civil, demeurant à Sentis;

2* E( M. Arlhur-Henri Bouy, chi­miste, demeurant audit Sentis;, Ayant pour avoué constitué M* Pel­bois, exerçant près le tribunal civil de première instance de Sentis, demeurant en ladite ville, rue Rougemaille, numéro

8* Madame Louise Puissant, épouse de M. Jean-Baptisto-Alphonse Alépée, kiicien restaurateur, avec lequel elle demeure k Paris, rue de Rambuteau, numéro 92, ci-devant, et actuellement h Sentis, et ledit sieur Alépée, tant en ' son nom personnel que pour l’assistance e t l ’autorisation nécessaires à la dame son épouse, et la validité de la procé­dure;

Ayant pour avoué Constitué M* Van- troys, demeurant à Sentis, rue Neuve• de-Paris;

Procédé, contre :1* Madame Pauline-Vicloire Puissant,

: épouse du sieur Auguste-Alfred Lebrun, entrepreneur de peinture, avec lequel elle demeure à Compiègoe, et ledit sieur Lebrun, tant en son nom personnel que

, pour l'assistance e t l'autorisation nécee- . “ iras k la dame son épouse, et la vali-

.dité de la procédure;'Ayant pour avoué constitué près le

tribunal civil de première instance de .Çenlis, M* Chalmin, demeurant en ladite ville, rite Saint-liilaire, numéro 10;

2* Et M. Jules-Rieul Mesureur, entre­preneur de couverture et plomberie, de­meurant à Paris, rue d’Argenteuil, nu­méro 53;

« Au nom et comme tuteur natirel• et légal de 1* Berthe-Léonie Mesureur, « 2* et Marguérite Mesureur, enfants « mineures issues de son mariage avec t dame Louise-Adèle Puissant, sa dé- v funte épouse; .

Ayant pour avoué M* Chalmin, sus­nommé;

Hn présence ou lui dûment appelé de M. Çlovis-Ferdinand Demalle. négociant en plomb coulé, demeurant à Paris, pue Neuve-Saint-Augustin, numéro 38;

» Au nom et comme subrogé-tuteur ■ des mineures M esureur, sus-nom-• mées; » ,

A la vente au plus offrant, dernier en­chérisseur et à l’extinction des feux, des immeubles et droits d'extraction ci- après désignés, indivis entre les parties sus-nommaes, soit par suite du décès de M. Pierre-Charles-Marie Puissant, en son vivant entrepreneur de bâtiment à Sentis, soit par suite de là'donation faite par madame Louise-Augasline Ducrot, sa veuve, à ses enfants et petits-enfauts, ' suivant acte reçu par M* Benoist, no­taire k Sentis, le deux septembre mil hu it cent soixante-quinze.

DÉSIG N A TIO NTelle qu’elle est insérée au cahier

des charges,

M IS E S A P R IXP r e m i e r L o t .

C n r r l è r e d u V a l o t r n .L iais douæpropre a u x tra­

v a u x de sculpture et aux monuments funèbres.

La pleine propriété do :1* Cinquante et un ares vingt-neuf

centiares d ’après les titres et d’apres le bornage, soixante-dix-sept ares soixante- dix-huit centiares de terre, sis terroir de Sentis, lieu d it le Valotru. Section A, numéro 86 du cadastre.

2* Quatre-vingt-dix ares soixante- treize centiares d ’après les titres, ét d'a­près le bornago quatre-vingt-dix ares quatre-vingt-dix-sept centiares de terre et carrière, sis mêmes terroir et lieu dit. Section A, numéro 97 du cadastre.

Ces deux pièces de terre aujourd'hui réunies tiennent du côté nord k madame veuve Raoull et par hache saillante à plusieurs, d ’autre côté à l’ancien chemin la Creil à Sentis, d 'un bout orient à madame veuve Corhie G rom ard, et d autre bout k l'hôpital général de Sentis.

3* el un hectare cinq ares quatre- vingt-deux centiares d’après les titres, et d'après le bsrnage un hectare six ares dix centiares de tonie, sis mêmes Urroir et lieu, tenant d*un côté nord à madame veuve Ranult, d’autre côté k l’ancien chemin de Sentis k Creil; d'ün bout orient k l'hôpital général de Sentis,

et d ’autre bout au représentant Rivière. Section A, numéro 92.

Les parcelles numéros un et deux sont séparées de la parcelle numéro trois, par une pièce de terre appartenant à l’hôpital de Sentis, louée à M. Seilz pour l'exploitation de la pierre.

Il existe un treuil sur le puits de la carrière e f dans la carrière quatre-vingt- treize morceaux de pierres cubant cin­quante-six mètres cinquante centimè­tres. Le treuil et la pierre seront com­pris dans le prix de vente.

Mise à prix . . . 5,000 fr.

D e u x iè m e L o t .

€ /iu rrlère J e 1» S a n t é .

Liais blanc et dur pour marches, perrons et travaux deluxe.

1* La pleine propriété des deux pièces de terre ci-après :

Un hectare dix-neuf ares trentedeux centiares de terre et carrière, sis terroir de Sentis, lieu d it le Clos de la Santé. Section A, numéro» 221, 222, 223, et 224 du cadastre.

E t vingt-cinq ares soixante-quatre centiares d’après les titres, et vingt-cinq ares vingt-huit centiares d ’après le bor­nage, de terre, 8is;mèmés terroir e t lieu d it. Section A, numéro225 du cadastre.

Ces deux pièces de terre aujourd’hui réunies tiennent d’un côté orient à la

Eièce ci-dessous, d’autre côté et par ache saillante à M. Leduc (Alphonse)

et aux héritiers Herbet, d ’un bout nord au clos de la Santé, et d ’autre bout k la route départementale numéro i* ' de Beauvais à Meaux.

2* E t le droit d’extraction de la pierre jusqu'au premier janvier mil huit cent quatre-vingt-onze, sous un hectare cinquante-sept ares soixante centiares d’après les litres, et un hectare cin­quante-trois ares quatre-vingt-treize cen­tiares d'après le bornage, de terre, atte­nant k la carrière sus-désignée, tenant d ’un côté orient au chemin appartenant à madame R aoult, d’autre côté à la pièce ci-dessus, d ’un bout nord au clos d e là Santé, et d’autre bout k la route départementale numéro premier de Beauvais k Meaux. Section A, numéro 221 du cadastre.

Il existe un treuil au-dessus du puits d'extraction et dans la carrière quelques morceaux de pierres exploités. Le treuil et les morceaux d« pierres dont s'agit feront aussi partie de la vente.

Mise & prix . . . 4.000 fr.

T r o i s i è m e L o t .

Ç « r r lè r e d e la F o n ta in e d e» M alad e» .

Banc de ciel pour marches, banc grêlé pour construction et banc royal pour appuis de croisées, marches et monu-' mentsJUnèbrés.

i* La pleine propriété d 'un terrain m

' ' \

partie clos de murs et servant d’entrée à la carrière, d 'un contenance de cinq ares quarante-cinq centiares, sis terroir de Sentis, faubourg de Yillevert, en la rue de ta Fontaine des Malades, tenant d ’un côté orient et d’un bout midi par hache et coude à M. Compiègne (Simon- Joseph) et à la pièce ci-après désignée, d ’un bout nord à M. Thomas Rocnaix, et d ’autre côté au chemin du Chêne à l'Image ou du la Fontaine des Malades. S"dion B, numéros 157 et 158 du ca­dastre.

2* E l led ro ild ’extractiondelà pierre, jusqu’au premier juin dix neuf cent vingt-trois, sous un hectare soixante ares soixante-neuf centiares de terre, attenant à la parcelle qui précède, tenant d ’un côté nord k 4 |. Seitz et par hache saillante à M. Ernèsr Fsuvelle, d'autre côté à M. Macret et par hache rentrante à Joseph Compiègne et;ià la pièce ci- dessus, .d’un bout orient à la chaussée de Pontpoint, et (l’autre bout au che­min du Chêne à lim age ou de la Fon­taine des Malades. Sealion B, numéros 156 el 1K9.

Mise à prix . . . 500 fr.

Q u a t r i è m e L o t .A a t r e c a r r i è r e t e n a n i à

c e l l e d u t r é l k l è m a l o t .Le droit d’extraction à perpétuité de

la pierre sous tiois hectares vingt-trois ares trente-quatre centiares d'après les titres, et trois hectares dix-huit ares vingt-sept centiares d ’après le bornage, de terre, sis mêmes terroir et lieu ,'te­nant d’un côté orient à la route na­tionale numéro dix-sepl de Paris à Lille, d ’autre côté au chemin du Chêne à l’Image ou de la Fontaine des Malades, d ’un bout nord aux héritiers Cochet, et d’autre bout à M. Seilz et k la pièce numéro deux du troisième lot. Section B, numéros 151 k 155.

L’embouchure de la carrière et le chopin qui se trouve vis-à-vis de l’entrée sont communs avec M. Seilz.

Mue à prix . . . . 800 fr.Cinquième* Loi. .

Le droit d’extraction de la pierre jus­qu’au premier jan v ^ r mil huit cent qua- tre-vingt-»ix, avec faculté de continuer jusqu’au premier janvier 1896, sous un hectare quarante-huit ares dix centiares de jardin, appartenant k M. Velut, sis terroir de Senti-, lieu d it le Gué de Creil ou les Terres de la Gallelière, te­nant d ’un côté nord à la route dépar­tementale numéro nremiér de Beauvais à Meaux, d autre • ôté à madame veuve et héritiers Guibourg, d ’un bout orient à M. Henry Guéret, et d 'autre bout k la rivière d Auuelle. Section G, numéio 19.

Mise k prix . . . . 800 fr.

S ix i è m e L o t . Ç s u r r i è r e J e l e G e t t e l i è r e .

Liais très-dur pour mar­ches et piliers de résistance.

La pleine propriété de un hectare vingt ares quatre-vingt-cinq centiares de terre, bois et carrière, sis terroir de Sen­tis, lieu d it les Terres de la Gallelière. tenant d’un côté du nord aù représen­tant Félix Dupuis, d ’autrecôtéà la route départementale numéro 4 , de Chantilly à Sentis, d’un bout orient aux héritiers Gombart et Delavallée, et d’aplre bout à M. Oscar Poirée, meunier au Moulin du Roi. Section G, numéros 9, 10 ,11 et 12,

Mise à p r ix . 1,000 fr.

S e p t i è m e L o t .C a r r i è r e J e S a i n t - N l e o l a » .

Pierre excellente pour tous genres de travaux, moellons, libages, vergelet dur très-ré­sistant pour la cdnstruction.

La pleine propriété de quarante et un ares trois centiares de terre et car­rière, non compris le chemin d’exploi­tation, sis terroir de Sainl-Nicolas, com­mune de Courteuil, lieu d it le Carnage et le Parc de Sainl-Nicoias, tenant de toutes parts à M. Adolphe Laurens de Waru. Section C, numéro 24 du cadastre.

Le chemin d ’accès k la carrière est commun avec M. de W aru.

Mise & prix . . . . 1,000 fr.

H u i t i è m e e t d e r n i e r L o t . C h a n t ie r J e l a |M » r t e J e C r e i l

yjne Propriété à usage de chantier, sise à Senlis, à la porte de Creil, dune conte­nance d'après le cadastre de dix-sept ares trente-neuf cen­tiares, consistant en :

Une grande cour ouchantier, un bâ­timent dans lequel existe une scierie, autre bâtiment à côté, servant d’atelier, allée ensuite, écurie, bureau, porte chaireticre donnant sur la rue de Beau­vais; le tout tenant d ’un côté k ladite rue, d’autre côté nord k M. Yon, d'un côté est à MM. Coppin, Blanchet et Yon, d'autre côté ouest k la route départe­mentale de Beauvais k Meaux. Section H, partie des numéros 11 el 12.

Le Matériel de la ’ scierie fait partie de la vente.

Les (lierres qui sont actuellementdans le dunU er ou la scierie «ont r&ervées par les vendeuis.

Niso k p r i x . . . . 8,000 fr.

A D JU D IC A TIO NL'adjudication des immeubles et

droits d'extraction s'is-désianés aura lieu le Mardi vingt-cinq ju ille t mil huit cent toixante-seise, heure de midi, en l'au­dience des crié* du tribunal «ivilde première instance de Sentis, au palais de justice de ladite ville, sur les mises k prix fixées par le jugement sus-énoncé «t indiquées à la suite de chacun des

Fait et rédigé par moi avoué poursui­vant soussigné.

A Senlis, le trente ju in 1876.Signé : PELBOIS.

Enregistré à Senlis, le premier juillet 1876. Reçu un franc quatre-vingt-huit centimes, décimes compris.

S igné. Bodlxnoer.

S*adresser pour les renseignements :1* A M* PELBOIS, avoué k Senlis,

rue Rougemaille, numéro 14, poursui­vant la vente;, 2«> A M* VANTROYS. avoué au même heu, rue Neuve-de-Paris;

3* A M* CHALMIN, avoué audit Sen­tis, rue Saint-Hilaire, numéro 10;

4* A M* BENOIST, notaire k Sentis;5‘ E t au Greffe du Tribunal civil de

Sentis, où le cahier des charges et dé­posé.

Pour insertion.Signé : P elb o is .

A rt 2.

G r e ff e d u T r i b u n a l d e S e n l i s(OISE).

B E B D m O I DE COMPTE

Les créanciers de l'union du rieur Charles-Cyprien Ca p u n , marchand épi­cier k Senlis, sont invitée k se trouver en personne, ou par fondé de pouvoir, au greffe du tribunal, sis au palais de justice, k Senlis, le Mercredi dix-neuf Juillet 1876, onse heures du matin, k l'effet d’entendre le compte définitif qui leur sera rendu par M* Plard, avoué k Sentis, syndic de l’union, en exécution de l’article 537 du code de commerce.

Pour insertion,Le G reffer du tribunal,

Léon B odcrrr.

Ar t . 8 .

Le trente ju in mil huit cent soixante- seize,

Pardevant M* Daniel-Henri Simon el son collègue, notaires k Paris, soussi­gnés,

A com pm i :M. l-ouis-Alexis-Léon comte de Valon,

■opriétaire, demeurant k Pans, rue linl-Florentin, numéro 7 ;

• Agissant au nom de la Société « en commandite par action des• Faïenceries de Creil e t de MônKh « reau, ayant son siège k Paris, rue• du Faubourg-Poissonnière, nu« « méro 61, et connue sous la ra i-• son sociale : Lebœuf et compa-• gnie, dont il est prérident du « conseil de surveillance. i

« De laquelle Société, les statuts• ont été établis k nouveau par• délibération d* l’Assvmbléeféoè-• n ie des actionnaires du quinae• mai mai mil huit oeot soixante-

« quinze, déposés au rang dès mi-> nutes de M* Simon, l 'un des m».« taire* soussigné*, k l a date du « premier juin mil huit 'ce n t> soixante-quinze, et publiés con- ■ forméraent k la loi. »

Lequel a , par.ces preseotes, déposé k H* Simon soussigné, et l’a requis de dé mettre au rang de'ses minutes k la . date de ce jou r.

Un extrait de la délibération du con­seil de surveillance de ladite Soriété en commandite par. action Leboenf et com­pagnie, en date du v in g tJe u i ju in m il h u it cent soixante-eoixante, abx ternies de laquelle M. F.-A.-H. Barluet, a: été nommé gérant provisoire de ladite 86- d é lé , en remplacement d . M. Adrien Lebœuf de Honlgermont. décédé;

. Lequel extrait, M M ' n t t• H. le ceinte de Valon, pM aifcat . du conaeil de sunreiUtnce, écrit . aur une feuille de papier au . timbre de aoixante ceatimca,. eana ren ia i ni rature, ea td am a*• rd ei-annexd a pria aeeér été ca r.« üfié aincère et véritable, e t m û t « d une mention d 'anaek i, a t ‘

Poer faire publier ladite déBUnObii partout où beeoiù mro, loua p o aro in août donnée aux porleara d ’axcddiUeaa ou d ’extrailu.

Dont acte.Fait et pasaé i Paria, n o 8 ah t-F b >

rendu, numéro 7 , en la detaem* do ILde Valon, lie jour moia e t au aM H ai I

E l a le ooaeparant signé aree lm no­taires apri» lecture faite.

Enauite aat écrit :• Enregistré A Paria, o e e lil tn

. bureau, le premier jiiUIM.mil < huit cent loixante-aeiae, folio 51,. recto case 6 , dépôt traie francs• cinquante centimes, ' race sept a francs cinquante caotiaMai-

• S igné: D onar.t.Suit la teneur de Pannexe.Extrait de la délibération du ceaseil

de surveillance de b Société dre M a n . oeries de Creil e t Honlareou, M data d u vingt-deax juin 1876. f.j

Le conseil de eurveillancade la Société des Faïencerie* de Creil e t H oatenau , connue sous la raiaon sociale : Lebœuf et compagnie, dana sa aéanee d e v i n t , deux juin mil ha it cent a o ix r - - - - - - - nommé gérant proviaoiteé «été , en rrmplaeement t*Lebœuf de llontgeim ont, é. _____neuf ju in , mémo mois, e t en eonlbnailé de l'article. 18 dea a ta ln lifrk F .-A r« .^ . d . r e c t é n r d . b n '

Pour ù l r a i t certifié «MM m Ê U È t

U f tv m X ü• j r i i i w r a u BRI• *riM, SCpiièlM

Page 4: I x^ “ 'œ « i 5 S‘ 3 îsbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1876_07_06_MRC.pdfgrand jour de ses ennemis avoués que contre les sournoises perfidies de ces politiques ...

" 1 W . M S W W »

IisüS s s s t srandes portes ferrées, s’ouvrsn t à deux b a iim u : ■i— Roue* de touies grandeurs, outils de 'm açon e t ebiets traînants

Appartemenl l* «i)iiù(ér« de M* Patbn, Notaire ,!■, i r t i t - g i t - u i M M i o k t j , .■■■

Le Dimaoche 2U Juillet, t uns heure,

14 Pièces dejif .iI a»c

■Mfcllhli kèiheiAi. Uk!-.«-i.».'.oeures oem evoe, b o d rle s huit Pièces d

S* Grande^ tab les longueè e t carrées à usage d^imprimeur su r étoffes,porte-

E t a u r l e « t K l e t n l i s e .S’adresser 4 M. CHABEilMEMOlNK,

négociant «n vins à Senlis.H . TurnA iN i, cultiva_ .i r u u ta it"à Ducy, commune de . canton dé Nanteuil-le-

quatre heures de relevée,

S"adrm er pour Iss rtiueignemtnU ' V A M* Ban e s t CHALUIN, avoué

livant la vente, dem eurant 4 Senlû int-Hilaire, numéro 10;A- M* VAStIROYS; avoué' co-li

t »4 Senlis, Vue Neuvenlo-Pari* 47;

«• Et 4 M* VKÀMÀMV notaire 4 Baron (Otsey) dépositaire du cahier des charges. —

bàquels, uqeg ran d eq u a n tilé d e cadres à étendre de. tou tes g randeurs, unegranae cuve e t sa potence, un diable 4 essorer, un bassin, poêle, doche t a fonte, planches, 'cloison,' bureau , tables, perches, ferraille et essieux

»iy. . . . . . . 4 ù tribunal civil;

«« u«da (Nranaière.in&tânoa do ffanUs,

............BU i

<ermed« S a c K

4^40^ (ISStNONéWpPSlNONfS •‘YjLin'llOTS, avoué^ Senlia;

•ESJARDINS^ notaire 4 Bets;taçieœl huissier

teur dés succès-

* i ^ nw S S ? W ’É“lli" teur‘ TU-

ç f l l t k d de M* Auguste YANTROYS, inliél (OiW), ru é .Neuve-de-Paris,

d t l EMT.!!J iTttUe p a r .u ite de liciu tion ,

I t U m U rM U l 1876, d midi, e rM dU M edM tr tfe rd * Iritmmil J t& n lu r M M » * . m d c fd m tr i t t iu lJ t& n U ,

L,1. (SÛBob do chèmia de fer du Nord, ligne d . P im t C hantai,).

D une HUSON ■ ia .i P u n -N o im u n -n m , rua OudoW ^ tO S ilu rm n 47), 18- m rondiaw sent.

*Ç"Ç?d*»,,r t a r a s . îlA C sf.èp rix 1. . . 50,000 fr.

i m t actutilem ent d’un re- • 4,750 A pour fa i prâties

« STàdrm trpowr l$» renstionenunU : c* W* ^ S b o » (Oise) :

4 H - YAJSTROY8* P blbois et Chal oimnavoués.«» m f i t 4 Pabis :

^ A M" Lacokkk, avoué, rue Saint- t H taé ié . 850; ' '; X fit 4 M. D esbbosus, rue de Roqué*(‘m » : _, r F A I ^ ^ w o h t , notaire 4 Senlis, et «.4‘taffmta* notaire 4 Nanteuil;

,4* Au Greffe dq Tribunal de Senlis, où le cahier des chaigas est déposé.

é tu d e rie M* Aueuma 'V m m trm jm , - >• ■ avoué 4 Senlis (Otae),

rue ITeuve-de-Paris. n* 17, successeur de If* P U n .

^ i V « m 4 « r a r L i i e i t a t i o n1 E ntre Majeurs et Mineur,

r i’ UNE MAISONSitué, i LA . CHAPELLE-ËN'SERTIL

^(O i» ),

2* une Pièce de Terreÿilhd. A MONTGRÉS1N, com m un.

d ’Orrj-la-Ville,d i e u x K ^ o ta .

dication aura üeu _____h u i t J u i l l e t 1 8 9 e .

heure d e biidi, f id Tadditiice des criées du tribunal i! i '' 'e iril de première instance

' ' de Senlis, au Palais de Justice.

ü ïa ir tsu n ju v r avotr de» renseigne­ment» :

4* A M* YANTROYS, avoué 4 SenUs,1 poursuivant la vente;

* , 0 “ 4 1 S a , l i * ’ [OIST, notaire A Senlii;

' % 4 l j W P M * M d p n l à t Bonlii, Il lA.<W ',4m.<*Argtn » t dipo ri;

Etude de M ' K n m t C h î avoué A Senlis, rue Saint-I

j V e n te « tir l ie ita tio

D’UNE MAISONSise Grande R ue, à SILLY-LE-LONG,

canton de Jiaqtapüfle-Haudouin, arrondissement dé Sënlis (Oise),

A S il ly - le - L o n g , s u r les l ie u x , Par le ministère: de M* Vramamt, notaire

4 Baron, commis à cet effet. L’adjudication aura lieu le D im a i

s e t x e J u i l l e t 1 8 9 8 , deux heures de relevée.

^adresser pour les renseignements ;

.! • A M ' E r n e s t C1IALM1N, a v o u é 4 Senlis, p o u r s u iv a n t la vente;

2* A M- DEMEL1N, avoué audit Sen­tis, présent à la vente;

3* A M* VRAMANT, notaire à Baron, dépositaire du cahier des charges;

A* E t à M* BIGOT, notaire au Pleasis- Betleville.

Etude de M* E r n e s t C h a l x e i n , avoué à Senlis (Oise),

rue SainV-Hilaire, numéro 10.

V e n te s u r l ic i ta t io nKNTBB MAJEURS ET MINEURS,

En l ’audience des criées du Tribunal civil de Senlis,

D’UNE MAISONSise à VINEUIL, commune de Saint-

Firmin, canton de Senlis (Oise).L’Adjudication aura lieu le M a r d i

d ix -h u it JaFn i l l c t « 8 9 8 ,heure de midi.

S’adresser peur les renseignements :i* A M* CHALMIN, avoué poursui­

vant la vente, demeurant à Senlis, rue Saint-Hilaire, n* 10;*

2* A M* BALEZEAUX, notaire & Chantilly;

3* Au greffe du tribunal civil de Sen­tis, où le cahier des charges est déposé.

Etude de M* L a e e e r r e , licencié en droit, avoué à Senlis (Oise).

V E N T EP a r s u ite de fa i l l i t e .

En vertu d’une ordonnance de M. le Juge commissaire,

E n l’étude et par le ministère de M* D u g u et , notaire d Creil,

commis à cet effet,D’UN

Fonds d’Hôtel meubléSis 4 CREIL-SUR-OISE, avenue de la

Gare et rue du Théâtre ou rue Rosel,PORTANT LE NOM

D ’H O T E L D U C O M M E R C E Avec Café en dépendant

D r o i t a u B a i l d e s l ie u xOù s’exploite ledit Etablissement.

L’adjudication aura lieu le D im a n c h e n e u f J u i l l e t p r o c h a in (1876),

4.une heure précise de l’après-midi.

S"adresser pour les renseignements :1* À M* LASSERRE, avoué 4 Senlis,

poursuivant la vente;2* E t à M* DUGUET, notaire 4 Creil,

dépositaire du cahier des charges.

èlàfif A M* ROUEVALLE, huissier 4Etude de M° B allëdent, commis­

saire-priseur 4 Senlis.

* a t e V a u t r e j s ,le Neuve-do-Pans,

> eïut.sifi\ -On -

-itj nm Suri saisi», immobilière,

T é ê S T *

*&tàté»dm rarroh- «te NANTKÜIL-LE- HAUDOUM (Oise),

otm

V e n te a u x E u e h è re aI P a r suite du décès de M. P uissant père,

et en vertu d ’une ordonnance,

D’un Matérield’E i tr e p n n ir de Raçonnnrie

A S E N L Î S , d a n s l ’a n c ie n n e E g lis e S a in t-F r a m b o u r g ,

L e D IM A N C H E 1 6 JU IL L E T 1 8 7 6 , à u n e h e u re d e re levée .

.M nl>

heure d e m id i,criées du tribunal

instance d e Senlis,dé '1 Justice, r i r a Ifrave-do-

D’un Matérield ’I m p f ^ W M iB r M r E U o f l c s

E g a le m e n t à S e n lis , à la B ig u ë , L e L u n d i 47 J U I L L E T 4870,

à u n e h e u r e d e re lev ée ,< Par le ministère de M* B allk oknt ,

commistair+priseur i Senlis.

Ces d eu x M atériels com prennent

iYAHTlUOYlp, avoué 4 Senlis,

4* — 250 écbasses, traversiers e t boulins d é tou tes g randeurs, planchespour échafaudages e t . 23 échelles simples dë 5 4 40 m ètres, 3 chèvres 4

LBNICQUE, notaira à.N an- . 8 4 M* MARGQ,

^ _ m écaniques, 2 tam is 4

; Q uatre tom bereaux de diflérentes g randeurs, un tom bereau p o u r le transport d e la çbaux éte in te , une voitu re 4 transporte r le p lâtre , une

«bat» d k ______ UCU.UUM»,un ftrand chariot, un baquet dém onté, un narrean 4 bras.

U n treu il 4 engrenages p o u r m onter les m atériaux su r plan incliné, 8 crics,

n p a f r é ld e fortes mouffles, 2 gros

L e s o b je ts à v e n d r e p e u v e n t ê tr e v is ité s p a r les a m a te u r» la v e ille d e la v e n te , e t le j o u r m ê m e d a n s la m a tin é e .

Eluda de M* J o b e y , notaire à Crépy,

F e r m e d e M o r ic n v a lD’une contenancs de

Une affiche ultérieure fera connaître la désignattoq d ’un Matériel d e C arrier e t de nom breuses pierres ex tra ites qui seron t vendus le M ereredi 26 Ju ille t 4876.

A V em dre o n à I jo n é r

U N E U S IN ÉAVMC

T o u t n o n M a t é r i e lSise 4 SENUS, rue de Nanteuil,

A y a n t é e r y t à l a F a b r i c a t i o n d i t C h o c o la t .

Jouissance de suite.S a d resse r :

A M* MOREL, notaire 4 Senlis.

Etude deM* 0 e a J a r d ! n » , n o U i r s4 Belz (Oise).

A C E D E R Avec le Ratériel et les Récoltes

Pour entrer en jouissance de suite,

Un Corps dp FermeAVEC

3 4 H e c ta re s d e T e r r eLe tout sis à YVORS.

Pour, tous renseignements, s’adresser 4M* DESJARDINS.

V A C E D E RPour entrer immédiatement en jouissan ce

. Belle FermeD’une contenance

d e 1 S S 3 H e c t a r e sSise 4 AIRION, à 4 kilomètres de la sta>

lion de Clermont (Oise), Actuellement exploitée par le propriétaire

AVICLE MATÉRIEL QUI EH DÉPERD

S’adresser à M* DUFRENOY, notaire à Clermont (Oise).

B u r e a u d e s D o m a i n e s d e S e n l i s .

V E N T ED’ARBRES

et de Bois d’élagageIl sera procédé le D im a n c h e ’9 J u i l ­

le t 4876, à la vente au comptant, sur les lieux et aux enchères ;

i° D’Arbres abattus déposés sur la reute nationale n* 17, 4 Sentis, au bas du Poteau;

2* D’Arbres et de Bois d ’élagage, pro­venant des plantations de la route na­tionale n* 32, sur le territoire des com­munes de Chaînant, Ognon et Villers- Saint-Frümbourg.

Cette vente aura lieu :A u n e h eure , sur Senlis;A u n e h e u re e t d em ie , sur Chamant;

• A d e u x h eu re s , sur Ognon;E t 4 d e u x heures e t d e m ie , sur

Villers-Saint-Frambourg.L» Receveur des Domaines,

BOULANGER.

A JL ouer m l 'a m ia b le R © H e c t a r e »

de bonne TerreD'UN SEUL TENANT,

avec Grand Corps de FermeA 6 kilomètres de Senlis, à proximité

de deux Fabriques de Sucre. S ’a d resse r à M* B E N O I S T , n o ­

ta ire à S e n lis .

H E C T A K E »P o u v a n t ê tre d iv isée é n l d e u x

(/ e x p lo ita tio n s ,A C é d e r im m é d ia te m e n t.

P r o x im ité de d eu x F a b r iq u e s d e sucre .

Pour tous renseignements et traiter, s’adresser 4 M* J0BËY, notaire 4 Crépy.

•A* L O U ERUn beau Moulin

A p p e lé le M o u lin de S a in t-A u b in ,n - ‘.Y (Où *, Situé 4 CHAMDLY (Oise).

Ce Moulin, placé au centre de la ville, 4 proximité de la gare du chemin de fer, est monté de trois paires de meulesd ’après le système anglais.

S'adresser 4 M* ÜAITRE-DEVALLON, notaire 4 Cbambly.

Etudes de M* M o r e l , notaires Senlis, et de M* R a y e n , notaire 4 Pont- Sainte-Maxence.

A v e n d re p a r a d ju d ic a tio n

Les RécoltesE n B lé , S e ig l e e t A v o in e

S ur 29 Pièces de Terre aux terroirs deRuIlyetTrumilly,

D 'u n e con tenance to ta le d e 8 H ec­ta res 31 A re s 85 C entiares,

Ls Dimanche 16 Juillet, 4 une heure,En la salle d’école de Rullv,

P ar le ministère^le M* MOREL etde M’ PAYEN, notaires.

S'adresser auxdils Mn P a t i n et M o r b l .

A v e n d re p a r a<y u d ic a tio n

Une grande MaisonP ro p re a u com m erce e t à la cu ltu re

UNE BELLE GRANGEd e t r o i s t r a v é e s ,

y commune de Saipt-Yaast etVerberie,

Contenant 6 hectares 88 ares'62 cent. S ’adresser audit M* Paysn. notaire.

Etude de M* H a m e l e t , notaire 4 Chambly.

I O I iM ta re s S i a r e , 9 1 «.d e T e r r e

Aux terroirs <le llNnil-8.inl-D.nM, Frasnoj, Cbambly, Belle-Eglise ,

«#1. ' im tel re lie cto Rotroeutl 0v Bforiohvat

A V m d r . a u x « n c h À r M 'Par suite de critatiûh de'cùnure,

'S u r le s l ie u x , > . hV-il,Le Din^pnohe 23 Juillet, fe un» heure,!

tir. le,ministère tfudit ■ Mî Gallkt. ji|,On ae réunira àila ferme deM, B«rtrandt -iirmli. pu Voisin-Bonneuil. !

i A E o n e r à l 'a m ia b leJouiasauca après la récolte 1176. <

S adresser pour tou» renseignements, H am bl

24,000 F a g o t sd e , B o is d u r

Au Bois d .B d n a , com m un, dn Ponneuil•• , , t w i w B 0»: ■A V e n d re im a m ê d ie tm e iii

A Tamisbl. , t pur lote, 111 A u p r i x de 18 f r . I . cen t.

S’a d io a n à H . Charles NAUN, d . Bonnwil.

Audit H* H .uelet, notaire.

13 Pièces de TerreAux tarrairs de Puiseux, B^lla-Eglise

•tNeuilly-en-Thelle,A v e n d re p a r ad y iid iea tio n

P ar 1$ ministère de M* Ila m u .i t , notaire à Chambly,

En la salle d’école de Puiseux,Le Dimanche 9 Juillet 1876, 4 midi.

SOUS-PRÉFECTURE DE SENLIS.

G l i e m l n » V i c i n a u x .

Travanxneufsetd’entretien

S*adresser pour tous renseignements, Audit M* Ium klet, notaire.

A V e n d re o u à E o u e rA L’AMIABLE,

Un beau MoulinSitué à Chambly (Oise), '• !

Appelé le MOULIN DE MENNECOURT. S’adresser pour tous renseignements : A Paris, 4 M. RAD1GUET, rue de St-

Quentin, 22 (le vendredi de 9 heures 4

Le Sous-Préfet de l'arrondissement de Senliè lait savoir qu’il procédera leM a r- d i 41 J u i l l e t 48 /6 , 4 une heure et de­mie de relevée, à l'Hôtel de la Sous- P n fecture, 4 l’adjudication des travaux neufs et d ’entretien à exécuter su t les chemins vicinaux de l'arrondissement.

Ordres de Bourse Achats et Ventei de valeurs

C O TÉES OU NON COTÉES.

A v a n ce s d u r T i t r e s .

5 heures);E t 4 Chambly, à M- MAITRE-DE-

VALLON et HAMELET, notaires.

P a ie m e n t( de to u s coupons échus, à l 'o iso n d é 1 /2 «/, ( 0 f . 5 0 c . p o u r100 f r . )

C H A N T IL L Y (o i s e )Station du Nprd, 50 minutes de Paris.

2 2 trams par jour.

M. MIRVILl.E, employé des finances, place de la Halle, 10, 4 Senlis. (Le Di­manche toute la journée.)

Etude de M* H n lô z e a i ix , notaire : . . .4 Chantilly,Successeur de M* Limoinb.

A v e n d r e p a r a d ju d ic a tio nEn un ou plusieurs Iota au gré des

amateurs,Le Dimanche 30 Juillet 1876,4 midi.

E n l ’étude et par le ministère de M* Balézeaux,

Une Maison bourgeoisee t u n « J a r d i n

Le tout sis à Rully, canton de Pont- Sainlè-Maxence,

1 3 h e c t a r e s 8 3 a r e s 7 9 e .de Terre et Pré

Eu 38 Pièces Sis aux terroirs de Rully, Trumilly

et Balagny-sur-Aunelle,En la salie de la Mairie de Rully,

Par le ministère de M* M orel, notaire à Senlis,

et de M* Payen, notaire à Pont,Le Dimanche 9 Juillet 1876, à une heure

très-précise.S’adresser auxdils M” Payen et Mohrl,

notaires.

Elude de M* F è t i z o ï i , notaire 4 SenlU, successeur de M* Balézeaux.

A V e n d re p a r a d ju d ic a tio nLe Dimanche 16 Juillet, 4 une heure,v .uu tc i, ■ une neuir,À Senlis, en Fétude et par le ministère

de M* Fetu o n , notaire,

A L o u e r d e s u iteLA

Ferme de BourcqCommune do LA FERTÉJULON,

AVEC1 3 © H e c ta re s d e T e r r e .

S’adresser 4 M* BARRY, notaire 4 La Ferté-Milon.

Faisandeaux a v e n d r e :

S’adresser 4 M. DROUET, au Tület, près Cires-les-Mello (Oise).

A C É D E RPour cause de changement de profession

U N E B O N N E

Étude d’HuissierDans un chef-lieu de canton de l ’Aisne.

R ésid e n ce agréa b le . S’adresser 4M. VALESSANT, huissier

4 Soi Bons.

A V e n d re , o u à L o u e r, En totalité «u par partie.

Maison d’habitationN o u v e lle m e n t res ta u rée ,

JIRDIII ET VASTES BATIMENTSP ro p re s à la c u ltu r e , a u c o m ­

m e rce o u à l’in d u s tr ie ,Sise 4 V1LLEVERT, faubourg de Senlis,

ruè du Vieux Chemin dé Pont, n* 4 .,

Une Propriétéd i t e l a C h a n t e r ie ,

Située 4 Samt-Nicolas, commune de Courteuil, pré*' des stations de Chan­tilly, Senlis et Saint-Firmin. S'adresser audit M* Fétixon, polaire.

A V e n d re à l 'a m ia b le

Une MaisonSise 4 Senlis, route de Compiègne, n* 20,

4 cinq minutes de la gare. S ’adresser pour tous renseignements, A M* Fétixon, notaire 4 Sentis.

Etudes de M* R l b o u a , notaire 4 4 Crépy-en*Valois (Oise),

eide M* R o u t i e r , notaire4 Béthisy-Pierre.

A v e n d re p a r a d ju d ic a tio nA Orrouy, en l’Usine ci-après,

Le Dimanche 6 Août 1876,4 une heure, Par le miniitére dé M* Rirous et

de M* R outier, notaires,

Une Belle UsineA u s a g e d e F é ç u l e r i e e t

d ’H t i l le r ie ,Sise 4 Onpuy*i canton de Crépy (Oise),

su r la rivière d ’Automne, C o n s is ta n t en va stes b â tim e n ts d ’h a b i ta tio n et d ’e x p lo ita tio n ,

le M a té r ie l la g a r n is e a n tS’adresser auxdits Mn Ribocs et

R ou tie r, notaires.

Etude de M* R i l r a u s , notaire 4 Crépy.

M A I S O N et 5 Pièces de Terre et Bois

Sises commune et terroir de Fresnoy- la-Rivière,

A v e n d r e p a r a d iu d ie a t ie nEn la salle d’école de Fr^snoy-la-Rivlère,

Par le iministère de bP/RieoUs, notaire d Cfépy-fa^Yalois (Oise),

l a Dimanéne 2 IJu ille i, à nhe heure. S ’adruser aüdit M*RiMus, notaire.

......... .. i.qçujç.fteurafi

D’une ^Située 4 Creil, avenue de la Gare, $ e t 4 ,

Connue sous lé qom d'H dtel du Chemin de T er S’adreeser auxdils MM Buein et Duguet,

notaires.

Etude de M* R o u t i e r , notaire1 4 Béthisy-SainMPiehre (Oise).

i'Ucr Um, 4 Jui tat rromcBt le*, 100 t j | . | *• qiuilit«

X-qMliU,TU 40, J* qMkliié SA 10,1— ft “î i so ' Tü,*e t " W M NM w

Tromeotl'Hect. t '* qMalité 91 4S9*qi,(lia

Pain le Ut. ‘a ./ ï* V 39 *.

t » i JanGrpOë d n Tribunal de Senhs ■ è lecah ier d esc b e^eie tirié p eÉ éi

E tude d e NS’adresser pour visiter e t traiter, 4 M. THIRION, propriétaire audit YUIe- 4 BetatOise)

Vente Mobilièreta r i : u .E t 4 M* PERTE, notaire 4 Senlis A VENDRE! é l’aa.labl«

Un Marché de TerréSi) lu x terroir» d . (W pj.Jlouvillo

et Duvy,De la conlénancé de 5 heclarrs 60 cent

cordages, u o êe o rd e 4 ncends, cordages Pour cause de départ,a . w é m t

I . demeura dv Madame flxRraia cullivalrica, \

Le Dimanche SU Juillet, i eue heure, Par la MtaisUra de M* D lfiaism a,

nota&s à Bel.

a, nhe bascule a re c s e . poids.170 bottes de lsltes, 870 b o u e , de

,11)0 brique.,T tM O carreaux,À LiONJER

Jélic MaisonIII «tablée o n n o n M eublée ,

V •:e t r ie ille . tuiles, ■» m itres

----------------------- — e t ; en-T b t» 3 a tè re . de m erràlns, 186 kilo-

M ë » !

w # 4 l I t IRevenuS’adresser

ffran m e» (teeloua 4 lattes, •"i Iftw c h a td iè re 4 bitum e garnie

E c u r i e «ît H e m ln enavaieiEtude deM* Edronu P r i y è n , licencié

droit, tiotaire 4 Poqt-Ste-Maxence.n u a ^ A ^ i w a i j l i j t i t ! .^ » ^ p , ^ « | a ^ , I w « « « . < . « 'M to a u M V l i .

l ni *

S tudette J f - i d n l l e t . huissier-prlesni JtCtépT.

Récoltés AUBopicil

E c u r i e .A VOLONTE

8 ’ad re tn r k M. DIDIER, l i t rue de I . OauMUarla, k SenUs.

il y prit tou t da

k vénal r e m a sra l jn il ira t ia, Eu U ealle de le. Mairie de Vsrbrrie,30 i tè re s ,* p é tml t oJk— dMt C JhnaM m r, M ije jk^B É É tariàl^ein db

IMlltllIlllilE *r»pstrièiêw , I»sues , de REQUIHIt.

,

G r a n d e P r o p r i é t é dite Villa Contorier

Sise près la gare de Chantilly, C o m p re n a n t M a iso n d ’h a b ita tio n ,

C o m m u n s , P o ta g er e t P a r c d e 1 0 h e c t a r e s .

Nota. Cettu Propriété, par sa proxi­mité de la gare (ulle n’en est séparée que par un chemuij, peut convenir à des établissements industriels et, par sa si­tuation au milieu de la forêt, 4 un grand établissement de courses.

On entrera en jouissance de suite.On traitera avant l ’adjudication, s’il est

fait des offres suffisantes,S ’adresser pour tous renseignements, A M* Balézeaux, notaire 4 Chantilly.

M A I S O I VSise 4 Laraorlaye, sur la route de Paris

4 Amiens,A V e n d re p a r a t l jn d ic a l io n

En I étude e t par le ministère de M* Balézeaux, notaire 4 Chantilly,

Le Dimanche 3o Juillet, 4 deux heures.M is e à P r i x : 3 ,0 0 0 f r .

Sadretser pour tous renseignements, A M* Balézeaux, notaire.

Etude de M* Pu. . « J o b e y , notaire 4 Çrépy-en-Valois (Oise).

M A IS O VA Magneval, commune de Séry, e t 5 P iè c e s d e T e r r eAux terroirs de Séry etj daignes,

A v e n d re p a r a d ja d ie a tio »A Séry, en la salle d'école,

P « r le mtnistère de M* Jobet,. notaire • Crépy,

. Le Dimanche 9 Juillet 1876,4 midi. S'adresser audit M* Jobby, notaire.

A V e n d re a u x E n c h è re sLe Dimanche 9 Juillet, 4 une heure.

A u c h â te a u d é S é r y , p rès C ré p y . Par le ministère de M* Jobky, notaire

i Crépy,

13 Vaches à lait,4 O é n is s e s e t 4 V e a u x

de raceshollandaises,suisses etnonqandes

Etude de M* R i c h a r d , notaire 4 Ppnt-Sainte-Maxence.

Petite «tison dé CampagneN o u v e lle m e n t éd ifiée .

Sise aux Ageux, près Pont-Ste Maxôdce,A V em dre p a r a d ju d ic a tio n

E n l’étude et par le ministère de M* Richard, notaire d Pont,' ,

Le Dimanche 9 Juillet, 4 deux heures. S’adresser audit M* R ichard, notaire.

A IK J UJMCA^TIONiEn Tétude de M* DugUet, notaire 4 Creil,

d u d it I r D û o u ir , et deloi». A DeI«»_o..- AU. ~Par le ministère c» » m. . — ASUUUMT,

Avis important.V ü n i o n gén é ra le d u N o rd ; com­

pagnie d ’assurances'contre l’Incendie, au capital social de d e u x m ill io n s i demande des AGENTS GENERAUXpour les villes de Senlis, Etampes, Mantes, Pontoise et Corbeil.

Celte Compagnie, dont le siège central est 4 Lille, boulevart de la Liberté, 37, est très honorablement connue dans le Nord; elle présente de grands motifs, de préférence au public assurable et elle existe depuis 9 ans.

Adresser 4 Lille sa d> mande, en indi

3uant des références. Renseignements 4 tsposition.

LA HATIGUALE:< Ml'ACME D’ASSl’BANCES Sl'R LA YIE UlCiblic à Paris, r. de Granmont,

et r. du Qmire-Scpteinbre, 18 Anciennem ent C o m p ag n ie H oyale

Foods de garantie : 130 miUioos

ASSURANCE EN CAS DE DÉCÈS POUR LA VIE ENTIÈRE

Participation dans les bénéfices de la Compagnie

RENTE VIAGÈRE IMMÉDIATE OU DIFFÉRÉE -

Capitaux payés aux décès des Assurés depu is l 'o rig ine dela Compagnie 33,009,563 fr.

Arrérages pavés auxR e n t i e r s . . . . 135,371,154 Ir.

lienéûces payés aux Assurés en cas de décès p ou r la vie en tiè re ................... 14,408,052 fr.

f adresser pour les renseigtumnlt, i Senlis, 4 M. MaHON; a Beauvais, 4 MM. MONNEHAYE père et fils; 4 Clermont, à M. CAULUEZ; 4 Compiègne, 4 M. DUFAY fils ; 4 Creil 4 M. LOUCHEZ-

TIMINSKYE Q U A R R IS S E U R A C R E IL . Engrais animal de très bonne qualité.

— SABLE DE RIVIERE. 1 " qualité,4 2 (r. le mètre, pris 4 Creil.

RODIER, pal de ta

lIViJlLtl

LE B IE N T U B U CJtarnil qactldlcs. Hlltlqa* «t lltUrtlr*

l.K PLU* VADIIÎ DES JOURNAUX ifrURUX

« Pir Itt ptt

tm uuurnnl do* Jeunes M*i«a L a V io d o inon tlq a e , e to .

m ilneli: 1 5 (r. SllB'U: 30Un Numéro SS centim

ENVOI DE NUMÎÏÏFs SPÉCIMENS 113’ifar. eriaui ■- ......_ ir. dewumdt par Uttrt a/fninkUP a r i s , H u ô G oquH éï*o iîl, B 11

R É F O R M E É C O N O M I Q U É i: qturiiK Bi.stBNsiiiti.Mt'

. tttllêxi Sotlolet, PùllUqtuA. fût, . . BtUntifiuei. Muiiritllti. Aÿrieotei, CommerMaP a r a i t lo l - ' e t l e 1 6 d e c h a q u e m o le

- 1» utuimixi m u n néiiu* surdix-O*

dro .l un1 Blionnemenl tfuq,,, < os’.ié, moyunnant SI fr.» Il u,de<70 <.t ,tr.nxn.

ABOIV^J IflMICrVTS;V* n , 14 fr. | S xavlt, l ] fr. | Tr*i* ad* | f e ï

; Prix dii lfmitfn! * front. q, . |F«rlf,t\o«da FAQbaorgHoDtiaorti*, 1S

Demandes et ^Offres.'■m -ut ,V<i- ■' | Mi . j.i '.ijfiiij. ■ Tlir.i

O n ’a e m a n d e pourune Fcrqiq ipiporlante du ,«anton d»

------------ * I I « q p t, d p— r , , u n a u r v e i i ; c u l t u r e .

B o n s a p p o in te m e n ts . S’adresser au Bureau du Journal.

. 8 © “ O n d e n t u r i d Q u n © b o n n e au courant du mébage,sachant coudre,

i ”adresser au Bureau du Journal.

M * « '‘e l b o i s , avoué ‘ 4 Senlis, d e m u n d e u n i > r l r i -c ip a l 4J 1è r e et u n e t ^ l e r c .

O n d e m a n d o ùn o n t . ! ex *>■*■* a i ■ • lo i- ‘A p p re n t i s e r i 'u r le r .

S'adresser au B ’ ' *r au Bureau du Journal.

MBST Madame Fug. .— modiste, 8 , rue de Beauvàis, 4 Senlis, d e m a n d e une A pprèx itln .■ m r AI* M o re l notaire 4

Senlis, d e m a n d e u n «eco n d C le rc .

•MT" E p ic e r ie , G ra in e ­te r ie .— M. DELARUELLE demauda dé suite u n co m m la t r è > » capable.^

<ln d e m a n d e u n A p p re n ti p â tis s ie r .

adresser au Bureau du Journal.

88T «YépAt d e b e a u Grahvier d e S e in e .chez M. D0UCET, horticulteur 4 Senlis.

M8T’ O n d e m a n d e u n /A p p ren ti m en u is ie r .

S adresser a u B ureau d u Jo u rn a l.

O n d e m a n d e u n >rentl p e in t r e

S 'a d re sser a u b u rea u d u jo u r n a l.

Y»fi~ O n d e m a n d e u n e C u isin iè re .

S’adresser au Bureau du Journal.

MF* M* P la rd , avouéè Senlis, plabe Lavarande, deq n an d e u n C lerc .

MffT M* D é m elin , avoué! Senlis, d e m a n d e u n p e t i t C lerc .

Huque de raniiHiE FARINE LACTÉE NESTLÉDont la basa est le bon la it de»0r: ? î - ?■'*»»• ;

Ce»t I*_mellIwr aliment pour la*

Dépôt i Pont-Sainle-Maxenre. k la pharmaeis LBFEVRE, l àll Cn. FRIGAUXk successnir.' -

nCyUmm

M a r c h é s «lu Département■ e a tm le , t " J a i l el.Fromcni itec». 18 57. — Huixon 17 59 —

Hctril) t A 38.— Seigle, U 8)-—'Orge,'14 50. —• A»0*»*, i l 75. . >

P*Jn (Uie officielle) le kit. t'<qualité 35 c. 9* qualité 30 e.

C lerm ont, t*' Juillet.BUIr* 100 kil «•quai. 97 00. 9*q. «6 00, Y“«l- •• » » — Méleil SÎ 60. - r Seigle

9* fïor**’ t" 'Ai» lé lit! «'* qualité 36 e.; 9* qt* 31 é. Çon|pl*i;Be. t*'juillet.Vrèéie»t l’hrtt. f q n . t . t é 90 7*.9* q«a-

lité 19 75,3* qualité 18 75. u-M*tei| 17 75 ** OU. - Orge 15 50 ^ Aveme

r i i t t l e l i l . t ' ‘qualité 37 e., 9*qUali;4 39 e .

n » . S. ^ , 1. 87 00, 8<!qualité, 96 00— Méleil a è'aA U. M gle 17 00. — Orge. 90 évolue «<•

lalité 8500-— 9* quel. 94 00■ ta,Ml-, l ’VqoaHté. M

NuatenlI-le-aM èSonlo. ,

s j a j . n o » J p»t .T ( i ,

P*iu bUue (taae offlcèsuie) le lU .iri tf. 35 e., ^ J- i g9 .£,| ((*** de* boUtauWer>, t " Kv31,|/9. ” , * ’

' rèm Sulnée-B inuw iee.IdJuU i. : " IBlé lèa lOO kil. «"quai. 97 00, 9* q t

V q u a i. 95 00 - Mcuil 29 00 . — V .L ïï ' 17 00< T Orge 29 uO * A v W S e ! |« lŒ ^ 26,00; «• qu«|iW U do. ■ V

37 «„«/$. d. jkia, S i e ^ l J

Pid*eldteresP»fil

exn

*PUel©Ueelle .de

doimisièidfetiven

t

I Ison

d u |f» * 'pouleu rquelminiBflMiCassbué 'gens

b t

mem se li lions '«•ail Chan ’Chéq

, Voili

S•IL

iu ü ic

«nire le Ma

X « S

; * ê j i

M OI

irniiinabiiydytlTyiiy