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  • COMITE D’ORGANISATION ET COMITE SCIENTIFIQUE :

    N. Barnich, A. Bernalier-Donadille, Y. Boirie, L. Bruchet, F. Caldefie-Chézet,

    N. Cano, V. Coxam, A. Daneault, C. Domingues, P. Duché, S. Mahbouli, A. Jordan,

    S. Pastourel, E. Rock & L. Wittrant

  • SOMMAIRE

    Liste des intervenants _______________________________________________ 5 Programme _____________________________________________________ 6 Mercredi 18 septembre : Nutrition et sport

    Le sportif nécessite-t-il des apports nutritionnels spécifiques ? ___________________ 9 Intérêt et risque des compléments alimentaires ____________________________ 13 Nutrition et cerveau chez le sportif de haut niveau _________________________ 14 Nutrition, contrôle de la masse musculaire et performance _____________________ 27 Nutrition et activité physique en altitude _______________________________ 35 Nutrition et activité physique dans l’espace ______________________________ 39 Dépistage des troubles alimentaires chez le sportif __________________________ 51

    Jeudi 19 septembre : Recherche en Nutrition : Concept, attente de la société, place de l’industrie

    Recherche en nutrition et politique de santé _____________________________ 55 Recherche translationnelle : bases conceptuelles ____________________________ 61 Attente et contribution de l’industrie __________________________________ 64 Illustration clinique ____________________________________________ 69 Apport des techniques à haut débit __________________________________ 76 Apport de la modélisation à la rechrche en nutrition ________________________ 77 Apport des études de cohortes _____________________________________ 82 Nutrition personnalisée __________________________________________ 91

    Vendredi 20 septembre : Nutrition et tube digestif

    Relation entre nutrition et physiologie digestive ___________________________ 93 Absorption des micronutriments : de la matrice aux variants génétiques _____________ 98 Dialogue entérocytes-bactéries _____________________________________ 103 Intérêt clinique des pré- et probiotiques _______________________________ 111 Microbiote et santé : exemple de la stéatose hépatique ______________________ 117 Microbiote et métabolisme des nutriments ______________________________ 123 Nutrition et pouvoir pathogène des bactéries ____________________________ 130

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    NUTRITION ET DE

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    NUTRITION ET

    DEPISTAGE DECH

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    NTRODUCTION

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    ECESSITE-T-IL DESNNELS SPECIFIQU

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    ALIMENTAIRES

    CERVEAU CHEZ L

    HAUT NIVEAU

    ~ DEJEUNER

    TRICES : N. BOI

    CONTROLE DE LA

    RE ET PERFORMA

    T ACTIVITE PHYSI

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    ~ PAUSE

    T ACTIVITE PHYSIQ

    L’ESPACE

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    CCUEIL

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    STEPHANE WALRCLERMONT-F

    ROMAIN MEEUSBRUXELLES

    LE FELLMANN

    XAVIER BIGARPARIS

    VINCENT PIALOLYON

    ALAIN MAILLETOULOUSE

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    JEUDI

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    HERCHE EN NUTR

    DE SA

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    CONCEPT

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    NTE ET CONTRIBU

    ILLUSTRATION

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    MODERAT

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    APPORT DE LA MRECHERCHE

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    NUTRITION P

    19 SEPT

    RATEUR : Y. BO

    RITION ET POLITIQ

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    N CLINIQUE

    ~ DEJEUNER

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    NIQUES A HAUT D

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    EN NUTRITION

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    UDES DE COHORT

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    OHAMED HANAFI NANTES

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    ENDRED

    MODERATEURS

    RELATION ENTREPHYSIOLOGIE

    RPTION DES MICR

    MATRICE AUX VARIA

    ~ ~ ~

    DIALOGUE ENTÉRO

    INTERET CLINIQPROBIO

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    MODERATEURS

    ROBIOTE ET SANT

    STEATOSE H

    MICROBIOTE ET MNUTRIM

    TRITION ET POUVO

    BACTE

    I 20 SE

    S : A. BERNALIE

    E NUTRITION ET

    E DIGESTIVE

    RONUTRIMENTS: DANTS GENETIQUE

    ~ PAUSE ~

    OCYTES-BACTÉRIE

    UE DES PRE-ET OTIQUES

    DEJEUNER

    S : A. DARFEUIL

    TE : EXEMPLE DEHEPATIQUE

    METABOLISME DES

    MENTS

    OIR PATHOGENE

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    , J. FIORAMON

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    PATRICK BOREL MARSEILLE

    ERVE BLOTTIERE OUY EN JOSAS

    PHANE SCHNEIDERNICE

    S. SCHNEIDER

    HILLIPE GERARD OUY EN JOSAS

    NICK BERNALIER-DONADILLE

    CLERMONT-FD

    COLAS BARNICH CLERMONT-FD

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    SPORTITRITIO

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    acien biologisr d’université

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    ste é en Sciences

    erche : ue de l’enfan hydratation, raînement

    NTERVENTI nutrition dutique sur le nce optimale

    onnels du spoé modérée ne, les sportifst des apports

    CESSITS SPEC

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    sse) en Physimont-Ferrand service de

    rrand

    t, nutrition, e composition

    ON sportif doive plan quantichez les jeun

    ortif de loisirne diffèrent s de bon ou spécifiques.

    TE-T-ILCIFIQU

    MANN ecine Dunant Ferrand

    ologie : Labo Médecine

    entraînement corporelle, c

    ent répondre itatif et quaes, et enfin a

    r pratiquant 2pas de ceuhaut niveau s

    L DES UES ?

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    ompartiments

    aux exigencealitatif, optimassurer santé

    2-3 heures pux conseillés s’entraînant 2

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    et des Expl

    s liquidiens, n

    es suivantes :iser la perfoet longévité.

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    2 à 3 heures

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    : couvrir ormance,

    d’activité opulation ou plus

  • 10

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    point de vumales » plus rée. pense énergéten moyenne tion généraleet éprouvantsmance mais ss coureuses s hypocaloriqcrétions en pution du pice). point de vue ès nombreux e, l’intensité donditions ambrance en paration. Ils petique total (cconstituer desprécédents lation glucidiqmance; et 3ène consomm

    mique, glucide ns sucrées egies. que les protéports en proes sports d’enaire. Les prottion des protteur contre leque les lipidegé et d’intenlé pour la posoins dans lat en ambiancêtre augmen

    e quantitatif celles liées

    tique varie dde 3000 à

    e). Ces chiffres. Un déficit éurtout peut êde longue diques responsaprogestérone c de masse

    qualitatif, les facteurs : le

    de l’entraînembiantes. Les rticulier les euvent représcontre 50-55%s réserves im’épreuve ; 2que, à retard3) pendant mé pendant la seul ou méet le timing

    éines jouent utéines sont sndurance ou téines intervietéines lésées es radicaux libs fournissent sité modérée,opulation géna plupart desce froide, pountée. En reva

    f, les apports à l’exercic

    dans de large 5000 kcal/jes peuvent pénergétique cêtre préjudiciaistance ou lebles de carenet œstrogèneosseuse ains

    sportifs ont e type de sment, la prépapports en

    jours précédesenter jusqu’à% chez le séportantes en ) pendant lder l’hypoglycla récupérata course. Le élange de glug dans l’app

    un rôle faiblesupérieurs à de force et pennent pour fpendant la cbres. une part im, l’apport estnérale (25-30s situations ur lesquelles lanche, un rég

    ts énergétiquce pour mai

    es proportions (≈ 50 kcaparfois doublechronique peuable à la sanes gymnastes nces en Fer ees (induisant si qu’une dim

    des besoins sport pratiquéparation de co glucides soents l’épreuveà 60% et qdentaire). Cesglycogène ma compétitiocémie et la ftion, reconstichoix des ty

    ucides), la coport glucidiq

    e dans la prceux d’une ppeuvent atteinfavoriser le gcontraction m

    mportante de t peu différen0% de l’énergà l’exception a charge en gime pauvre

    es doivent cintenir une

    s suivant le al/kg/j) (37-4er lors de rut être à l’orité des athlète sont souvenet en Calciumretard puberminution de

    spécifiques qué, le sexe, lompétitions pont privilégiée, pendant laquelque fois s stratégies nmusculaire et on, à maintefatigue centraituer rapidemypes de sucreoncentration eue condition

    oduction énepopulation séndre 1,7g/kg/gain de massemusculaire et

    l’énergie surnt ou légèremgie ingérée). d’épreuves lipides, gros en lipides (

    couvrir les dbalance éne

    sport pratiqu40 kcal/kg/j raids particuliigine d’une bes. En particunt fragilisées m et de perturtaire, retard la densité

    ui varient en l’âge, la pérparticulières aés pour les a compétition70-85% de

    nutritionnelles hépatique duenir un hauale et à optiment les stoes (valeur deet/ou osmolanent l’efficac

    rgétique à l’edentaire que /j soit le doue musculaire, jouent aussi

    rtout si l’exerment inférieur Il suffit pourendurantes epourvoyeur d< 15% de

    dépenses ergétique

    ué et le pour la ièrement baisse de ulier, les par des

    urbations dans la minérale

    fonction riode de ainsi que sportifs

    n et en l’apport visent : urant les ut débit miser la ocks en e l’index arité des cité des

    exercice, ce soit ble d’un pour la un rôle

    rcice est à celui r couvrir xtrêmes, d’énergie l’apport

  • énergétessentiLes bele spodemansupplémmais aEnfin d’amél En congénérasédentaendurabien pa prioantioxymis à pas so

    tique total) pels. esoins en micortif de hautde accrue pomentations peavec grande mde nombreuxioration des p

    nclusion, l’alile. Cependanaire. Les apants. Les appoour les sport

    iori nécessaireydants peuvenla dispositiouvent des rés

    pourrait enge

    cronutriments t niveau en ost exercice peuvent être emodération. x complémentperformances.

    imentation dunt, les besoinpports en gluorts en protéiifs endurants es. Des supnt être envisn des sportifsultats à la h

    ndrer des car

    (vitamines, mraison d’un

    pour la synthenvisagées dan

    ts proposés a

    u sportif doins quantitatiucides doivenines sont sup que pour lesplémentationssagés dans cefs et destinésauteur des es

    rences en vit

    minéraux, ant turn-over ahèse et la répns certaines p

    aux sportifs n

    it être diversfs sont supént être privérieurs à ceus sports de fos en vitaminertaines situas à améliorerspérances.

    amines liposo

    tioxydants..) accéléré pendparation du phases de la

    ne répondent

    sifiée comme érieurs à ceuilégiés surtouux de la popuorce. Les suppnes, minérauations. De nor leur perform

    olubles et acid

    sont augmentdant l’effort tissu musculapréparation p

    pas aux all

    pour la poux d’une pout pour les ulation générapléments ne sux, oligoélémmbreux compmance ne per

    11

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    UME DE L’IN

    ercice et la nuercice et la nu

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    RomDept.Vrije

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    eeusen, (PhD)russel. His reexploring th

    tment has a n is the first ege of Sportion in healts physiotherapournals, 18 band internatiast President the ECSS, andhe received cise and the it Brussel. H where he wnstitute’ (Lott

    NTERVENTI

    utrition peuveutrition peuveâgées

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    main MEEUt. Human Phys Universiteit B2 – 1050 [email protected]

    ) is head of esearch interehe influence special interauthor on th

    rts Science (h & disease. py. Romain books on spoonal conferenof the Belgia Board membthe Belgian Brain’. He is e is director

    works with seto-Belisol prof

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    also holder of the Humeveral top athfessional cycli

    le développet renverser le

    HEZ LE

    ment of Humad on “Exercinsmitters on brain aspects’ statement ont work is oon exercise per 380 articlerapy, and garesident of thn of Sports Pmerican Colleghair’ at the of two name

    man Performahletes, and isng team).

    ment du cerv déclin cognit

    SPOR

    an Physiologyse and the Bhuman perfo’ of the Overn ‘Overtraininon Thermoregphysiology, traes and book ave lectures ahe Belgian SoPhysiotherapy.ge of Sports Université L

    ed lecturing cance lab of ts scientific ad

    veau chez les tif chez les

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    jeunes

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    ercice et la nuanismes qui statigue occasionterventions n

    duction

    à l’activiténombreux élés cardio-vascues telles la s’appuie sures sur le on peuvent ie et la cogni

    oppement d

    es études é et piètrea condition mances scolair

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    que les perl’activité phyde fonction c

    ture cérébr

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    utrition influetimulent la nennée par l’exnutritionnelles

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    de la fonction

    transversales e rendement physique d

    res.

    considérablemctions cérébrositive sur cides gras osoutien des

    e. Toutefois, ont néfastes tress oxidatif Pinilla 2011).

    rformances cysique et le cognitive due

    rale

    cognitives se a démontré

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    certains déuvent que l’ancer du collzheimer, la rition et t article tedéveloppeme

    n cérébrale

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    té du cerveau

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    pen et al 2

    on physique. à la mémoireoins bonne

    u cerveau réau n’est pas ont réalisé de et blanche ontré que 2 étaient assveau.

    âge plus

    et temporalvité physique d’un an ave

    ntré que l’enaméliore la

    volume de l’hux ans, alorsmes du noyaconstatations

    e volume hipn et al 2011)

    r des animas d’entraînemimpliqués daé du cerveau lésions etsa fonction ner les neurohiques joumétabolisme

    neurotrophin plus susce

    2010). Le

    Leur hippoc) est plus d condition p

    pond à des l’apanage dees IRM fonctchez 94 adule BMI, le ociés à une

    avancé, l’ex

    l médial son augmente lec 120 adultentraînement mémoire sphippocampe ds que ce mau caudé ets indiquent ppocampique .

    ux ont démment a un efans l’apprentu à s’adaptert à acquéneurales. Les ones à survient non seénergétique c

    nes, le bptible d’être BDNF poss

    campe (une développé quphysique. (Cha

    stimuli spéces seuls enfationnelles pouultes âgés (âtaux d’insul atrophie de

    xercice peut

    nt plus dévea perfusion es plus âgésphysique augpatiale. L’entde 2%, retarmême volumet du thalamque l’exercichez les ad

    ontré qu’un ffet positif suissage et la r à des crir de nou neurotrophinivre, se difféeulement un central et pér

    rain-derived régulé par sède un lar

    zone du ceue celui d’addock et al.

    cifiques au coants, elle exisur évaluer l’âge moyen line plasmatiqes régions fro

    t influencer

    loppés chez hippocampiqus (55-80 ansgmente la taitraînement pdant la perte diminuait d

    mus n’ont pace aérobiqueultes âgés, a

    environnemeur la croissan mémoire. Cchangements uvelles informnes soutiennenérencier ou rôle en riphérique (Kn

    neurotrophil’exercice et

    rge réperto

    erveau essentenfants du , 2010a).

    ours de la vste à tous leatrophie du de 77 anque à jeun ontale, tempo

    r la morp

    des adultes ue. Dans us), Erickson ille de l’hipphysique amène de volume dans le grouas été affecte parvient àaméliorant ain

    nt enrichi, ince neuronaleCette neurop environnem

    mations en mnt la neuropse développeneurobiologie,naepen et al

    ic factor t l’activité poire de pro

    tielle à même

    vie. La es âges. volume

    ns). Les et le orale et

    phologie Les mieux n essai et al ocampe ne une liée à upe de tés par à faire nsi leur

    incluant et les lasticité entaux, odifiant lasticité er. Les , mais 2010).

    (BDNF) physique opriétés

  • neurotrsavoir: le replasticil’axone Le BDtaux dhautemmais indispeprocessénergét Nous libératial 200 Nutrit Les cognitimanipureport l’effort une in1997). est larnerveuxneurotr(5-HT),les efferepose neurotrémotiophysiolnerveuxavec dhydrate

    rophiques et la protectioemodelage aité synaptiquee; et l’efficacit

    NF réduit lade glucose sanment dosé enl’exercice p

    ensable au fosus moléculatiques (Wisse

    avons démion de BD8, 2010a,b, 2

    tion et fatigu

    interventions on mais ulations nutrde la ‘fatigu perçu nécessncapacité éven La fatigue rgement admx central ransmetteurs, , la dopamineets centraux sur les perturansmetteur ns, le sommlogiques (Meex central à des nutrimenes de carbon

    neuroprotectn et la survaxonal et e telle que té de la tran

    a prise alimenguin et amén graisses faitpeut contrer onctionnementaires centraux et al 2003).

    montré danDNF, indépend2011).

    ue

    nutritionnede nombreuitionnelles suue centrale’. saire à la prntuelle à prod ne se manimis que sont

    et particulièe (DA) et la de la fatigueurbations des est im

    meil, l’appétit,eusen et al.,travers des

    nts spécifiquene (CHO) et d

    tives dans levie neuronaledendritique la synaptogensmission syna

    entaire, augméliore la senst baisser la ces effets.t du système x et périphé

    ns diverses damment du

    lles peuvenuses recherchur la performLa fatigue seroduction de duire cette foifeste pas seles mécanisaussi impliqèrement les mnoradrénalinee durant l’exe concentrationpliqué dan l’axe hypot, 2006). Ce modifications

    es tels que de la caféine.

    système ne; l’expression ; la diffnèse dans l’aaptique.

    mente l’oxydatsibilité à l’in concentratio. (Molteni neuronal maériques du m

    études qsystème neur

    nt donc nes ont tentmance physiqe traduit à laforce (ou puorce ou puissulement au mes en jués dans lamonoamines e (NA) sont dercice. L’ “Hyns cérébralns les chathalamo-pituit mécanisme de l’alimendes acides

    rveux central n des neuriteférentiation arborisation d

    tion du glucsuline. Chez on de BDNF et al. 200ais est aussi métabolisme

    que l’exercirotrasmetteur

    non seulemeté de démonque, et plus a fois par unissance de sosance de sortniveau péripheu au niva genèse dcentraux quedes candidats Hypothèse de es en 5-angements deaire et de ninvite à matation ou des aminés (B

    et périphéres; la croissanneuronale

    des terminais

    cose, fait bail’animal, un dans l’hippo4). Le BDNintimement et de l’homé

    ice augmen central (Goe

    ent influencntrer les effparticulièrem

    ne augmentatortie désirée) tie. (Davis & hérique. En eveau du sde la fatigu sont la sérsolides pour la Fatigue Ce-HT, puisque sommeil-évnombreuses foanipuler le ses complémenCAA, tyrosine

    17

    rique, à nce et et la

    sons de

    isser le régime

    ocampe, NF est lié aux éostasie

    nte la ekint et

    cer la fets de ment le tion de et par Bailey,

    effet, il système ue. Les rotonine induire

    Centrale” ue ce veil, les onctions système ntations e), des

  • 18

    La nut Les ac Fernstrla valbiochimproducqui phenylaune élconsomIl a étatténuel’ingestadmis, mettre performd’épreucourse Les hy Une fatigueau coumaintieindiquad’hypoexercicdélivréeet al.,chronodisponimécanilié à Carter 61.37 59.57 avant protoco

    trition pour

    cides amine

    rom (2005) sline participamiques imporction d’énergsont des

    alanine et lévation rapmmation par té suggéré quer la sensatiotion de BCA les résultats au jour mance au uves chronom à pied. (Me

    ydrates de c

    autre straté centrale : urs de l’exeren) de l’appant une altglycémie. Lces d’une due aux muscle, 1997). On métrée afin ibilité en CHisme alternal’activation det al. (200min; CHO min) suite aet pendant l’ole, ce qu

    influencer

    s branchés

    soulignait claiant directemrtantes dans gie et la s dérivés tyrosine (Fepide de l le cerveau.’une réductioon de fatigAA sur la dis de plusieurun effet po cours d’exmétrées proloneeusen & Wat

    carbone

    égie nutritiol’ingestion de

    rcice prolongéport de subsération de L’ingestion drée approximes durant ce a aussi add’étudier les

    HO. L’absencatif pour ede récepteurs 04b) indiquai

    au rinçage dexercice. Enui suggère

    la fatigue ce

    irement l’impment et ind le cerveausynthèse de des ac

    ernstrom, 20eurs concen n de la prodgue et amélifficulté d’effors études bieositif clair sxercices de ngées, d’épretson, 2007).

    nnelle pourre CHO. L’eé pourrait éstrats énergétla fonction

    de CHO ammative de 60tte période dministré unes effets sur ce de résultexpliquer l’e aux CHO siient une am

    de la bouchen réalité, a que l’amél

    entrale

    portance des directement à telles quees neurotranscides amin005). L’intrations pl

    duction de sériorerait la rt perçu et sn contrôlées sur la capa longue d

    euves incréme

    rait influencffet bénéfiquegalement êtrtiques au ceet de la

    méliore la p minutes, mest estimée e solution glla performa

    tats bénéfiqueeffet ergogétués dans la

    mélioration de

    e avec une sucune solutiioration de

    BCAA. La leuà une multe la synthsmetteurs 5-nés aromangestion delasmatiques,

    rotonine dansperformance.sur la perform en laboratacité d’exercicdurée à inentales ou de

    cer le dévee de la compre lié à l’auerveau, de nperformance

    performance même si la qcomme très ucosée au cnce d’une aes suggérait énique des bouche (Cae la perform

    solution richeon n’était performance

    ucine, l’isoleutitude de fohèse protéiq-HT, DA eatiques tryptoe BCAA e augmentant

    le cerveau p. Si les effmance mentatoire n’ont pce ou suntensité cone tests navet

    eloppement plémentation eugmentation nombreuses cognitives ephysique poquantité de faible. (Jeukours d’une éaugmentation l’existence CHO, probabrter et al.,

    mance de 3%

    e en maltodeingérée durenregistrée p

    cine et onctions ue, la et NA, ophane, entraîne t leur

    pourrait fets de ale sont pas pu ur la nstante, ttes de

    de la en CHO (ou au études en cas our les glucose kendrup épreuve de la d’un

    blement 2004a)

    % (PLA

    extrines ant le pourrait

  • avoir bouche La caf La cafémécanidisponiglycogèque le(Grahasur le al., 20logique2003). montréal., 19 Les eindividla fréq Concl L’exerccerveaudévelopet la avenir cérébra

    Refer

    Acwortexercisamines Araya on ser33(3):

    été induite pe et le cervea

    féine

    éine a longteisme d’actionibilité en acène. Cependan moyen d’acm et al., 20 SNC, mécani003). Puisquement une a Les études é des amél96; McNaught

    ffets positifs us, ce qui nquence des pr

    usion

    cice et la nuu. Nous n’enppent dans lenutrition ont proche, d

    ale durant l’e

    ences

    th, I., Nichoe on concents. Biochem Bi

    AV, Orellana rum BDNF i300-304.

    par une comau.

    mps été recon de la ides gras libnt, ce résultaction de la c00). Les rechisme contrôléue l’adénosinaugmentation avec des su

    liorations deton et al., 20

    (et négatifnécessite la mrises avant to

    utrition jouenn sommes qe cerveau pet des effets des intervenxercice.

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    X, Espinoza in overweigh

    mmunication d

    onnue comme caféine a

    bres. (Spriet eat est loin dcaféine n’est herches actueé par antagoe inhibe lade la conc

    ujets humainse performanc008; Glaister

    fs) de la mise en placeoute compléme

    nt tous deux qu’aux débutndant l’exercbénéfiques suntions nutrit

    rgan, B., Nelasma aromatommun 137(1

    J, (2008) Eht and obese

    directe entre

    une substanété associé et al., 1992)’être convaincpas lié à l’élles soutiennenism des réca liberation entration en s, utilisant ce après l’inet al., 2008).

    caféine sembe d’une périodentation en c

    un rôle cruts de l’exploice, mais il eur notre tionnelles v

    ewsholme, E.tic and branc), 149-153.

    Evaluation of e subjects: p

    les récepteu

    ce ergogéniquà une au

    ), avec pour cant et il estépargne du gent plutôt uncepteurs à l’ade DA, la

    DA du cerv des proto

    ngestion de ca.

    blent très dde d’ajustemeconditions com

    ucial dans le oration des est évident qusanté céront se conc

    .A. (1986) hed-chain am

    the effect opreliminary ev

    rs présents d

    ue. Par la paugmentation effet d’épargt actuellementglycogène mun effet de la adénosine. (D caféine entveau (Davis ocols variésaféine. (Jack

    différents selent des dosesmpétitives.

    fonctionnemmécanismes ue l’activité pébrale. Dancentrer sur l’

    Effect of sumino acids and

    of caloric resvidences. End

    19

    dans la

    assé, le de la gner le t admis sculaire caféine

    Davis et traînera et al.,

    s, ont kman et

    on les s et de

    ment du qui se hysique ns un ’activité

    ustained d brain

    striction docrine;

  • 20

    Beelen,(2009)perform Berthocontrol Carter, mouth 2107-2 Carter,infusion1550. Chaddoassociapreado Chaddowith a Chambhuman8),: 17 Colcomolder Davis Camongoutcom Davis, Nutritio Davis, during

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    ervous system

    rvous system

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    n in the

    hydrate 6 (12),

    glucose ), 1543-

    of the ance in

    sociated

    in the 587 (Pt

    tion of

    evement se trial

    fatigue:

    fatigue

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  • 24

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    sci; 6(7): 655

    25

    d-chain nt. Eur

    ng time

    5-656.

  • 26

    NOTE

    ES

  • N UTRMUConseiller

    BIOGMédeciactif. appliqu

    Actuelledopageprésidesectorie

    RESUL’ajusteactualitquantitconsomque salimentparticuet les

    1. Les muscu

    La praL’exercsidératprotéol

    N

    RITIONSCULA

    scientifique d

    RAPHIE n, physiologisProfesseur aguée aux armé

    ement conseie. Vice-président de la socel « Physiolog

    UME DE L’INement des apté qui amèneté optimale dmmation. Toutoit leur nivtaires proposulièrement pouperformances

    besoins quaulation.

    atique de l’excice, en foncion immédiatlyse; la fin d

    N, COAIRE ET

    Xadu président d

    ste musculairegrégé du Vaées, du val-de

    iller scientifiqent de la sciété Dauphingie-biologie d

    NTERVENTI

    pports en proe toujours à de protéines àtes ces questiveau, c’est sés et de siur les sportifs en force-puis

    antitatifs en

    ercice de muction de sa t des synthèsede l’exercice

    ONTROT PERF

    avier BIGARde l’Agence fr

    75007 Paris

    e et de l’exel-de-Grâce ete-Grâce.

    que du présidsociété françané Savoie de de l’exercice »

    ON otéines chez lse poser de à apporter, dons sont d’unce qui explites internet s adeptes de ssance sont d

    n protéines c

    sculation affedurée, mais es protéiques correspond à

    LE DFORMA

    ARD française de lu

    ercice, nutritiot ancien titu

    dent de l’ageaise de méde médecine du» de la sociét

    es sportifs re très nombrede leur qualitn grand intérlique le nomtraitant de disciplines po

    des détermina

    chez le spor

    ecte notablem aussi de s musculaires à une augme

    E LAANCE

    lutte contre le

    onniste du splaire de la

    ence françaiseecine de l’exu sport, et até de physiolo

    este à ce joureuses questioné et/ou du mrêt pratique pmbre croissa ce sujet. Eour lesquellesnts important

    rtif s’entraî

    ment le métabon intensité, avec un accrntation rapid

    A MAS

    e dopage,

    portif et de lchaire de re

    e de lutte coxercice et duanimateur duogie.

    r un sujet dens qui traitenmoment idéal pour les sportant de compElles se pose la masse muts des perform

    înant en

    bolisme des p induit un roissement du de et importa

    27

    SSE

    l’Homme echerche

    ontre le u sport, groupe

    e grande nt de la de leur tifs, quel pléments ent tout usculaire mances.

    rotéines. état de flux de ante des

  • 28

    synthèsprotéolensuiteainsi particuaminés

    1.A. Eva

    Chez cprotéinentraînCependfacteur

    C’est l’équilisuffisanglucidedoit va

    1.B. Re

    Au plamasse équilibminimanutritioprotéinnutritioapports

    Chez leà augmapport valeurscadre performéquilibde hau

    On con

    ses en protélyse continue e. Les conséqque les pro

    ulièrement pos qui devra êt

    valuation des

    cette catégornes. La rationnés en muscudant, les besors, dont l’état

    la raison pobre du bilannt, variable ses doivent reparier entre 6

    ecommandati

    an pratique, cmusculaire

    rer le bilan al pour faireonnelle, prenanes du lactoséonnelle des ps nutritionnel

    es athlètes chmenter la dis protéique as correspondede discipline

    mance. Les rée, le dernieute valeur bio

    nstate cepend

    éines structur à croître juquences sur leocessus de ur les exercitre compensé

    s besoins nutr

    rie de sportn protéique nlation a pu êoins en protét d’entraîneme

    our laquelle azoté (Buttsuivant le typprésenter de et 10 g.kg-1.j

    tions d’apport

    chez les athlène doit êtr azoté peuvee face aux ant en compérum, caséine)rotéines et des variant de

    herchant à déponibilité localimentaire vaent à un apes dont la deux tiers der tiers pouvologique.

    dant depuis d

    rales et foncusqu’à 3h apes besoins endégradation ices de musce par les app

    tritionnels ch

    ifs, l’attentioécessaire pouêtre estimée àéines sont suent et l’appor

    l’apport énerfield et Cape d’activité, 55 à 60% dj-1.

    rt en protéine

    ètes confirmésre qu’entreteent être estibesoins est te leur diges). Des correcte la variabilit1,3 à 1,5 g.k

    évelopper leurale en acidesariant de 1,8pport optimalmasse muscude l’apport vant reposer

    e nombreuses

    ctionnelles duprès l’arrêt dn protéines nprotéique p

    culation, sont ports.

    hez l’athlète e

    on est d’embr équilibrer là 1,6-1,8 g.kgusceptibles dert énergétique

    nergétique realloway, 1984la masse mu

    de l’apport én

    es.

    s dans des dienue, les apimés entre indicatif poustibilité et leutions sont à até interindividkg-1.j-1.

    r masse muscs aminés. Dan8 à 2 g.kg-1

    l pour les pulaire constitdoivent êtresur des comp

    s années que

    u muscle, alde l’exercice ne sont pas prolongés da à l’origine

    entraîné en fo

    blée attirée e bilan azotég-1.j-1 (Tarnope varier en fe.

    présente un ). L’apport éusculaire et lenergétique, et

    isciplines de fports protéiq1,1 et 1,3 ur des protéiur valeur bioapporter en fduelle. On peu

    culaire, on pens ces condit.j-1 peut alorperformances tue un des e réalisés papléments sous

    chez certain

    ors que le pour enfin dnégligeables, ans le tempd’une perte

    force

    par les appé chez des supolsky et coll.fonction de d

    facteur maénergétique de poids corpot l’apport en

    force, et pouques suffisang.kg-1.j-1. Cetines à hauteologique (ovafonction de laut alors prop

    eut concevoir tions particulirs être propomusculaires déterminants

    ar une alims forme de p

    s sportifs les

    flux de diminuer et c’est

    ps, tout d’acides

    ports en jets très , 1988). différents

    ajeur de doit être orel. Les glucides

    r qui la ts pour apport e valeur lbumine, a qualité oser des

    l'intérêt ères, un osé. Ces dans le s de la mentation protéines

    apports

  • quotidiComptede vali

    2. Les

    La défcritèresd’appoprendraussi d

    2.A. La

    L'appo(isoleuchistidinpource

    La combiodispbiologisa diggénéradigestibnotion

    L'appod'un L'enricl'inconvla comet encompléd’hydropréparadoiventinsuffis

    iens sous fore tenu de l’éider, des appo

    s besoins qu

    finition d'apps qualitatifs qrt dans la joe en compte.de leur vitesse

    a valeur biolo

    rt alimentaircine, leucinene). Pour les ntage importa

    mposition en ponibilité poque. C’est pogestibilité, ce le, les protébles) ont une mérite maint

    rt complémenenrichissemenhissement de vénient d'aug

    mplémentation acides amémentaire estolysats de pations en act respecter sante peuvent

    rme de protéétat actuel deorts très élev

    ualitatifs.

    orts nutritionqui tiennent ournée, etc. . Celle-ci relève de digestion

    ogique des pr

    e doit perm, valine, lyprotéines de ant, approxim

    acides aminésstprandiale ourquoi la comqui permet

    éines d’origine valeur bioltenant d’être

    ntaire en pront de la la ration aligmenter l'app sur des prot

    minés soufrést réalisé au protéines ou cides aminés un certain représenter

    éines excèdene nos connaiés, parfois su

    nnels conseilléà la nature L’efficacité nuve de la valen.

    rotéines.

    ettre l'approvsine, méthio haute valeurmativement 40

    s des protéineconstitue aumposition d’ude détermin

    ne animale logique supér considérée av

    otéines, lorsquration alimeimentaire en port en lipidetéines végétals. Très souvmoyen de pd'associationindispensableéquilibre, caun facteur lim

    nt très largessances, il esupérieurs à 3

    és en protéindes protéinesutritionnelle deur biologique

    visionnement nine, phénylr biologique, 0%, de l'ense

    es est un critussi un factune protéine ner sa « vale(riches en arieure aux prvec plus de p

    u’il est indiqentaire, ou protéines anies et en acidles peut condvent en mipréparations ns d'acides es devra êtrar les acidemitant de la

    ment ces vast impossible g.kg-1.j-1.

    nes doit aussis à apporter, des protéinese des protéine

    en acides alalanine, thréces acides amemble des acid

    tère de qualitteur essentiealimentaire deur biologiquacides aminérotéines végétprudence.

    ué, peut êtresous forme

    imales d'origides nucléiquesduire à un déilieu sportif, industrielles daminés. La e étudiée aves aminés pprotéosynthès

    aleurs recommde justifier,

    i être vue se du moment est fondamees consommé

    aminés indispéonine, tryptminés représendes aminés.

    té reconnu, mel à leur edoit être corrue ». D’une s essentiels tales, même

    e réalisé sur e de compne carnée pes. Inversemenéficit relatif e l'apport pde protéines composition vec attention résents en se.

    29

    mandées. et donc

    elon des optimal entale à es, mais

    pensables tophane, ntent un

    mais leur efficacité igée par manière et plus si cette

    la base pléments. eut avoir nt, baser en lysine protéique totales, de ces : elles quantité

  • 30

    2.B. Vi

    En preet les digestiopar l’edes caabsorbl’utilisaprotéinprotéiqconditisynthèslentes) substrarend ppermetde mas

    2.C. Pl

    Un intprotéinafin deet les aminésfractionde lacprès dpar la

    Ces prcompossynthèsmusculprotéinprotéiqconséqconsom

    Vitesse de dig

    enant l’exemp protéines don. Les protéestomac, et leaséines précipés plus lenteation protéiqune dite « lenque postprandons de reposse protéique stimulent peats énergétiquplus intéressat ainsi de mosse maigre (B

    Place des prot

    térêt particulines d’origine e maximiser l produits dés, de vitaminen micellaire (tosérum). Le e 80 % de c ß-lactoglobul

    rotéines du lsés azotés ; se protéique ation (Hartmnes du lactosque, au reposuence attendmmation de p

    gestion des pr

    le des deux fdu lactosérumines du lactoeurs acides apités dans lment. Les coue postprandinte », est pdial (Boirie es, l’ingestion mais aussi l

    eu l’oxydationues aux protantes pour leodifier leur cBoirie, 2004).

    otéines d’orig

    ier s’est portlaitière sur es effets de lérivés sont ues et de miné(constituée de lait de vachcaséine et prèine, l’α-lacta

    lait (caséine elles paraissemusculaire man et coll., 2sérum induise comme à l’adue, c’est urotéines du la

    protéines, pro

    fractions protm, on constasérum restentaminés absorb’estomac, sonnséquences miale ont été plus efficace et coll., 1997de protéines’oxydation den et inhibent téines rapidese gain de mcomportement

    gine laitière.

    té ces dernièrla reconstrucl’entraînementune source inéraux. Selon e caséine), et he contient aès de 20 % albumine, la s

    et/ou lactosent plus efficamesuré dans la2007). Ingéréent une augmarrêt d’un exeun gain de actosérum, qu

    otéines lente

    éiques principate qu’elles t solubles à pbés rapidement libérés lemétaboliques dévaluées, et que son ho

    7). Chez des s du lactosérue la leucine, la protéolyse

    s freine l’oxyasse maigre. post-prandia

    res années suction musculat, notammentntéressante dleur structure de la fractioapproximativede protéines sérum albumin

    sérum) constiaces que les a phase de réées à l’arrêt mentation pluercice de musmasse musc

    ue de caséine

    es et rapides.

    pales du lait n’ont pas l

    pH acide, sonnt. A l’inversentement dande ces deux il a été momologue rapsujets non-spum (protéinesalors que le

    e. Cependant, ydation des aL’énergie as

    al et de favo

    ur le rôle quaire après det en musculatde protéines, e, on distinguon soluble (coment 30 g.Lsériques (repne bovine, etc

    tuent une soprotéines deécupération pd’un exerciceus marquée sculation (Tanculaire, plus e (Cribb et co

    s.

    que sont les a même vitt rapidement se, les acidesns le grêle profils cinétiq

    ontré que la ide sur l’anaportifs, pris ds rapides) sties caséines (p le fait d’ajoacides aminésssociée aux priser le gain

    ue pourrait jes exercices tion. Le lait dde lipides, e les protéineonstituée de pL-1 de protéinprésentées notc.).

    ource importe soja sur le précoce d’exere de musculadu flux de ng et coll., 20important

    oll., 2006).

    caséines tesse de libérées aminés et sont ques sur caséine, abolisme dans des imule la protéines uter des s et les protéines attendu

    ouer les intenses, de vache d’acides es de la protéines nes dont tamment

    ante de flux de rcices de tion, les synthèse 009). La avec la

  • 2.D. L

    Cette qinduiseprotéiqpendanl’état b

    Un appdes suj2009).

    Il convdans laque l’apas un

    3. Pro

    Si les sont mentraîncoll., 2retrouvmusculnutritioperformdes gl(Lynch,des prassociéla priscoll., 2

    En conactualitdérivesadeptealimentde muquantit

    L’horaire de c

    question se pent une pertuques. Le momnt laquelle il biologique d’a

    port de 20-2jets), permet

    viendra donc a phase de rapport de prn tiers de l’ap

    otéines et pe

    effets des prmaintenant panement en m2009), il n’enve que très aires à un onnelles sont mance muscullucides qui s, 2013 ; Ranrotéines végétées à d’autresse d’une bois2012)

    nclusion, les bté, largements du compors de disciplintation équilibsculation a ptés recomma

    consommatio

    pose principaleurbation impoment crucial faudra une anabolisme m

    25 g de proté d’assurer cet

    d’équilibrer récupération drotéines dans pport quotidie

    erformance

    rotéines de harfaitement dmusculation (Hn est pas de peu d’étudesprogramme

    proposées laire n’a été sont apportésnkin et coll., tales (Joy et s nutriments sson inerte s

    besoins en prt débattu, sortement alimnes de force/brée. Le comppour conséqueandées, alors

    on et la quant

    ement dans lrtante de l’éqest la phas

    parfaite disusculaire (Lev

    éines de hauttte disponibili

    les apports edes exercices les suites pr

    en.

    es musculair

    aute valeur bdémontrés surHartman et c même pour s qui se sonde muscula

    pendant la pconstatée quas en phase 2004), ou qcoll., 2013).s’avère logiqusans macronu

    rotéines du source de coentaire. Bien/puissance soiportement alience de majo qu’aucune

    tité de protéi

    e cadre des quilibre entrese de récupéponibilité en venhagen et c

    te valeur bioité en acides

    en protéines, de musculatirécoces des e

    res.

    biologique (etr les réponsecoll., 2007 ; les performa

    nt intéresséesation au couphase de récand ce sont de récupéra

    quand les pro Par contre, uement plus eutriment (Wa

    sportif constitntroverses, etn que les bent augmentéimentaire souorer les appodonnée expé

    éines à précon

    entraînementse les synthèseération précoc acides amincoll., 2001).

    ologique, suiva aminés essen

    au cours deion ; on veillexercices de

    t de l’apport es de la maMoore et conces muscula aux réponsurs duquel cupération. Ades protéinesation des séaotéines laitièr l’apport de efficaces sur lter et coll.,

    uent toujourst qui peut esoins en pés, ils sembleuvent déviant rts en protéiérimentale ne

    oniser.

    s en musculas et les dégrce de ces enés pour rép

    ant le poids ntiels (Moore

    s repas classera entre autmusculation

    énergétique sse musculairoll., 2009 ; aires. En effetes des perfodifférentes stAucune différes d’origine laiances d’entraes sont compprotéines seles performan 2013 ; Orm

    s un sujet dedonner coursrotéines des ent couverts des sportifs nes très au de peut justif

    31

    ation qui radations xercices, ondre à

    corporel et coll.,

    iques et tre à ce n’excède

    associé) re à un Tang et t, on ne ormances tratégies ence de itière ou aînement parées à ules, ou nces que msbee et

    e grande s à des sportifs par une adeptes

    delà des fier des

  • 32

    apportsqualitéphase

    Référ

    BOIRIE,METABO

    BOIRIE DIFFERE

    BUTTERMEN. BCRIBB PBODY CO

    HartmaSM. (2lean mweight

    Joy JMJE, Jägbody c

    Lynch carbohtwo ar

    LevenhPostexeprotein

    Moore Phillipsafter r

    OrmsbeKim Jperformstrengt

    Rankin(2004)training

    s aussi impoé des apportsde récupérati

    ences.

    Y. (2004) LISME 18, 25–Y, DANGIN M

    ENTLY MODULATE

    FIELD GE, CALR J NUTR, 51,PJ, WILLIAMS OMPOSITION AN

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    , Lowery RP,ger R. (2013)composition a

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    Tang JE, Glotein dose resg men. Am J

    mas DD, Warof six weekesistance traine-trained men

    MJ, Nickols- supplement -30.

    surtout portpport énergétmoment idéa

    PROTEINES «

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    f a complexfollowing higutr. 12;10(1):

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    rd EG, Kinseyks of supplening on anabn. J Int Soc S

    Richardson SM consumption

    tée ces derntique à recomal de consomm

    RAPIDES ». N

    7) SLOW AND NATL ACAD SCI PROVES PROTEIN

    FECT OF WHEY

    XERC METAB 16

    awrence RL, istance exercrbohydrate in

    O, Wilson SM, rice protein:86.

    x protein drigh-intensity r:31.

    , Borel MJ, l to recovery

    nson SB, Prioscle and albu9, 161-8.

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    M, Earthman n on adapt

    nières années mmander penmation.

    NUTRITION CLIN

    FAST DIETARY

    U S A, 94, 1N UTILIZATION I

    ISOLATE ON S

    6, 494-592.

    Fullerton AV, ise promotes young, novic

    Kalman DS, supplementa

    ink versus isresistance tra

    Flakoll PJ. y of leg gluc

    or T, Tarnopomin protein s

    navice E, Panwith multi-ines, body com2012 15;9(1):

    CP, Gwazdauations to re

    sur la ndant la

    NIQUE ET

    PROTEINS

    4930-5. N YOUNG

    TRENGTH,

    Phillips greater ce, male

    Dudeck ation on

    socaloric aining: a

    (2001) ose and

    lsky MA, synthesis

    nton LB, ngredient position, 49.

    skas FC. esistance

  • Tang Jhydrolyrest an

    Tarnoptraining

    Walter Size, ASupplemCond R

    JE, Moore DRysate, casein nd following r

    polsky MA, Mg status on n

    r AA, Herda TAnd Safety mentation: A Res. (sous pre

    R, Kujbida GWor soy prote

    resistence exe

    MacDougall JDnitrogen balan

    TJ, Costa PB, Responses ARandomized,

    esse)

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    9) Ingestion protein synt

    protein intal, 64, 187-93

    Muscle Perforaining And nical Trial. J

    33

    of whey thesis at

    ake and 3.

    ormance, Protein Strength

  • 34

    NOTE

    ES

  • N UTRALTBIOGVincent2009. physiolconséqd'Auveest resdu strepopula

    RESU

    Depuis démocrandins méthod(VO2masportifsde la amélioentraîntransporespectfacteurconfron

    N

    RITIONTITUDE

    Centre de

    RAPHIE t Pialoux estIl s'intéresse

    logiques (expouences cardiorgne sur la bsté 3 ans en ess oxydatif stion âgée.

    UME DE L’IN

    une quarantratisation des et himalayendes d’entraînax). En effet,s d'endurancemer. Ainsi, re la capacitner une améort de l’oxygètives de l'érytr de croissantées à des s

    N ET E

    VincMaîtr

    e Recherche etUn

    t Maitre de e plus partiosition à l'alto- et cérébro-balance pro/a post-doctoratsur la baisse

    NTERVENTI

    taine d’annéess randonnéesns mais aussiement qui p, l'entraînemee pour améliune expositioté de transpélioration de ène et la vasthropoïèse indnce vasculairséjours de plu

    ACTI

    ncent PIALOre de Conféret d’Innovationniversité Lyon

    Conférences culièrement titude) ou pa-vasculaires. Ilantioxydant at à l'Universide la pressio

    ON

    s, l’expositions sportives e auprès de spourrait améent en altituorer leurs peon régulière port de l’oxyla VO2max

    scularisation mduite par l’érre endothéliausieurs semain

    VITE

    OUX ences n sur le Sport 1

    à l'UFR STAPau stress oxathologiques (l a réalisé unau cours de lté de Calgaryon artérielle s

    n à l’altitude et/ou expéditportifs d’enduéliorer leur cde est aujouerformances pà une altitudygène et la et des perfomusculaire sorythropoïétineal. D’un autnes en altitud

    PHYS

    t, EA 647

    PS de l'Univexydatif en co(apnée du sone thèse de dl'entraînementy au Canada suite à un en

    s’est largemetions d’alpiniurance de haconsommationrd'hui fréquephysiques lorsde modérée vascularisationormances aéront augmentée et de l'angitre côté, lesde, lors de tr

    IQUE

    ersité Lyon 1onditions hypommeil, BPCOdoctorat à l'Ut en altitude, pour étudierntraînement c

    ent populariséistes dans leut niveau en n maximale emment utiliss du retour a(environ 200n musculaire,robies. La caes par les stogenèse indus personnes reks ou expé

    35

    EN

    depuis poxiques ) et ses niversité , puis il r le rôle chez une

    ée avec la es massifs quête de d’oxygène é par les au niveau 00-3000m) , pouvant apacité de imulations ite par le qui sont ditions en

  • 36

    haute masse Finalempourra ApporLorsqu’induisealtitudeCe phsituatiol’hémofortemele séjoil semb ApporIl a écorporeréductiprolongaltitudealtitudemodificLa moavancéindépedu méd’altitula dimdes appas la part dassociépart etde 15%dans le ApporLa cohypoxi

    montagne, decorporelle po

    ment, qu’ils s leur permett

    rts en Fer ’elles sont suent une prode (phénomèneénomène eston hypoxiqueglobine, est ent recommaur en altitudble que des v

    rts énergétiété largementelle traduite ion de la magées à des ale particulièrees entre 180cation du comdulation par e par plusiendamment deétabolisme deude. Bien qu’minution de mpports augmen perte de mes glucides, aé à la balancet de la quant% de protéine contexte.

    rts hydriquentrainte hypque d’altitude

    evront avoir our réussir leusoient sportifstre d’optimise

    uffisamment uction accruee appelé hypot même accee. La productdépendante dndé d’augmede. Des doses valeurs de 40

    ques t démontré qpar une d

    asse grasse. Ctitudes supérment intense00 et 2000mmportement al’hypoxie de

    eurs études pe la dépense e base qui, il ait été prémasse musculntés de protéasse musculaau détriment e énergétiquetité de glucidnes et de 60%

    es poxique prove) pour perm

    une bonne aur expédition.s d’enduranceer les processu

    prolongées (8e de globulesoxie, caractérentué par ution de globdes réserves nter les appo de 80mg pamg par jour

    que l’activité iminution deCe phénomèneieures à 3000s ou prolongm. Un des malimentaire q deux protéinpour expliqueénergétique. par exemple

    éconisé d’augaire, les réceines lors d’exire. L’exposit des lipides, e négative jusdes dans la ra% de glucide

    oque une amettre l’élimin

    cclimatation v. e, alpinistes ous physiologiq

    8 jours minis rouges pourisé par la baune lyse plusbules rouges, de l’organism

    orts en fer lear jour ont ésoient aussi e

    physique ene la masse e est quasime0m. Cependangés, la perte mécanismes dui se traduit nes régulatricer cette dimLe deuxième e, est comprmenter les apentes donnéesxpositions proion hypoxiqudans la fourntifie donc unation alimentes dans les a

    augmentation nation accrue

    ventilatoire et

    ou trekkeurs, ques précédem

    mum), ces eur pallier le aisse de la prs importanteen particulie

    me en fer. Ees semaines pété longtempsefficaces.

    n altitude momusculaire ment inévitablent, dans le cade poids peu

    de cette pert par une dimes de l’appét

    minution des mécanisme eris entre 10 pports protéiqs de la littérlongées en ale induit une niture énergée augmentatiaire. Un ratioapports énerg

    de la diu des bicarbo

    t limiter leur

    une nutritionmment décrits

    expositions enmanque d’ox

    ression partiel des érythroer de son cEn conséquenprécédentes e conseillées,

    odifie la commais aussi pe lors des expas d'entraînemut survenir pe de poids minution de ltit est une hyapports alim

    est une augm et 20% à ques pour corature suggèrltitude ne mo augmentatiotique. Ce phéon significativo de 25% degétiques est p

    rèse (hyper onates mobilis

    r perte de

    n adaptée s.

    n altitude xygène en le en O2). ocytes en constituant nce, il est t pendant cependant

    mposition par une positions ments en pour des est une l’appétit. ypothèse mentaires mentation 4000m mpenser rent que odifiaient on de la énomène ve de la e lipides, préconisé

    diurèse sés pour

  • pallier des peapports ApporDepuis augmel’associconnusoxygenles capantioxyaltitudeadaptapositiveHIF-1).de la de l’Os’entraîl’originacclimacompled’entral’adaptsans suEn coantioxy En conentraînadaptanégativaugmen’est p

    la baisse duertes hydriqus hydriques d

    rts en antiox plus d’une nté après uniation d’exercs pour augmen species » (Rpacités antioxydants exogène. Néanmoinsations physioement la pro. Cette protéiproduction deO2 en hypoînant en altne de l’augmatation. D’autexe de vitaaînement assotation des enzupplémentationséquence, ilydants les jou

    nclusion, les nent vraisemations hématovement par nter les appopas justifié.

    u pH sanguinues liées à lde 1,5 - 2 lit

    xydants décennie, la ne période dcices physiqueenter la produROS), engendrydantes de l’nes (vitamine, il a été mologiques à otéine maîtresine agit direce globules roxie, principatitude. En oumentation detre part, une mines antioxociant exerciczymes antioxyon. l ne nous purs précédents

    effets physiolblablement uologiques et des apports

    orts en fer, e

    . L’air plus sla respirationres par jour

    plupart des ’entraînementes d’intensité uction des rare vraisembla’organisme. Il s C, E, pro-vontré que le l’hypoxie. Passe des adapctement sur luges, indispenale adaptatioutre, ce stree la ventilatrécente étudexydantes augces physiques ydantes endog

    parait par ops et lors d’un

    logiques spécune modificaventilatoires. nutritionnelsen eau et en

    sec en altitudn. Au final, par rapport a

    études ont mt en altitudeélevée et d’e

    adicaux libres blement une semblerait dvitamines A estress oxydatiar exemple, tations à l’ala synthèse d’nsable pour con physiologiss oxydatif ation en altie vient de mgmentait le intenses et gènes qui sur

    pportun de n entraînemen

    ifiques d’une ation de la Ces trois ps inadaptés. glucides. Par

    de induit ausil est conseau besoin du

    montré que l. Lors de ceexpositions hy dérivés de l’production r

    donc logique etc) avant et if jouait un rles ROS p

    ltitude (hypox’EPO responsacompenser la ique rechercaugmenté entude, signe ontrer qu’unestress oxydexposition h

    rvient lors d’u

    conseiller unnt ou d’un séj

    exposition pcomposition

    phénomènes pIl convient

    r contre, l’ap

    ssi une augmillé d’augmen niveau de la

    le stress oxyde type d’entrypoxiques, de’oxygène ou radicalaire qude se supplémpendant un

    rôle importantpermettent dexia inducible able de l’aug baisse de dichée par les hypoxie estmajeur d’un

    e supplémentadatif après hypoxique, enun même ent

    ne supplémenjour en altitu

    prolongée en corporelle peuvent être alors de vpport en antio

    37

    mentation nter ses a mer.

    datif était raînement, ux stimuli « reactive i surpasse menter en séjour en t dans les e réguler factor 1, gmentation sponibilité s sportifs t aussi à ne bonne ation d’un un stage n inhibant traînement

    tation en ude.

    altitude et des

    régulés veiller à oxydants

  • 38

    NOTE

    ES

  • MEDES-I

    N UTRL’EIMPS (Institut

    BIOGDepuis Spatiald'expéspatialed'Aide CNES pOperatnécessaprotocosupporrédactiastronaexpérie

    RESULa polune évl’environutritioréduiteplanificregain

    La nutl’appor

    N

    RITIONSPACE

    t de Médecine

    RAPHIE 20 ans, Aes, Toulouse)riences de sies (CNES, ESau Développ

    pour participeions Centre) aire aux équioles expérimert comprend on et validautes), les meences et la di

    UME DE L’INitique d’explovaluation préonnement spaon n’a jamaie des vols. cation des vo d’intérêt, en

    trition joue prt alimentair

    N ET E

    Alae et Physiolog

    31401

    Alain Maillet ), tout d'aboimulation sol SA, JAXA et pement des aer et mettre de l'ESA. Dapes scientifiquentaux (de phnotamment lation des pesures de baistribution des

    NTERVENTIoration spatiaécise et exhaatial sur less été considéAvec la co

    ols de longue particulier e

    plusieurs rôlesre pour m

    ACTIVI

    Alain MAILLEgie Spatiales),

    Belin,

    TOULOUSE ce

    travaille à ord comme c par alimentNASA). En Sectivités en Men place le ns le cadre ues françaiseshysiologie) à les taches deprocédures dse pré et pos données au

    ON le telle qu’ellaustive des cs astronautesérée comme onstruction des durées qun tant que m

    s au cours dmaintenir l’or

    ITE PH

    LET CADMOS-CNES

    edex 9

    MEDES (Insticoordinateur t anti-orthosteptembre 200icro-pesanteunouveau prode ce progras et internatiobord de la

    e préparation e vol, partiost-vol sur lesx scientifiques

    le est envisagconséquences . Malheureusune priorité de la Stationi lui sont as

    moyen de prév

    es vols spatirganisme en

    HYSIQ

    ES, BPi 2221,

    itut de Médscientifique, tatique financ01, il rejointr et des Opéogramme USOamme, il faut onales pour lastation spatia des expériecipation auxs astronautes,s.

    gée vers la Lunutritionnelleement en mdu fait de ln Spatiale Issociée, la nuvention (contr

    aux allant den bonne sa

    UE DA

    18 Avenue E

    ecine et Phypuis chef decées par les t le CADMOS érations SpatiOC (User Supp apporter le a réalisation ale internationces (documex entraineme, le suivi en

    une et Mars es à long temédecine spata durée relatnternationale,utrition a sure-mesure).

    es effets basianté aux b

    39

    ANS

    Edouard

    ysiologie e projet agences (Centre ales) au port and support de leurs nale. Ce entation, nts des vol des

    implique erme de tiale, la tivement , et la scité un

    iques de bénéfices

  • 40

    psychoaffecterl’évaluainhérennombreadaptaphysiolsanguinosseusesanguinmétaboquantitpartiell

    L’étudemaximnutritionutritioétendu

    UNE P

    LES SPUn prspationapportsénergéténergétpubliéeune badans l’énergét5kg pmissionmasse et le s

    LES COLes consol, unune faaltérat

    sociaux relatrait la santéation précise nt à toutes euses donnéeations délétèrelogiques à l’en de la parte et musculanes. Ces chaolisme des ntative ou qulement être p

    e détaillée deiser le rôle bon spatiale seon au cours e.

    PERTE DE P

    PAT IONAUTES

    oblème médinautes au cous énergétiqutique de l’otique, on paes jusque-là ealance énergét’espace de 2 tique moyen ar mois. Si ns de courtegrasse, cela csuccès des mis

    ONSEQUENCE

    nséquences d’ne sous-nutritatigabilité augion du somm

    ifs aux repasé, les perfordes besoins emissions de es démontrenes de l’organenvironnementtie inférieure aire, une immangements peutriments. Enualitative, les prévenues.

    e la relation bénéfique de e doit donc des vols sp

    OIDS CRITI

    S SONT EN DE

    ical majeur urs de la mises représentorganisme. Lrle de balancet qui se sontique négativesemaines, Stede 5,7±0,3Mun tel défics durées (<constitue un ssions de long

    ES DU DEF IC IT

    ’un déficit éntion chroniqugmentée, unemeil ainsi qu’

    s. Dans la mrmances, voiren énergie etlongues durént une relatnisme à l’apt spatial, on du corps aumunodéficienceeuvent aussi n revanche, e adaptations

    entre nutritiol’alimentationd’étudier et atiaux afin d

    IQUE AU CO

    EF IC IT ENERGE

    des vols spassion. La dimiés par la Lorsque l’énece énergétiqunt intéressées e sévère pendein et collèguMJ/j, qui poucit énergétiqu15 jours) duproblème magues durées.

    T ENERGET IQU

    ergétique sur ue entraîne ue susceptibilitun mal-être

    mesure où unre le succès t en nutrimenées. Ceci est tion directe esanteur ou a mis en évu torse et ve, un déclin affecter les

    en modifiant délétères à

    on et physiolon pour la sande mettre end’assurer le

    OURS DES V

    GET IQUE atiaux est la inution de la nourriture nergie ingéréee négative. E à la balancedant les vols ues (1) ont nourrait causer ue est physiu fait de la ajeur pouvant

    UE SUR LA SA

    le long termune diminutioté aux infectgénéral. La c

    n état de m et la survnts apparaît cd’autant pluentre la numicrogravité.vidence une rers la tête, de la massebesoins des

    la prise alim l’environnem

    ogie est doncté de l’équipn avant les dsuccès des m

    VOLS SPATI

    perte de m masse corpone compensee est inférieEn effet, parme énergétiquespatiaux. À laoté chez 4 spune perte deologiquement haute teneu

    affecter la sa

    ANTE DES SPA

    me sont effecton des perforions progresscicatrisation e

    alnutrition chie des spaticomme un prus important utrition et c Parmi les redistribution une perte dee des celluless spationautementaire de ment spatial

    c primordiale age. La rechedifférents rôlemissions d’un

    IAUX

    masse corpororelle indique nt pas la eure à la mi les quatre, trois ont da suite d’une pationautes ue poids supé tolérable pur énergétiquanté des spat

    AT IONAUTES ivement sériermances physsivement accrest aussi com

    hronique onautes, ré requis que de

    certaines réponses du flux e masse s rouges s et le manière peuvent

    afin de erche en es de la e durée

    elle des que les dépense dépense e études démontré mission n déficit rieure à our des e de la tionautes

    uses. Au iques et rue, une mpromise

  • lors d’blessur

    LE DPHYSIO

    Il a édélétèr

    Figure

    Le décaractéCertaincorréléspationaugmeaux bobservécaloriql’immualimentpourraavec u

    une balance re arrivait dan

    DEF IC IT ENEIOLOGIQUES D

    été suggéré qres physiologiq

    e 1: Les adap

    éficit énergétérisé par ces ns auteurs oe avec le dénautes est essntation de la besoins pourrée au cours ue exacerbe nocompétencetation non it être dramn agent path

    énergétique nns l’espace.

    ERGET IQUE DELETERES DE

    que le déficitques de l’orga

    ptations physiola contributi

    tique serait deux altératint aussi moficit énergétiqsentiellement dégradation raient contrib des vols. la perte de a été obsuffisante, ceatique pour ogène.

    négative chron

    SEMBLE ETE L ’ORGANISMt énergétiqueanisme à l’en

    ologiques déléion de la bal

    impliqué dons, subit pantré que la que en vol. Cdue à une bdes protéines

    buer à la pIl a en effede masse mubservée au ette immunola santé et

    nique, ce qui

    TRE IMPL IQUME A L ’ ENV IR chronique environnement

    étères en répoance énergéti

    dans le décar les spationa baisse de lComme l’atropaisse de la sys, là encore dperte de maet été montusculaire et cours des

    odéficience déla survie des

    pourrait être

    QUE DANS RONNEMENT SP

    exacerberait spatial (Figur

    onse à l’envirique négative.

    conditionnemeautes au retola synthèse phie musculaiynthèse protédes apports éasse musculairé récemmend’os. Enfin, vols spatiauéjà induite s spationaute

    e un problème

    LES ADAPTSPAT IAL certaines adare 1):

    ronnement sp.

    ent cardiovaour des vols sprotéique étaire observée éique plutôt qénergétiques inre systématiqnt qu’une reune diminu

    ux. Associée par la micrs en cas de

    41

    e si une

    TAT IONS

    aptations

    atial et

    asculaire, spatiaux. ait bien chez les qu’à une nférieurs quement estriction ution de

    à une rogravité contact

  • 42

    QUELLBien qcorporeserait élevée. au made leuconsomfonctioL’entravols aénergétphysiqusupériedonnée

    L ’ÉVAEtant les apppour ledes bimportéquipabesoinsproblèmdes be

    EN PRAIl est donné De plupermetspatial cherchepermetmicrogTerre, l’organsont ade sim

    LES SONT LES

    que les raisoel stable nécedouble: des La perte deal de l’espaceur premier vmmation alimennement ou aînement physfin de limitetique négativue augmente eur, qui n’est es suppose qu

    ALUATION Ddonné cette sports en maces missions spbesoins énergantes. Il a ége constitué s en eau, demes de masssoins énergét

    RAT IQUE : COMcependant exles contraint

    us, le nombrttraient pas sur l’organieurs utilisent t de simuler gravité, c’est-àle gradient

    nisme dans lallongés dans

    muler la redist

    S RA ISONS DE

    ons de l’appaessitent encorapports alime poids des se, phénomènevol spatial. entaire au co encore desique intenseer l’atrophie ve en modifi la dépense pas forcémeue l’exercice p

    ES BESOINsous-nutritioncronutriments patiales de logétiques en té estimé qude 6 membvraient être e ou de santiques des spa

    MMENT MESUR

    xtrêmement dtes techniquesre restreint d’obtenir desisme sont do le modèle dles deux cauà-dire l’inactihydrostatiqu

    a partie inférun lit incliné tribution du f

    E CET