M M AsriMlem U rOi ^ SÿiiÉt Us î)to Wb Visite de Mb Rüau...

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à la iver- ntao l£ ] IRâtIl i-rtl kuit< m n *< yitfi ttV ^ joi^Z ■■iêrb U't ^•4^IUÛ .lia: sfr V ît "i " :-> ''- -•<£ Paressant lô Jeudi et le Dimanche. ' >sa. -il i.’-i -* j *■ a a y R iiiæ n i ëxl .cfiéf s ■ari WUw ii ifitifâr ff-iM :-j^?SB==s=îffi5Ss JL s O » - XT B ac s xr B . Cv A*AMm MX Bnreanz dç JoanuJ «I daaiiôû k f tareanz da poste. •>' L'abonnement (fAvûce et de plôn droit jns^u b lec^dida (TaTss contraire. ■ Çaiff................. ifr. I|[(^ia. ......... 4 6 Ztoa pmftfnt te fr* ' ÇK <fo Ü ^ cbBq^ BDKEâia^ BËDÆC T O # A P M IN ^ ^ SEïirt<is a, ipuœ» «»: - VÀ^WPWÔfltS'. V #„■ l^êi^spgnp K i': »3ftiîlic .£l'|gfr :î: <■ ifAoéfnkçgr-!*' ■in ^?TT, r - iJaT cata C O N C O U f K L’Impôt sur le Réveeu. La Chambre n’a pas osé refuser à M. Jaurès de continuerjeudi après-midi la discussion de l’impôt sur le revenu. Beaucoup de députés sont prisonniers d’engagements pris à la lé ^ re et dont ils ne savent comment se dépêtrer. Ils sentent parfaitement que le projet CaiHanx n’a aucune Æance d’êhie accepté et sont au surplus les prepiîére à souhaiter qu’il ne le soit pas. Mais il e faut aspir l’air de « faire quelque chose»," et c’est pourquoi la reprise immédiate du débat a été votée par • plttsiénrs centaines de d^mtés, tout pas un n’assistaitd’ailieurs à la séance de lundi. La ChâmiHe dimne de plus en plus le spectacle affligeant dune agitation stérile. Elle court d’une ques tion k l’autre, sans aucun espoir d’en résoudre, une seule, mais pour donner des « marques d’intérêt » à tout ce qui est censé préoccuper l’électeur. Ainsi, d’icî Uné semaine, on sè flatte de dis cuter : de nouvelles dispositions concer nant la solution- de la crise yiticple, le renvoi de la classe 1903, l’impôt sur le revenu, quelques menues interpeEa- tions, le remaniement de la loi sur le ] repos hebdomadaire, le rachat- de l’Ouest sous forme d’une question de M. Lhopiteau sur les mesures à pren dre pom' as.surer le fonçücmnement normal du réseau, sans" compter l’im- pré-s-u et le vote qui ne peut être reculé des quatre çontrioulions directes pour l’exercice prochain. M. Puech, en pré- segce de cet émiettement de ce qu’on appelle le tra v ^ parlementaire, écrit avec raison dans le Rappel de jeudi ma- tin: « Incohérence, chevauchements peipétuels des questions les unes sur les autres, brusque interruption de celle-ci, reprise soudaine de celle-là : tel est le speclàçlè ÿie, nous donnons depuis quelques mois. On ébauche, on effleme tout, on- ne finit rien. » Dans ces conditions, le débat d’au- , jaurd'-^hi projet Càillaux n’est ’ inèhfe pas uii trompe-l’o^, car per sonne ne s’y 'lâisMra teomper. C’est ufie' concession -atî respect humain -partementaire. Les journaux radicaux né (fissimufenipas à quel ptûnt cette b iste ^ lés éhhijîé.. SkiTim ne cherche a défendre ce malencontreux projet. L’flhmanifé et l’Ac#to« brtBent seffles lA (femèpes. (mrtonches en l^onneur dmctiurage mmfièüreüï.’Hîér,' au Co'n-^ , ÿ é jlg ^ ra l de la Seine, tout ce que les défenseurs honteux du projet ont pq dèiuandëS, é’est que cetieasçemhléé v ^ ^ Jjiem qe ps» voter tfiii^ace un oédré;dn jour dêîdXQwW.éj. .souis, p*é- oser i&e motioi^aiVî^lÉé, J»hl ne,^es est^nK;iê'c.oiùÊ^^. â eml câôsû -que ^ t ê ^le tdt|)édrs assez peae-i fifeéi humàiç ’defi «30g’sfctuiiiisidoliifeb nWdihir dicaux qui n’ont pas. _ sdeM. ■“"^ ^ Ê g S S S S S S S rt ;"ce^jqiB lie njwMe., du pays. Dans ces conditions, il n’y a qu’une chose k faire : reviser le projet, le renvoyer à une grande commission qui l’examinera k fond, le transformera et le rendra acceptable pour tous. C’est le devoir qui s’impose, dès aujourd’hui, kla.Chambre ». L’explicatipn est un p*u embarrassée, mais la conclusion est nette. L’A « w c prononce la parole libératrice qui volt^e sur les bancs de la gauche. D faut rèntSyer k une co- misÿon, c’est-k-dire au diable,le projet de il. CaElaux. Le procédé est peu ai mable pour la jcommission qui vient del’étodier, soés ht présidence de M. PeUetan. Mais il ne s’agit plus d’être aimable, il s’agit de sortir vaille que vaille du guéjûer où la suffisance des mis et l’inslffllsance des autres ont fourvoyé la Chambre. Qu’on recueille donc l’enfant niai venu de M. Jaurès et de M. Caillaux « dans le sein » com plaisant d’une commission. (Les Débats). BCHOS ET lOOTBllBS Grave eollistou A Marseille. Deux morts. Une collision a en lieu jeudi vers midi eulre uulramwayetun Irain, au croisement des voies reliant la ligne du chemin de fer aux docks. On signale deux morts et quatre blessés. percussion occasionnée par Vaccrpisse- ment des correspondances sur les dé penses des postes, offre une augmenta tion de 4.358.OQ0 /r. Or, ce n’est là qu’un commencement. L’^ploilation postale est absolument insuffisante. Pour la mettre à même de. répondre, oc façon coneenable aux besoin$dupubfic, et surtout avec f extension., ibi nombre des lettres et correspondances de toutes sortes, il faudra faire des sacrifices dirne autre importance, demander dts crédits plus élevés encore, (fest voir les elurses en beau que de prétendre attesn- dre en tSOS —, m ^gri U d^rèvemetU — je produit n et t905, .filous aurons d’ailleurs roccàsion de revenir sur cette . question._^ ______ . A l’Étranger. Bolgarie. L'affaire Petkoff. On mande de Sofia qu’après onze heures de délihéralion, la cour martiale a rendu jeudi son arrêt contre les assassins du président du conseil Petkoff. Petroff, le principal accusé est condamné à mort, et ses complices : Sranofl à la réclusion perpétuelle, Iconomoff à quinze ans de prison, Guéroff est acquitté. Usine îneeadîéejprès de CharlevUle. A Vrignes-anx-Bois, un incendie qui a éclaté eudi snalini h 3 heures, a déümit oomplètemènt rusine d-uoe fabrique de ferronnerie .occupant cinquante ouvriers. La cause du sinistre est inconnue. Douze personnes empoisonnées près du Havre. Iq famine SartreaUr^ïoeqeevHle-JeiSrliure, „ ilé-Tietîafe #en» eémniêacemelit ffeaipoi- sonncment ainsi' que leurs invités ; au total douze personnes., ~ Le docteur .Vugé, de- Bdbec, fut appelé et donna ses soins aux malades. On-pense que cet,empoisonnement a été occasionné par une matière toxique contenue dans le lait. •- Grand Prix de rAntomobHe. Les opérations militaires de jaujage et de mise sons scellés des voitures se sont termi nées assez tard lundi dans la soirée. . Ix départ a été donné mardi matin à six lîeure* par un coup de canon. M. Bartbon ar rivé la veille assistaH a» départ. -Voici le classement final : 1, Aazzaro (Italie),, sur pneus et jqntes amo vibles Sicbefin, couvrant les 770 kilomètres en 6 fi. t6 m; 33 s., soit a une moyenne de l l i ki lomètres fi l’heure. ., , - 2. Sis»(RénaMt); sdf ^tndns' e» jantes amo- mbles-UiebeliB, ea 6-h. m. iO s. ^ . Barâs (Brasier), sur pneus et jantes amo- és .Jlichefin, en Z b. (05 ta. 05 s. tâbnel (Lqrrâine^Diétnch), spr jmeus e| jaatéd^ àqKn-fidCs ïfifÿfeho, en 7 h; 11 m. 39-s. St- IB ra (fifidfàéti), siff pneus et jantes amo- viUeKim ^ en vh. tant. 36d. 3k', Cdifinis (Dairatq), 'xàr .pseos et jantes B onl^U i ^ a a e i t 7fi. 13 np. Hfi s, 7t 8ar|àiér-(Bfaspier). sar.pneas et jantes lib^ küc^ii.éa 7 i. Sj m. a s. ' (BpyàpfcCléineBt), sur pneus et Hjt£e!ïu, en 7 fa- 31 m. 18 s- il l’étail i;emar-: meme lêfonnes. « SOH- a.rjen;. da moins k pArSKl CapA IV seraient ap î t Cailé ■r£ts ^pritnsionsqnrM na fçââanshtts- aue'ConCd>aissa,pax Ià Im dsn&mdrs iPeS ht taxedetieUtespow eintérieur et.lef. rtlatîonRprmoàÔsdomi/d^àdxx centimes.auUeude jfwmejcenttmes, sé soMmtièrentenk rijaiiiées.i De rç^pqrt ^tieat/dtzpm U m ie.tJoarBtbofimtel tmstate «rnM ifm tcffptiur^ tééis m t^ ètdmtoiide MiêicmbrejadMèen.-dç pha,de, ' fetraits,rttrÙ M ,attm - itzSfhpd^Ü ni. Mowt. a»- tMÎwfàftitâafi.^aperfeiwie fea _ itsetoA^etMM'réren .p b ita pidêer^ mar opUmnitmo., dre^.tésuUats atsercis. du JS-axrü m.neaiadtûdbifii \f0l^i»iprpmiikàA Lâ.éSminuiûmêes htxeêtnomtsgonA 4 f tompémtute, lM ui£s^^ptrte-de-iiO ‘fiml- ' Or. feÿOJioeHie- mm^tm Ul^àfm ' t-ditld frtma . em um t» _____ qui fàeeifeiifqrmse pe^prmbmU, ife VI ne faut pat :Je cété reeaie*, il ietété éépenta. hâ té- M ajatooaas, par lUdie. Les obsèques lia comte Xigra. D’après une dépêche deRapaîlo,lcs obsèques du comte Nigra ont en lieu jeudi malin, en présence du prince d’Udine, représentant le roi ; de M. Tiltoni, ministre des aflhires étrangères, représentant le gouvernement ; de l’ambassadeur d’Angleteire, représentant le roi Edouard VII, des autorités et notabilités. Le cortège était ouvert et fermé par des pelotons de bereagliers, corps dans lequel le comte Nigra participa aux batailles de l’indépendence. Le corbillard était suivi par le fils du défunt. Une foule silencieuse a assisté au défilé du cortège. LES T R itt Di iD L Senseription des gnenx. — Appel aux eommerçaats et à la pepniatioa. Le coinité de défense vilicole de Mont- tellier vient d’adresser un nouvel appel i nus les Commerçants et à toute la Mpula- tion, les engageant à s’inscrire à là sous cription des gueux à cinq centimes, pour couvrir les nais de poursuites inleiilés contre les membres du comité .tfArgeliers et le citoyen Ferroul ; il leur rappelle que toutes les communes de TAude, des Pyré- nées-Orientalesetde.rnérauU ont répondu à l’appel fait en ce sens par le comité iTArgelierS èt il ajoute que le reliquat de la souscription, sera distribué aux familles des victiities de Nàrhonaè. L’appel des comités indmue qii'une sé- bille sera placée dans’cbaqtie jnâgasin, où le .passant peuria déposer so à obole. Cet appel a déjà été éhtëndi^ dar ^ élèves dti lycée de mntpeUiérOât trè^'lêiir sou. dftj* C. é. là Les^ohes émanant de la Confédération géaérd» du travail, placardées dans toutes les communes des cantons d'Agde et de Florensac sont lacérées par ordre du-par- lié tarsriA des eenBtês. Le, c o i ^ mimëre d ^ v , adresse aux comités ÎAgdé çf dé tlôr-cnsac tfes ins- trifctionS touchant les mûnicîpàlîfès qui refusera d’élire le conseiller ^néral aux Âiections dtï 28 juillet; • - ; . diÉé É U s Bô cértmn de Lorme, a. été’ arrêté à Athènes^ suc maifflat d e M. -André, joi -d'inatnction. De'JLorme, un-finaseier tr en érideiice; m'n pas détourné moins de pœ détourné moim quatre millioes à dnerses-petsMaes. H de.LormOLest âgé; de S8-iâis, B-habi- t»ié,-ÉvàV«i!<utfiiiter 28)-«reiHiede;la,6fàode- A o i^ aveosafenBie,sabeUe'iiiéreet«i fils i]he.lt^ de. Lorme avait eo d’mtpre^ M M AsriMlem U rOi ^ SÿiiÉt Us î ) t o W b lès 4, 5, 6 et 7 JüiUèt Visite de Mb Rüau,Mijaistre de l 'Agricultui’è LE SAMEDI 6 JUILLET progrwmms SAMEDI 6 #CrIIXET Installaflon. des Axilma'irx: ^oijciiotitjemeijf de t'école JTn[bulatiie de Xaiferie Airifis H t RScepta lit M . RUAU , Mtaistie île fAgriialItuiB VISITE OFFiaELLE DU CONCOURS BMrïMos soleineDe desBéoupeises ^ Cncert p* la M p da 54 ‘ delipe BANQUET OFFERT AU M iNIsirÊE GFLA. no F E ’U O’ a r t if ic e DIMAA’CBE 7 AIlilAiET PromenadesrConférenees dans les Concours Âsmles OR iérales de la Silété ües Airliiidliii's &I Urombola, ei*aUTiite Conféreqee sur ta (^tiseq -^putctirk avee le Coneom'S d*ArtisicA iDISTRlBUTIO N des FÊTE FLEURIE ^ BATAILLE DE FLEÜRS REPRÉSENTATION POPULAIRE Grande Féte de nuit. Grand Bàl publie. IDiuninatlons de fatVJIIe Concoors spécial de mérinos et de Dlsbeÿ'-mérinos. Les visiteurs poorrônt admire^ une centaine dè -lots, de mérinos et de (fijjfiéy-mërînbsj amenés çar les meil- ■îetifs éleveurs de' l’Oise, de la Sonunej de l’Aisne, de Sêihe-et-Oise, de Seine- et-Marhê ’et de l’Eufe. Oit sait d’aîllêtirs que œ Concours est oigsmisé. ^ectem ènt par. le ihi-i mstêre dé l’Â^doulture et doté de prix s^iasXv aceiovdés par le nn^tère et par le: Conseil Général de l’Oise. Les-ndbutOBniers de l’arEondîsse- inênt de Sêrifis sent tout particnlière- ment prife dé le -visiter. . Antmanx-reprodoetmirs. Uné vingtaine de-poulinières s uit^. EQBdéêde.po«nHrs:de K . Xavier Ftioré, agent du change, àu courant) paie-eonsé-^: -[uenfif du aécàtnisiBé.desépéretions-fiBao-! :;il^tûtsiis.à ^&iriér. poiarsaa prtwi» coûtée. mai&aTC6ra^AdeB.an- tres. Il avait à fmre face, eài eflefi.A.dn devie assaajuxnesx et anxdé^ses Iraïudevie dwbdOBble Dtsu Pendant piDsieurs' mois, a^ w it ifiasgreode eoBfiamri: tommarphaaa gre dé ses ;Asits. Mats lel iew vintoù, sur.dBSSDopetMSb itescwnptes lui forent demandés. Gaasem; séduisant, rondeur et de bonhomie Mégante, d(B Lofmo'sat. péadaiB du moiBeBt, calmer les'inqniétiiiMS dontjoielnL finsaitr bi6Q^n6«.:ftliA 1» dMdmde* enred": ditidn de comptes se finsantî:^â» prés-, p an an t plw.«Mi8k*9tk:B d^arub- Mï, fijia tri- teàrs de la race bovine (flamands, hoL imldais et normands),, cent lote de moutons, trenlelots deporcs, soixante- ^jcbBts^aBfaatR.; le bü» ■fiés mscnpnons S ce Jour. L és agriçoltenrs de l’arrondissem ent dp.SénliSréni^W antaii aussi ©rand nombve'd’animaBX, ont prouvé .ime f<ns de pins tm iLrm térêt qa’ils portent aiConeonrsyDs en assurent la com plété réussite.^' -D sH d^es: ag^eeles. fl convient dé fflicifer tout parti- cûlièrément-les constidcteure- expo-^ "sante, pour léurs splendides expo» sititons. . . . . ^ - . — 'fis ont tenu à en-voyèr,an .Goopoms deSenUsangrsmdnombredemmAmes. M Idans ,cmie partie. industtieBe, jmesqae ^vére ^dn Créiconre, eBeS .vdfiwmnti apporter ■mé note pI monieuse scfe 'à liaute'Tërdpré' ilil cours. 1 -JStWibreiixiadont fesviiSenin et les atmi^tenre. - - ü . ^ t a k ’G o n ç o iù s ù n c o A .et ç^licieqx. Cta I^. -doit h la Somété dBmücalture deEmilis. - ,ï i B^alfflesoigamsatéiirs mrt- bmie, sorlaiBétsMle . — Saveavouséeffi'3 -findiail) séeoe-l-il, pour écoâer tout le via T Un coUègae, Bmemiwiuul : ; -------- »--«o«î Samedi et dimanche, auront liendes essais (fabrication du beurre, écrêr mage.ètc.) et des expéiiences (analyse de lait). Concerts dn Samedi, Texcffllente.;muâpkAdu.54f régiment d’infanterie de Gompi^rie) donnera un Concert. & ân, ié pimanché, auditioiis dé l’Orchestre sjunphfmîliue du Ceréle laïque-de Beanvais et deda ^ciété mtâîfe^âùSffiâs;:’’ ' ' teiwwittBitflIiAgiiiii ’L’inté'rét et fuâlité'des CbBcears;,-agri» cotes.pu.^tres, réskte.dansce.friLjpi'Us. n ie t^ t en rapport vendeurs .et ashetsqrs et.qu’ils sôat ope lefioade Chose p r t^ o t à teàé- Mieux .que toute publiché,, ils preqg.èûkaiix ;ViSiteure lés avûitages-des mélht^es'nouvelles. et. idâmtotrmt jpio chaque jour l'outillage va se perfection races de t^vaux, de bcetrfs,- les utiles ou naisiUés aux prcdni&. les travaux à exéciitm- an courA& et donnent;, d’evoellents consè-'- Thyirié&e A l a Terme. £1as h»n, nonséconlegsl de M. Betdan fi-, président ______ de Tempérance et d’Borticnltnre gent-snr-Oise, fondée à 1» Sa dtJBfaaét dériüèrq èt comprenant «cftifiHèniiA M membres. « Fai votduv- qofm.tÂl'néWl dm ipi^t kterlocutear, détesreeriwtoe- vriers-du cabaim pmr te jardinage.,^, i cet éftet, fondé la S o c i^ dent IreJMMx» les photii^fraplüés èn foh| - ent^pitiné» inént rSnrei. Sans un -~nn nr ’rn||jiÎBinnj gi^ à , t e . . ^ é ^ i t é ^ jgemjpes hoobr raifre et rondâteuré) ya ra w o n e r l ch*-: cnn dé-nos raenfiires de trois ares de. terréin..oùje jn p f o ^ o u le r (ons de greffage et dé bm à« >.’,EAwwtM - M. Beulan de son éxceltente idée et de lè persévérance qu’il mit à la réaliser. ' / - Après nons étire arrêta devant teer-tra» vaux de la Société de secours màtuéB et de retraite de l'arrondissement de. SwOB et ceux de la Société de B o p i^ a ^ ^ n S comme il convient l’Exposmtnr, piw w de goût, qu'a sii frire l'Ecole de B<ûferi.<Delir catement liées de rubans tricolores, idée .gerbes de différents blés, poussés ttensfflf* férents terrains, avec plus on moinsiAiiT grais, nous donnent nne idée des divéftes cultures du terroir, ainsi d'aillênrs miè la vitrine, petite merveille, renfermant tjrt un inùsée agricole régional. . ' Plus loin, un regard aux Hélasses df la Raffinerie Say, dont l'élogo n’f ^ jin s i frire ; une visite à. notre bonoti^en H. Yelut, qui expose les produits de la ferme dugnéwGreil, et à H. Roland, d ff^ - bery, fabricant de l’excellent âleocff.i taré le Flamboyant; puis après a j■” templé tout à notre aise leé, lots de lapins et de gaDiùàc^ , revenons an centre du chai^ de c , où le baffet tenu par H. Leqg 0 .ireapli de boutrilies de tout calibre et ée Vm forme . . . . . LesBMudiinesagsMâàie&!->;i La place nons fait hélas défohU passerin revnedanslecadreteréï$_-, cbatpie maison de conrirecttea. ments picoles. Qu'il noim safeerieolter les maisons Alharet, Bajæ,. Joly frères, fabricant» de soirs et conpes-racânes. _ Remarqué particnlièreméni l'eiÿosdx^M ps» trumeats agncoles de M. CliéiBepvM IaMlën coDStructeor à Procisu, Ifien cqonu région par ses semoiTS eu ligne et Il nous permet d'appiôci^ pooÇ;te. fois„k sènlis, .son nonveaa semoir:fi.>eeeiro» essayé récemment aù ministère de rAgriçauMOt II. Ib ^ ie r est titulaire de plimim» nus aux (kineonrs de Melun, Pitfaivier8,,|LHA Poitiers, d'un diplOme d'honneiu J)J’SspofÇm internationale de Liège (1905) daille d'or à rEipemtion luiivera^ .dç,JSi|0. t^e dire de MM. Robert deSeffliffas^ Grril, sinon que lenr - lus instructiyes? Nons jr tm â —* ’* „ însUùméists devant servir la terre, et divisés en ** 3atofe «eux deriioé» t i t « — mi ceux-ffl reaaàr^nS » ifeavelu MacGormick « li sera ffiise- «B jkm' «M>in «908, et denk la preîaié»eiKt;««»9WB> Sertis. Là trmaème s^ B aoténr V- gaz pauvre ptshi^ ta liohnw u B e F--^— (te'lamriSonl^ ------------------ - - racines. Remarquons enûn, dans la i ft eStaSë^rireîehèBeL-rtnr „ etindustiiels de s'initier aux nouvelles mé- tlmdes.iEiéGoacoom ergamis^aélneltehiént à Sentis est une preuve renvaiaëasrte-de ce que nec» rtfànçoàs et la .vîsâfis que. noos convions ItfteCléarâfrirêavêe^dsibi dé- monteeràqae rien*’àr.étéihé^èj|aÿ îes Sociétés des Agricultetirs'-œ -P<5^ et d'HrttiCBtnre: de ^ fiS ,' péul’ fSirtr dé certe ;manifestation sçriéele Te tfpe du genre. : ^ Entrons ' donc. Votrè carte-T Yofièi î U n c e o p d'eeU--s«>np(<Onnenx) a n pieà t r é p mtener da prépose â- -lla‘ porte;- - r t'- h ^ sommes dans la plaèè.^ Sods'-léS -ri^rês rnhgaffiqnes-dii'' Eenrs-an .s'et rtvèlé et ra» Iteséf-to»: iifstrismmils inrteire» dtHoiites formes rtdefontts^Brirffnés^tehdèntèq kttmntifÿ, k i’i flqw â .défegi^, JËt c«-l àivec Te pins plriirir qeÈfes élèves del’BcOte ména- gètîe agricrte de l’Oise, actueUmnmit in^pBée. k Samt-Samsoai-Ia-Poterie, ^iUérii s<» amcoors. ^ -défilai G estau mil simpvaiByw A, Wàrq,qipic» prèét, SÔÙS.lik, HftjjciÿriRé,qni iérârs fanfares anx mma - _ re s on pos&scrtines cuHan. Dans d’-* ^ tabtoiax de M. Srirt^l, dartdpa^uts: très aritevfls .^jotriMi. . îhfititnhwg. à irdsjnu’ leur Dosition du Coinilé des fêtes, ponrJéelfe de’lâ phfed Ai-w. ifcu-- eOBstfaeticn- de 1_. ----- caostrbcteur une pompe i î ; ï= --- Pièces dél*rfié«b d'élie ’Rreuis nous préiânte— lot très eaajd^ A ièces détachées pour t e A e s ^ . e ç j o i f ' ï^ lle r des laaes.de fandiei»# et nàwwa- neose et se seiL^Mr ffane aêtde en grés à.eâu, ne d é tix m ^ pi» la seetian, sur le Concours d e .0 1 m ip n iF r« resoevè m t^à nons l’utflis^on fonctionner^ -Ji 9jàu»çct.-i 7<ï a n y a p t o d fiM»W>1 que {ecpirtete^niteiaM Uon de la- vapeur et son i Ôriâkm dés inaclûnes à V tion datej*»teiir aérait r La-maâmr m /d m iK tTfl .--è.-i-ia ;-.-'

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L’Im p ô t s u r le R é v e e u .

La Chambre n’a pas osé refuser à M. Jaurès de continuer jeudi après-midi la discussion de l’impôt sur le revenu. Beaucoup de députés sont prisonniers d’engagements pris à la lé ^ r e et dont ils ne savent comment se dépêtrer. Ils sentent parfaitement que le projet CaiHanx n’a aucune Æance d’êhie accepté et sont au surplus les prepiîére à souhaiter qu’il ne le soit pas. Mais il

e faut aspir l’air de « faire quelque chose»," et c’est pourquoi la reprise immédiate du débat a été votée par

• plttsiénrs centaines de d^mtés, tout pas un n’assistaitd’ailieurs à la séance de lundi. La ChâmiHe dimne de plus en plus le spectacle affligeant dune agitation stérile. Elle court d’une ques­tion k l’autre, sans aucun espoir d’en résoudre, une seule, mais pour donner des « marques d’intérêt » à tout ce qui est censé préoccuper l’électeur. Ainsi, d’icî Uné semaine, on sè flatte de dis­cuter : de nouvelles dispositions concer­nant la solution- de la crise yiticple, le renvoi de la classe 1903, l’impôt sur

■ le revenu, quelques menues interpeEa- tions, le remaniement de la loi sur le

] repos hebdomadaire, le rachat- de l’Ouest sous forme d’une question de M. Lhopiteau sur les mesures à pren­dre pom' as.surer le fonçücmnement normal du réseau, sans" compter l’im- pré-s-u et le vote qui ne peut être reculé des quatre çontrioulions directes pour l’exercice prochain. M. Puech, en pré- segce de cet émiettement de ce qu’on appelle le t r a v ^ parlementaire, écrit avec raison dans le Rappel de jeudi ma-

■ tin : « Incohérence, chevauchements peipétuels des questions les unes sur les autres, brusque interruption de celle-ci, reprise soudaine de celle-là : tel est le speclàçlè ÿie, nous donnons depuis quelques mois. On ébauche, on effleme tout, on- ne finit rien. »

Dans ces conditions, le débat d’au- , jaurd'-^hi projet Càillaux n’est’ inèhfe pas uii trompe-l’o ^ , car per­

sonne ne s’y 'lâisMra teomper. C’est ufie' concession -atî respect humain

-partementaire. Les journaux radicaux né (fissimufenipas à quel ptûnt cette b is te ^ lés éhhijîé.. SkiTim ne cherche a défendre ce malencontreux projet. L’flhmanifé et l’Ac#to« brtBent seffles lA (femèpes. (mrtonches en l^onneur dmctiurage mmfièüreüï.’Hîér,' au Co'n-

, ÿ é j lg ^ r a l de la Seine, tout ce que les défenseurs honteux du projet ont pq dèiuandëS, é’est que cetieasçemhléé v ^ ^ Jjiem qe ps» v o te r tf ii i^ a c e un oédré;dn jour dêîdXQwW.éj. .souis, p*é-

oser i&e motioi^aiVî^lÉé, J»hl n e ,^ e s est^nK ;iê'c.oiùÊ^^. â eml câôsû -que ^ t ê ^ l e tdt|)édrs assez peae-i fife é i humàiç ’d e f i

«30 g’sfctuiiiisidoliifeb nWdihirdicaux qui n’ont pas. _

sdeM.

— ■“ " ^ ^ Ê g S S S S S S S rt

;"ce^jqiB lie n jw M e .,

du pays. Dans ces conditions, il n’y a qu’une chose k faire : reviser le projet, le renvoyer à une grande commission qui l’examinera k fond, le transformera et le rendra acceptable pour tous. C’est le devoir qui s’impose, dès aujourd’hui, kla.Chambre ». L’explicatipn est un p*u embarrassée, mais la conclusion est nette. L’A « w c prononce la parole libératrice qui volt^e sur les bancs de la gauche. D faut rèntSyer k une co- misÿon, c’est-k-dire au diable,le projet de il. CaElaux. Le procédé est peu ai­mable pour la jcommission qui vient de l’étodier, soés ht présidence de M. PeUetan. Mais il ne s’agit plus d’être aimable, il s’agit de sortir vaille que vaille du guéjûer où la suffisance des mis et l’inslffllsance des autres ont fourvoyé la Chambre. Qu’on recueille donc l’enfant niai venu de M. Jaurès et de M. Caillaux « dans le sein » com­plaisant d’une commission.

(Les Débats).

BCHOS E T l O O T B l lB SGrave eollistou A Marseille.

Deux morts.Une collision a en lieu jeudi vers midi eulre

uulramwayetun Irain, au croisement des voies reliant la ligne du chemin de fer aux docks.

On signale deux morts et quatre blessés.

percussion occasionnée par Vaccrpisse- ment des correspondances sur les dé­penses des postes, offre une augmenta­tion de 4.358.OQ0 /r . Or, ce n’est là qu’un commencement. L ’ p lo ila tion postale est absolument insuffisante. Pour la mettre à même de. répondre, oc façon coneenable aux besoin$dupubfic, et surtout avec f extension., ibi nombre des lettres et correspondances de toutes sortes, il faudra faire des sacrifices dirne autre importance, demander dts crédits plus élevés encore, ( f est voir les elurses en beau que de prétendre attesn- dre en tSOS —, m ^ g r i U d^rèvemetU — je produit n e t t9 0 5 , .filous aurons d’ailleurs roccàsion de revenir sur cette . question._^ ______ .

A l’É tranger.Bolgarie.

L'affaire Petkoff.On mande de Sofia qu’après onze heures de

délihéralion, la cour martiale a rendu jeudi son arrêt contre les assassins du président du conseil Petkoff. Petroff, le principal accusé est condamné à mort, et ses complices : Sranofl à la réclusion perpétuelle, Iconomoff à quinze ans de prison, Guéroff est acquitté.

Usine îneeadîéejprès de CharlevUle.A Vrignes-anx-Bois, un incendie qui a éclaté

eudi snalini h 3 heures, a déümit oomplètemènt rusine d-uoe fabrique de ferronnerie .occupant cinquante ouvriers.

La cause du sinistre est inconnue.

Douze personnes empoisonnées près du Havre.

Iq famine SartreaUr ïoeqeevHle-JeiSrliure, „ ilé-Tietîafe #en» eémniêacemelit ffeaipoi-sonncment ainsi' que leurs invités ; au total douze personnes., ~

Le docteur .Vugé, de- Bdbec, fut appelé et donna ses soins aux malades.

On-pense que cet,empoisonnement a été occasionné par une matière toxique contenue dans le lait. •-

Grand Prix de rAntomobHe.Les opérations militaires de jaujage et de

mise sons scellés des voitures se sont termi­nées assez tard lundi dans la soirée.. Ix départ a été donné mardi matin à six

lîeure* par un coup de canon. M. Bartbon ar­rivé la veille assistaH a» départ.

-Voici le classement final :1, Aazzaro (Italie),, sur pneus et jqntes amo­

vibles Sicbefin, couvrant les 770 kilomètres en 6 fi. t6 m; 33 s., soit a une moyenne de l l i ki­lomètres fi l’heure. . , , -

2. Sis»(RénaMt); sdf tndns' e» jantes amo- mbles-UiebeliB, ea 6-h. m. iO s. ^

. Barâs (Brasier), sur pneus et jantes amo- és .Jlichefin, en Z b . (05 ta. 05 s. tâ b n e l (Lqrrâine^Diétnch), spr jmeus e|

jaatéd^ àqKn-fidCs ïfifÿfeho, en 7 h; 11 m. 39-s.St- IB ra (fifidfàéti), siff pneus et jantes amo-

v i U e K i m ^ en vh. ta n t. 36d.3k', Cdifinis (Dairatq), 'xàr . pseos et jantesB o n l ^ U i ^ a a e i t 7fi. 13 np. Hfi s ,7t 8ar|àiér-(Bfaspier). sar.pneas et jantes

l ib ^ k ü c ^ i i . é a 7 i . Sj m. a s.' (BpyàpfcCléineBt), sur pneus et

Hjt£e!ïu, en 7 fa- 31 m. 18 s-il l’étail

i;emar-:

memelêfonnes.

« SOH-a.rjen;.

da moins kpArSKl CapA IV

seraient ap

î t Cailé■r£ts p ritn sio n sq n rM n a fçâ â a n sh tts-

aue'ConCd>aissa,pax Ià Im dsn&mdrs iP eS ht taxedetieU tespow eintérieur et.le f. rtlatîonRprmoàÔsdomi/d^àdxxcentimes.auUeude jfwm ejcenttmes, sé soM mtièrentenk rijaiiiées.i De rç^pqrt ^ tie a t/d tz p m U m ie.tJoarBtbofimtel tm state « r n M ifm tc ffp tiu r ^ tééis m t^ ètdmtoiide MiêicmbrejadMèen.-dç pha,de,

' fetraits,rttrÙ M ,attm -itzS fh p d ^Ü n i. Mowt. a » - tMÎwfàftitâafi.^aperfeiwie fea

_ itsetoA^etMM'réren.p b ita pidêer^

mar opUmnitmo., dre^.tésuU ats a tse rc is .du JS-axrü m .neaiadtûdbifii

\f0l i»iprpmiikàA Lâ.éSminuiûm êes htxe êtnomtsgonA 4 f tom pém tute,

lM ui£s^^p trte-de-iiO ‘fiml- ' Or. feÿOJioeHie-mmtm Ul àfm '

t-d itld frtma .em u m t»

_____ quifàeeifeiifqrmse pe prmbmU, ife VI ne faut pat :Je cété reeaie*, il ietété éépenta. hâ té-

M a ja tooaas, p a r

lUdie.Les obsèques lia comte Xigra.

D’après une dépêche deRapaîlo,lcs obsèques du comte Nigra ont en lieu jeudi malin, en présence du prince d’Udine, représentant le roi ; de M. Tiltoni, ministre des aflhires étrangères, représentant le gouvernement ; de l’ambassadeur d’Angleteire, représentant le roi Edouard VII, des autorités et notabilités. Le cortège était ouvert et fermé par des pelotons de bereagliers, corps dans lequel le comte Nigra participa aux batailles de l’indépendence. Le corbillard était suivi par le fils du défunt. Une foule silencieuse a assisté au défilé du cortège.

LES T R i t t D i i D LSenseription des gnenx. — Appel

aux eommerçaats et à la pepniatioa.Le coinité de défense vilicole de Mont-

tellier vient d’adresser un nouvel appel i nus les Commerçants et à toute la Mpula- tion, les engageant à s’inscrire à là sous­cription des gueux à cinq centimes, pour couvrir les nais de poursuites inleiilés contre les membres du comité .tfArgeliers et le citoyen Ferroul ; il leur rappelle que toutes les communes de TAude, des Pyré- nées-Orientalesetde.rnérauU ont répondu à l’appel fait en ce sens par le comité iTArgelierS èt il ajoute que le reliquat de la souscription, sera distribué aux familles des victiities de Nàrhonaè.

L’appel des comités indmue qii'une sé- bille sera placée dans’cbaqtie jnâgasin, où le .passant peuria déposer so’à obole. Cet appel a déjà été éhtëndi^ dar élèves dti lycée de mntpeUiérOât trè^ 'lê iir sou.

dftj* C. é . làL es^ohes émanant de la Confédération

géaérd» du travail, placardées dans toutes les communes des cantons d'Agde et de Florensac sont lacérées par ordre du-par-

lié tarsriA des eenBtês.Le, c o i ^ mimëre d ^ v , adresse aux

comités ÎA gdé çf dé tlôr-cnsac tfes ins- trifctionS touchant les mûnicîpàlîfès qui

refusera d’élire le conseiller ^néra l aux Âiections dtï 28 juillet; • - ; .

d iÉ é É U s

i»B ô cértmn de Lorme, a. été’ arrêté à

Athènes^ suc maifflat d e M. -André, joi -d'inatnction. De'JLorme, un-finaseier tr en érideiice; m'n pas détourné moins dep œ détourné moim quatre millioes à dnerses-petsM aes.

H de.LormOLest âgé; de S8-iâis, B-habi- t»ié,-ÉvàV«i!<utfiiiter 28)-«reiHiede;la,6fàode- A o i ^ aveosafenB ie,sabeU e'iiiéreet« i fils i]h e .lt^ de. Lorme avait eo d’m tpre^

M M AsriMlem U rOi SÿiiÉt Us î) to W b

l è s 4 , 5 , 6 e t 7 J ü iU è t

Visite de Mb Rüau,M ijaistre de l 'Agricultui’èL E S A M E D I 6 J U I L L E T

p r o g r w m m s

S A M E D I 6 # C r I IX E TI n s t a l l a f l o n . d e s A x i lm a 'i r x :

^ o i j c i i o t i t j e m e i j f d e t ' é c o l e J T n [ b u la t i ie d e X a i f e r i e

Airifis Ht RScepta lit M. RUAU, Mtaistie île fAgriialItuiBVISITE OFFiaELLE DU CONCOURS

BMrïMos soleineDe des Béoupeises ^ Cncert p* la M p da 54‘ de lipeB A N Q U E T O F F E R T A U M i N I s i r Ê E

GFLA.n o F E ’U O ’a r t i f i c e

DIMAA’C B E 7 A I l i lA iE TP r o m e n a d e s r C o n f é r e n e e s d a n s l e s C o n c o u r s

Âsmles ORiérales de la Silété ües Airliiidliii's & IU r o m b o l a , e i* a U T iite

C o n fé r e q e e s u r t a ( ^ t i s e q - ^ p u t c t i r kavee le Coneom'S d*ArtisicA

i D I S T R l B U T I O N d e s

FÊTE FLEURIE ^ BATAILLE D E FLEÜRSREPRÉSENTATION POPULAIRE ‘

Grande Féte de nuit. Grand Bàl publie. IDiuninatlons de fatVJIIe

Concoors spécial de mérinos et de Dlsbeÿ'-mérinos.

Les visiteurs poorrônt admire^ une centaine dè -lots, de mérinos et de (fijjfiéy-mërînbsj amenés ça r les meil- ■îetifs éleveurs de' l’Oise, de la Sonunej de l’Aisne, de Sêihe-et-Oise, de Seine- et-Marhê ’et de l’Eufe.

Oit sait d’aîllêtirs que œ Concours est oigsmisé. ^ec tem èn t par. le ihi-i mstêre dé l’Â^doulture e t doté de prix s^ ia sX v aceiovdés par le n n ^ tè r e et par le: Conseil Général de l’Oise.

Les-ndbutOBniers de l’arEondîsse- inênt de Sêrifis sent tout particnlière- ment prife dé le -visiter.

. A n tm a n x -rep ro d o e tm irs .Uné vingtaine de-poulinières s u i t ^ .

EQBdéêde.po«nHrs:de K . Xavier Ftioré, agent du change, àu courant) paie-eonsé-^: -[uenfif du aécàtnisiBé.desépéretions-fiBao-!

: ; i l ^ t û t s i i s . à ^& irié r. poiarsaaprtw i» coûtée. mai&aTC6 ra ^ A d e B .a n - tres. Il avait à fmre face, eài eflefi.A.dn

d ev ie assaajuxnesx et a n x d é ^ s e sIraïudeviedwbdOBble

DtsuPendant piDsieurs' mois, a w i t ifiasgreode eoBfiamri: tom m arphaaa g re dé ses ;A sits. Mats lel iew vintoù, sur.dBSSDopetMSb itescwnptes lu i forent demandés. Gaasem; séduisant,

rondeur e t de bonhomie Mégante, d(B Lofm o'sat. péadaiB d u moiBeBt,

calmer les'inqniétiiiMS dontjoielnL finsaitr bi6Q ^n6«.:ftliA 1» dMdmde* enred": ditidn de comptes se finsantî:^â» prés-,

p a n a n t p lw .«M i8k*9tk :B d ^ a r u b -

Mï,fijia tri-

teàrs de la race bovine (flamands, hoL imldais et normands),, cent lote de moutons, trenlelots deporcs, soixante- ^ j c b B ts^ a B fa a tR.; le b ü »■fiés mscnpnons S ce Jour.

L é s a g r i ç o l t e n r s d e l ’a r r o n d i s s e m e n t d p . S é n l i S r é n i ^ W a n t a i i a u s s i © r a n d n o m b v e ' d ’a n im a B X , o n t p r o u v é . im e f < n s d e p i n s t m i L r m t é r ê t q a ’i l s p o r t e n t a i C o n e o n r s y D s e n a s s u r e n t l a c o m ­

p l é t é r é u s s i t e .^ ' ■

-D s H d ^ e s : a g ^ e e le s .fl convient dé fflicifer tout parti-

cûlièrément-les constidcteure- expo- "sante, pour léurs splendides expo» sititons. . . . . - . —

'fis ont tenu à en-voyèr, a n .Goopomsd e S e n U s a n g r s m d n o m b r e d e m m A m e s .M Idans ,cmie partie. industtieBe, j m e s q a e ^ v é r e ^dn Créiconre, eBeS .vdfiwmnti apporter ■mé note pI

monieuse sc fe ' à liaute'Tërdpré' ilil cours. 1 —

-JStWibreiixiadont fesviiSenin et les atm i^tenre.

- - ü . ^ t a k ’G o n ç o iù s ù n c o A .et ç^licieqx. Cta I . -doit h la Somété dBm ücalture deEmilis. - ,ï i

B^alfflesoigamsatéiirs mrt-

bmie, sorlaiBétsMle . — Saveavouséeffi'3 -findiail) séeoe-l-il, pour écoâer tout le via T

Un coUègae, Bmemiwiuul : ; — -------- » - -« o « î

Samedi et dimanche, auront liendes essais (fabrication du beurre, écrêr mage.ètc.) et des expéiiences (analyse de lait).

C o n c e r t s d n Samedi, Texcffllente.;muâpkAdu.54f

régiment d’infanterie de Gompi^rie) donnera un Concert.

& â n , ié pimanché, auditioiis dé l’Orchestre sjunphfmîliue du Ceréle laïque-de Beanvais et d ed a ^ c ié té m tâ îfe^âù S ffiâ s;:’ ’ ' '

teiwwittBitflIiAgiiiii’L’inté'rét et fuâlité 'des CbBcears;,-agri»

co tes.pu .^ tres, réskte.dansce.friLjpi'Us. n i e t ^ t en rapport vendeurs .et ashetsqrs et.qu’ils sôat ope lefioade Chose p r t ^ o t à teàé- Mieux .que toute publiché,, ils preqg.èûkaiix ;ViSiteure lé s avûitages-des mélht^es'nouvelles. et. idâm totrm t jp io chaque jour l'outillage va se perfection

races de t^ v a u x , de bcetrfs,- les utiles ou naisiU és aux p rc d n i& . les travaux à exéciitm- an courA & et donnent;, d ’evoellents consè-'- Thyirié&e A l a Term e.

£1as h»n , n o nsécon legslde M. Betdan fi-, président ______de Tempérance et d’Borticnltnre gent-snr-Oise, fondée à 1» Sa dtJB faaét dériüèrq èt comprenant «cftifiHèniiA M membres. « Fai votduv- qofm.tÂl'néWl dm ipi^t kterlocutear, détesreeriwtoe- vriers-du cabaim pmr te jardinage.,^, i cet éftet, fondé la S o c i^ dent IreJMMx» les photii^fraplüés èn foh| - ent^pitiné» inént rSnrei. Sans un -~nn nr ’rn||jiÎBinnj g i ^ à , t e . . ^ é ^ i t é ^ jgemjpes hoobr raifre et rondâteuré) y a ra w o n erl ch*-: cnn dé-nos raenfiires detrois ares de. terréin..oùje jn p fo ^ o u le r (ons de greffage et dé bm à« >.’,EAwwtM - M. Beulan de son éxceltente idée et de lè persévérance qu’il mit à la réaliser. ' / -

A près nons étire a r r ê ta devant teer-tra» vaux de la Société de secours m àtuéB e t de retraite de l'arrondissem ent de. SwOB et ceux de la Société de B o p i ^ a ^ ^ n S comme il convient l’Exposmtnr, p iw w de goût, q u 'a sii frire l'Ecole de B<ûferi.<Delir catem ent liées de rubans tricolores, idée .gerbes de différents blés, poussés ttensfflf* férents te rra ins, avec plus on m oinsiA iiT grais, nous donnent nne idée des divéftes cultures du terro ir, ainsi d 'aillênrs m iè la vitrine, petite merveille, ren fe rm an t t j r t un inùsée agricole régional. . '

P lus loin, un regard aux H élasses df la Raffinerie Say, dont l'élogo n’f ^ j i n s i f rire ; une visite à. notre b o n o ti^e n H . Yelut, qui expose les produits de la ferm e d u g n é w G r e i l , e t à H . Roland, d f f ^ - bery , fabricant de l’excellent âleocff.i ta ré le F lam boyant; puis après a j ■” tem plé tou t à notre aise leé, lots de lapins e t de gaD iùàc^ , revenons an cen tre du c h a i^ de c , où le baffet tenu p ar H . Leqg 0 .ireapli de boutrilies de tout calibre e t ée Vm form e. . . .

. L e sB M u d iin e sa g sM â à ie & !-> ;i

L a place nons fa it hélas défohU p a s se r in r e v n e d a n s l e c a d r e t e r é ï $ _ - , cbatpie m aison de co n rirec ttea . m ents p i c o l e s . Qu'il noim s a fe e r ie o lte r les m aisons A lharet, B a jæ ,.Joly frères, fabricant» de soirs e t conpes-racânes. _

Remarqué particnlièreméni l'eiÿosdx^M ps» trumeats agncoles de M. C liéiB epvM IaM lën coDStructeor à Procisu, Ifien cqonu région par ses semoiTS eu ligne et Il nous permet d'appiôci^ pooÇ;te. fois„k sènlis, .son nonveaa semoir:fi.>eeeiro» essayé récemment aù ministère de rAgriçauMOt II. I b ^ i e r est titulaire de plimim» nus aux (kineonrs de Melun, Pitfaivier8,,|LHA Poitiers, d'un diplOme d'honneiu J)J’SspofÇ m internationale de Liège (1905) daille d'or à rEipemtion lu iiv e ra ^ .dç,JSi|0.

t ^ e dire d e MM. R obert d e S e f f l i f f a s ^ G rril, sinon que lenr - lus instructiyes? Nons j r tm â —* ’*„ însUùméists devant servir la te rre , e t divisés en

* * 3ato fe «eux deriioé» t i t « — m i ceux-ffl r e a a à r ^ n S » ifeavel u M acGormick « l i se ra ffiise- «B jkm' «M >in «908, e t denk la preîaié»eiK t;««»9W B > S ertis . Là trm a èm e s ^ B i » a o té n r V- gaz pauvre p tsh i^ t a l i o h n w u B e F--^—(te'lamriSonl^ ------------------ - -racines. Remarquons enûn, dans la i

ft eStaSë^rireîehèBeL-rtnr „ etindu stiie ls de s'in itier aux nouvelles mé- tlmdes.iEiéGoacoom ergam is^aélneltehiént à Sentis e s t une preuve renvaiaëasrte-de ce q u e nec» rtfànçoàs e t l a .vîsâfis q u e . noos convions I tf te C lé a râ f r irê a v ê e ^ d s ib i dé- m o n teeràq ae r ie n * ’à r .é t é ih é ^ è j |a ÿ îes Sociétés des A gricu lte tirs '-œ -P<5^ e t d'HrttiCBtnre: d e ^ f i S , ' péul’ fSirtr dé certe ; m anifestation sç riée le Te tfp e du g en re . : ^

Entrons ' donc. Votrè carte-T Yofièi î Un ceo p d'eeU--s«>np(<Onnenx) an pieà t r é p m tener da p rép o se â- -lla‘ porte;- - r t ' - h ^ sommes dans la plaèè.^ Sods'-léS -ri^ rê s rnhgaffiqnes-dii'' E enrs-an .s'et rtvè lé e t ra» Iteséf-to»: iifstrismmils in r te ir e » dtH oiites form es r td e fo n tts ^ B rir f fn é s ^ te h d è n tè q

kttmntifÿ, k i ’if lq w â .défegi^, JËt c«-l

àivec Te pinsplriirir qeÈfes élèves del’BcOte ména- gètîe agricrte de l’Oise, actueUmnmit in^pBée. k Samt-Samsoai-Ia-Poterie, ^iUérii s<» am coors. ^

-défilaiG e s ta u mil

simpvaiByw A, W àrq,qipic» prèét, SÔÙS.lik,

HftjjciÿriRé,qni

iérârsfanfares anx

m m a -_ r e s on pos& scrtines cuH an. Dans d’- * ^ tab to iax de M. S r i r t ^ l , dartdpa^uts: très a r i te v f ls

.^jotriMi.. îhfititnhwg. àirdsjnu’ leur

Dosition du Coinilé des fêtes, ponrJéelfe de’ lâ phfed Ai-w. ifcu--

eOBstfaeticn- de 1 _ .-----caostrbcteur une pompe i

î ; ï= --- P iè c e s d é l* r f ié « b

d'élie’Rreuis nous préiânte— lot très e a a jd ^ A ièces détachées pour t e A e s ^ . e ç j o i f '

ï ^ l l e r des laaes.de fandiei»# et nàwwa- neose et se seiL^M r ffane aêtde en grés à.eâu, ne d é t ix m ^ pi» la seetian,

sur le Concours d e .0 1 m i p n i F r « resoevè m t^ ànons l’u tflis^on fo n c tio n n er^

-Ji 9jàu»çct.-i7<ï a

n y ap to d fiM»W>1q u e {e c p ir te te^ n ite ia MUon de la- vapeur e t son i

Ôriâkm dés inaclûnes à V tion d a te j*» te iir aérait r

La-maâmrm /d m iK

tTfl

.--è.-i-ia;-.-'

Page 2: M M AsriMlem U rOi ^ SÿiiÉt Us î)to Wb Visite de Mb Rüau ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_07_07_MRC.pdf · normal du réseau, sans" compter l’im- pré-s-u et le

i ' ;

3EFBÏSSE

La maison Schmidt, de 8 re» atta- et

neratoa ftausnicura.

faite», ., ite ^ it, raekAlibcft, i

BB'^ttoteiif ViMticâl a esseneévaciion- in m o ^ A to in e . ' ïi ' - ^

f ^ d ’iine graàife.siniEWitd. d 'ü ‘ ia^<élevé:e(t est i ^ l é a f m r e de

sedi^jesdaqaiés cxpKitationS^^coIes^ .uoas'êgalement les iwchines

aison'etide moisson, fancheuses, mois- uses, rateaux, faneuses, inolssonneuses-

lienses, de la mar<]ue Walter A. Wood, dont la réputation est bien connue et en partieulier de la lieuse Niagara, qui est très simple, robuste’.et légère de traetion, ainsi que les Houes Piller Planet pour la récolte des bette­raves, pommes de terre et d« la eulture de la Vigne.

L a C a rro sse rie .Nous pouvons attirer l’attention des agrieul-

teurs sur le semoir hongrois à caUlères ré- rglables à volonté.

Nos félicitations bien méritées aussi à 31. Flandrin, de Chambly, dont le hangar «brite l’école ménagère d’agriculture de l ’Oise, une innovation qui ne manquera

Ê?;''-’ÿ»icrintéresser.Nous avons remarqué l’exposition de l’im-

ü#ri?Ste Carrosserie L é o n B u a t, notre syni- » p tw ^ e concitoyen.

Côtte maison n’est pas à ses premiers essais é t s â réputation est suftlsaniment établie pour Wd^Mius nous y arrêtions.

P ^ i ses différents modèles rivalisant de goftÇet d’élégance nous attirons particulière-

.aw nt l’attention des visiteurs sur un Omnibus « 0 "famille d’un type nouveau ainsi que des Buggy de diflérents genres. Celui que nous apprécions le plus, dernière création de la Maison, du reste, est le modèle brevété S.G.D.G., monté à 4 ressorts, surbaissé par le moyen de brancard» en tôle emboutie.. Ce buggy, d’une élégance parfaite, olfre une douceur exceptionnelle. Son constructeur nous afOrme que par suite de son montage ii 4 res­sorts. le vannage qui existe dans tous les b ug^ ' se trouve complètement supprimé.

1 éassi Ini prédisons-nous un énorme et légitime . sùceès.

■ Dans la même industrie, un autre de nos concitoyens, M. Rogé, expose des voitures d’une irréprochable construction dont mous somme heureux de le félici­ter. D’autre part les magnifiques chariots ’de M. Dieux, de Crépy, par leur solidité et

• laurs qualités, sont- au-dessus de tout - floge,

A w a r a i l s d e T paction .

àGrépy et jardimer paysarisle, doftf les I ?ann i }esiSQnvives, i^nsM M . (te®»l^^ çroqtiisfont le pTus grand honneurJi son |> mnsëiUèr g&èlal, dé* k'Chmsë, (uTraN . . i „ . j . j . “ ’iUeul, MauriceGardwi».de

Ton de Segonzaô,“Dcirohy, iS de l’Aigte, dn MMnjjre- , Gérard de/ » r d i p C ^

. talent de dessinateur et dacxâetieur ?Dés roses et des fruits, ’®w'flenrs de

nagnitlque venue, des plantes vertesmax lai^^ le n î i i^ ro^ de cette ?]^a%ù'fdà ilpîcpur^v^'’.‘ l parterre aiCt couleurs

)t délicieusemenjt " “ ■XHorticulture est, comme

les craliprs \a u dévouement desmémè aq ..jiireau, à la hauteur, de sa

ral l \ t i o n . qu’instruments agricoles, bes­

tiaux (Am blé sur la champ du Coqcotirstnous y rencommnsauspi rétablissement du C h a m - p a e i i e o r , l’une des meilleures mai­sons du Ck -snois, qui est représentée avecle plus grains dOcès à tous les Concours orga­nisés sous5 de lasidence du ministre de l’Agri­culture. lorm'

On peuBe «teser directement les commandes à la personfWchargée de représenter la maison Mercier au Concours.

Ainsi que le peuvent voir nos lecteurs, la Société des agriculteurs de l’Oise a su faire du Concours ouvert actuellement une magnifique manifestation agricole. Elle y a été aidée par tous les cultivateurs de la région et par les constructeurs qui n’ont pas craint d’envoyer àSenlis, le pro­duit de leurs usines : N’oublions pas les humbles mais utiles collaborateurs qu’ont été pour les exposants, les agents de la gare de Senlis. Ils ont droit ainsi que leur dévoué chef à nos félicitations les plus sincères.

P. Bonnioi.

rère, Gaston Filleul, Maurice G ai^ i,; de' Guiilebon, le baron de Sep le comte . Ghm'les ville/ Sahsf^e,

»C3ialémbert, de Roberval, B ^ d e v ^ Son,.de nombreux gardes, eteV, «tfe ;

A la Un du repas, fort bien iseriit. M. le marquis de" Beauvoir, président deJa Sp- ciétè des Chasseurs de l'Oisé, a pim;]à p3 r'è rôle pour regretter l’absenës des gèndar^ 'mes que la Société a récpnipénsés;>mai’s une récente décision ministérielle 'oblige ces soldats du devoir à né-reqewîf leurs récompenses que des m û is de lem' colo nel, ce qui d’ailleurs nous-partSt très lo­gique. - V ■

M. de Beauvoir remercie la munici palité. ■ f ■

M. Fournier Sarlovêze r ^ n d par quel­ques paroles aussi aimablr*

-Voulez-vous le P r o ^ a m m e d é ­ta illé e t co m p le t d es F ê te s d ’a u ­jo u rd 'h u i e t d e d em a in ? D em an­dez le P ro g ra m m e officiel, le seu l ap p ro u v é p a r le C om ité d es F ê te s (COUVERTURE VERTE).

T

leruq- du Jéh de Paume.

Ces apimreils interposés entre les traits et le véhicule transforment les efforts les plus vio- leaté, les à-coups, en traction élastique conti- nne et sans trépidation. En évitant les chocs douloureux, ces appareils rendent dociles à la traction les animaux indociles et réfractaires.

M a f a c i l i t e n t b e a u c o u p le dressage et l ’atfélagc des jeunes chevaux.

Parmi les nombreux propriétaires qui ont Btfpl'oyé avec avantage les appareils de M. G.

- BESPREZ, nous signalerons M. le général- itubert qui a fait avec eux des expériences

absolument démonstratives dans la culture de ses propriétés de Roquebrune (Var).

M. DÊSPREZ est aussi l'inventeur de la nou­velle fausse maille de secours.-qui par sa pose iqgténtanée évite une perte de temps eonsidé-

A sp lra te u rs d 'c a o C aru e llc e t C hêne.

», Nous disions dans une récente étude que la . è question de l’eau était actuellement à l’ordre ou jour, il faut une pompe débitant beaucoup

, . ^-sans efforts, et toutes les personnes ayant î US pUils.d'une. certaine profondeiir cherchent

f ms longtemps un appareil réellement pra- e; permettant de puiser l’eau facilement et Bonéher l’orifice du puits pour éviter les - r æ é id e n ts et la contamination de la nappe

d’eau.La'pompe.ordinaire n.e donne, en effet, de

bonsürAwltats^ que jiisqa'à une profondeur litée, au. delà de laquelle son prix d'installa-

’ » frais d’entretien et son peiide rende^ itetij.abahdonner complètement.

-■ ' •’if tè éli^tèu 'rs d’eau que la maison C a- . m i n e iët C h é iie , d’Ôngny .Sainte-Benoite,

‘ "i cuistruit,' viennent heureusement combler cette -jiq^ iqp , et'la. quantité énorme de ces appareils

cnfohctiôn depuis sept ans prouve surabour damment à quel point ils ont obtenu l’estime

■- dé* 'oonnaissèurs.■viiontfe'bijisoé» a tout d’abord construit deux- .asWés.d’Blévateurs d’eau, différant par le mode- d’enqdissage et de vidange de seaux :“ .' ï^'AppareîU à tampons.■'■' I f A j^ r e ils avec Seaux à Soupape inlé- *' rietUpe.

: maison a créé depuis 1901, une 3 ' calé-

Appareffs avec Seaux « à Cloche Mor aqnèlle est ntt très heureux perfection-

Bl du type précédent, et l’a presque rem- grâce aux .nombreux avantages qu’elle

' ~erje.-A.ussi, malgré son prix un peii plus jap lupw t’des.aimateurs n’bésitent-ils pas ér cette'légère diflérence qui leur assuré x im m de garanties comme fonctionne-

'MppA, solidité et rendement. .4^1|j.'-Sp|idété d ’H ortic

. d’Hortieultuiîe de ratTendis-îf-nÜett& de Sènlis avait leBU: à montrer à i IfiMyiM .m^veilles flofalwjtéalisëes paij ■'“ “■'~l»br88..Comment ne nas louer sand

9 ^ to r s apportsMM. Ed. Yerrier,, ehef des potagers du chMaau

. Jlle, Victor Ramus, jardinier-3W|6*ll.fintUeminot, Mathieu, horticulteur

MtytsimjjamtniCQUMIERde L’OISE'fm

L A M lfV T E .

» PREIIiEHE PARTIEl i i (suite)

u

L’atteiitiim% t redoublait dépasser par 1

•fl.f r.fitd tts tûa

aucibst?lUQuiète à causeeieacB

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o ’a r a i t rheB que d e v ra i

■éocher s’eat reraln a votre

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«HWBÎSîntq

Le d é p a r t d e M. d ’A u rlac , piNifet d e r o is c .

M. d’Auriac, préfet de l’Oise, appelé à la direction du personnel du ministère de l’Intérieur, en remplacement de M. Ma- ringer, devenu directeur de l’administra­tion départementale, avait été nommé préfet de l’Oise le 16 juin 1906.

M. Jules d’Auriac, né le 20 juillet 1834, à Paris, est licencié en droit et ès-lettres.

20 décembre 1877, chef de cabinet du préfet des Côtes-du-Nord

5 noveml)re 1879, officier d’Académie ;22 décembre 1879, chef de eabinet du préfet

du Cher ;12 janvier 1880, chef de cahinetdu préfet de

la Charentc-lnférieurc ;26 mars 1880, conseiller de préfecture du

Cher (2' classe) ;4 avril 1881, conseiller de préfecture de la

Charente-lnférieure ;8 juillet 1881, conseiller de préfecture du

Vaucluse ;-23 novembre 1881, sous-i)r(fet de Loudéac

(3' classe) ;30 décembre 1880, officier de l’Instruction

publique ;3 octobre 1888, secrétaire général de Saône-

et-Loire (2' classe) ;2 novembre 1890, 1" classe personnelle :18 mars 1893, sous-préfet de Lorient (1"

classe);23 septembre 1900, préfet de la Creuse

(3' classe);6 janvier 1902, chevalier du Mérite agricole; 19 septembre 1902, préfet de la Vendée

(3' classe) ;Novembre 1905, préfet honoraire.M. d’Auriac étant oncore préfet de la

Vendée, se fit mettre en congé pour se présenter comme candidat radical dans l’arrondissement de Fontenay-le-Comte, 4™ circonscription,.contre M. de Fontaines, libéral, qui fut élu par 10.682 voix contre 9.917 à M. d’Auriac (6 mai 1906).

Après le banquet, l’assemblée générale à lieu à l’Hôtel de Ville. '

Lecture est donnée du rappdi^ de î î lé trésorier, duquel il. résulte que l’actifï’é- lève à 20.693 fr. 60.

M. H. de la chaise, secrétaire, doùne lecture de son rapport.

Après-un hommage.rendu aux gardes M. de la Chaise donne l’état des délits constatés en 1906-1907 et des condamna­tions prononcées. Délits et condamnations sont|én diminution sur les chiffres des an­nées précédentes. Mais si le nombre des délits constatés a sensiblement diminué, il n’en faut pas conclure que les délits commis ont diminué.

M. de la Chaise signale l’inconvénient des trop fréquentes amnisties qui rendent illusoires les condamnations prononcées. 11 termine en souhaitant que 1 on obtienne enfin une situation moins privilégiée pour ces messieurs de la braconne, vrai bureau de-recrutement du vol et de l’assassinat.

M . le marquis de Beauvoir signale les belles actions accomplies par les gardes et les gendarmes auxquelles la Société des Chasseurs de l’Oise et le Saint-Hubert-Club décernent des récompenses.

M. de Beauvoir rend ensuite compte des travaux du récent Congrès de la miass dans lesquels le département de l’Oise tenu un des premiers rangs, grâce à MM, le marquis de l’Aigle, de Poly, de Se- go.izac, Christophe, etc.

M.'de Carrère, au nom de la St-Hubert- Club, adresse, lui aussi, ses félicitations aux gendarmes, aux gardes particuliers et gardes champêtres auxquels il décerné des récompenses.

Il est ensuite procédé à la remise des récompenses décernées par la Société des Chasseurs de l’Oise et le St-Hubert-Club.

Médaille de vermeil, offerte par la So­ciété des Chasseurs de l’Oise, à M. Albert Randon, garde particulier à Delnicourt.

Médaille de vermeil, offerte par la St-Hu- bert-Club, à M. Désiré Hernu, garde par­ticulier à Reilly.

Médaille de vermeil, offerte par la So­ciété des Chasseurs de l’Oise, àM. Agricole Leret.

Médailles d’argent, ofl’ertesparla Saint-

V otes d e nos d é p o té s .Séance êu 2 ju ille t.

Scrutin sur l’amendement de M. Paul Beauregard au projet de loi Adopté par le Sénat, sui; l’emploi des composés du plomb darts Tes travaux de la peinture en bâti­ments ainsi conçu : « Les fabricants dont l’industrie sera atteinte par les dispositions de la présente loi, auront droit a une in­demnité qui sera fixée parle tribunal civil de l’arrondissêment où sera situé l’établis­sement. Dans le cas où la fabrique serait occupée par un Jocataire, une indemnité distincte seridt due au locataire et au pro­priétaire de l’immeuble. » Repoussé par 362 voix contre 139.

A voté pour : M. Ga’iilard

Hubert-Club, à MM; Thierry, garde parti­culier à Saint-Maximin, et Pieuchot, bri­gadier de gendarmerie au Coudray.

Médailles de bronze, effertes par la So­ciété des Chasseurs -de l’Oise à MM. Mognolle, brigadier de gendarmerie à Verberie; Brousseau, garde particulier â Crépy-en-Valois ; Violette, garde parti­culier à Russy-Bémont ; Gallois, garde champêtre à Guignecourt ; Barbarat, gen­darme à Auneuil ; Kerekove, gendarme â Trie-Château ; Pauter, gendarme â Senlis ; Volatl’on, gendarme à Crèvecœur.

L’Assemblée procède à la désignation d’un délégué cantonal pour le canton de Mouy; A l’unanimité, M. Meurinhe-Sfini de Bailleul, est désigné.

La séance est levée à 3 b. 1/4.

N om ination d ’un c a n to n n ie r .Par; arrêté de M. le Préfet de l’Oise en

date dp 27 juin 1907, M. Joseph-Clémènl- Quentin Lendomer, a été nommé canton­nier des routes nationales, à défaut de candidats militaires.

AÉm ies d» POisi!.Les fondateurs ont à cœur de répondre

A voté pour : M. Ga’iilard. I à quelques remarques gui leur ont étéOntvotécontre: MM. Baudon, Bouffan- I faites au. sujet de l’explbitatiOn.-QI1 'Riitvn OVt/Nninat o-f TàAr\int*>»A I 7VT,-...r. J— .-XA^L:..:'... A2A-_deau, Butin, Chopinet et Depierre.

S o c ié té d e s C h asseu rs d e TOise.Assemblée-générale.

Ija Société des,Chiœséùrs de l’Oise, pour la r^HÀsskin dii brahohuagé,- a tenu son assemblée générale samedi dernier, à Compiégne»

La réunion était précédée d’un banquet qui à eu liett é midi, â l’Hôtel dé Francej sous la présidence dé M. le mafquis de Beauregard, ayant à sa droité M. Four­nier Sarlovêze, maire dé CtémiH^e, et à sa gauche le baron de SeroHX.

Nous admettons bien, dit-on, que vos prévisions de dépenses sont calculées d’uné façon très précises ; nous reconnaissons; étant donnés les progrès de l’automobi- lisme, que vous pouvez savoir très exactet ment ce que vous coûtera un kilométré d’exploitation. Mais en est-il de même de$ recettes ? Pouvez-vous dire qu’elles seront

pour couvrir les frais d’exploi- .tatipn et rémunérer convenabléiûenf lécapitall

il faut être aveugle ou né pas connaître cet adfnirable département de roise,pouçt

ne pas; comprendre- qu’il Offre des res- L sources extraordinaires pour le transport

&T6C SOS IQOIlUlIlOlluriustOriQUOS flVMt

de toutes les pafees de la France e t ^ d’é liw rar; M K g ^ é e seront npùiàR dcMljeni des >Fra^po%-Atttomd cela, les ar^i^ssem i

I Conipiègne onilnne si sur toutes les àiifres n où il a été Ci

;#ni>;.k»Soci ^'POise. „

dë'.'SenlisÎM.. ^driiorité marqSÈi; ^ n s dé la Frapini ’~is dé: t r a n s p ^

esuiÿâïêgio[» dea-Shési^

leM' deusSi au-deh

automobiles, ou cepeOdi geries automwRes a toutes les espérances.

Coni&n.è; noué? e«tè Sofeîéfié a imarqné son appmstion danÀta viepar des débuts modestes ; êllé a'côm’mencé sdn ex'^oita- tion avec 12 voitures quLlui ont donné, en 1906, 143.000 francs de recettes ; au­jourd’hui, elle roule avec 40 voitures et exploite. SOO kilomètres. ' __

Ajoutons, pour, rassurer ■ les sonscrip-’ tours, que nous avons fait faire des poin­tages très serrés qui permettent d’affirmer' due le nombre de -voyageurs sùsoeptibles de prendre nos voitures sera suffisait pour couvrir les-frcUsdlexploitation t( réfnunérèr convenablement .le ’côpifàr parce que, à çôfié de 'çeux' qDi'ppénnéot’ l’auto par utilité, il y â ceux qui le pren­nent par plaisir et ils sont plus nombreux

que partout où il s’était créé des.trans­ports par automobiles, le nombre des voyageurs avait triplé. Nous emprun­tons cette expression au rapport sur les résultats de l’exploitation de la 'Conçagnie des Côtes normandes.

Enfin, à côté de ces recettes, il en est d’autres très importantes dont nous par­lerons dans un prochain article.

Les nouvelles que nous recevons de la souscription uous montrent que dans cer­taines parties du département, on a très bien compris l’importance de l’aflhire et le bien immense qui en résultera pour les phopriétaires et commerçants de la région, aussi, nous avouons avoir difficilement compris l’indifférence ou l’inertie de cer­taines municipalités.

'éôncurrenhs;

a affairei des

xoheyanxsi ^îTa ■

! de Fohtaii

ffgfètout, se f(

_, [lim.i IqirrètéSi q>Ma(4fêria Sé'que le v; lent idosi bleau.

écheval

4^nx du

lèniiwai|Ê)malin,A néu^fddionBonceHin, JîéhtBnant de. j Hu s a l l c - X- , »> - « jpénalisation dttâèùx grandtfedlônteffzfei; qui se battait à. corps perdu pour de \ Ponf lés raisons f toutes petites secondes t „

Le départ a lieu et le sympathique offi­cier part le . dernier, suivant sôh aüii le lieutenant Goniff, un habitué des raldS qiii règle parfaitement son allure.

Apres le passage des gorges d’Apremont le lieutenant de 3tarolles arrive au Fran- ctfafd, d’où Lam pas après avoir été cou­vert d’eau tiède, repart en vitesse sur 46 kilomètres, faisant666mètresàlaminute.An gué de Montigny, le lientenant de Ma-. ..relies entre dah's l ’eau pour_arroser. a in âqu’il le dit sonm otfur ..qui. est brùlàniT NouveandépàHeFnSiivelincidenl. lam bas’ g, pre^l#:p.as^ è . ' in»mièré f ^ : %

V oulez-vous c o n n a ître le d é ta il d n F e u d ’a r tif ic e q u i s e r a t ir é c é s o i r ? D em andez le P ro g ra m m e officiel, le se u l a p p ro u v é p a r lé Com ité d es F ê te s (COU VERTURE VERTE).

Le raid de Fontainebleau.Nos lecteurs ont pu lire dans notre der­

nier numéro le. conqite rendu du raid or­ganisé par l’dn de nos confrères de Paris, et où triompha M. le lieutenant de Ma­relles du 2' hussards. Nous avions inci­demment, au cours de cet arficle, parlé du raid de Fontainebleau, et il nous aparu intéressant d’en connaître les principales péripéties.

M. le lieutenant de Marelles a bien voulu nous donner lui-même les rensei­gnements les plus complets sur cette ma­gnifique épreuve, à laquelle il prit, dit-il, tm intérêt très.vif et qui lui fit éprouver des émotions un peu nouvelles.

La première journée ne fut qu’une pro­menade militaire ,à l’allure de 13 kilomètres à l’heure. Mais le vaillant Lampas ne vou­lant aucunement se laisser dépasser, prend et garde l’avantage sur deux officiers du S““ chasseurs et sur le vétérinaire du 18”“ dragons; il arrive ainsi à l’étape avec une heure d’avance sur le tempsprescrit. Aussi, afin de conserver son cheval dans le meil­leur étal possible, le lieutenant de Ma­relles dut-il avoir recours aux sôins les plus énergiques.

La seconde journée, Lampas est en très bon état, mais son cavalier est décidé à le laisser s’employer, sans lui demander tous ses moyens dans la partie vile : l'afin qu’il se présente encore honorablement le lendemain ; 2” parce qu’il est fort chargé ; 89 k. 700, au heu .de 83 k. 500 comme la veille. Cette diffébènée de poids provient de ce que la selle légère employée le pre­mier jour a été remplacée ce jour là par une selle de chasse, assurant mieux iW siette du cavalier. Arrivé au champ dè course de lâ Salle, Lampas voyant devant lui la Sorcière, parfaite sauteuse, montée >ar le lieuteuant d’artiljerie Cariou, tend ’ortement ses rênes au point que le liOutet nant de Marelles a grand peine à le'rêtei- nir et se voit entraîné à 200 mètres au-delà de la piste. j

C’est au champ de course que commen| çait la partie en vitesse; à la descente des' Ilochers-Châtillon, le cheval de M. de Mai reliés aperçoit un lieutenant d’artillerié ;ravissant le remblai de la route Parisl fontainebleau et le prend comme point d f direction, en sortant un peu de la pisté tracé#, cè qui lui perinettra de gravir lé talus en biais. Cette façoù d’t^ rd e r lé remblai est interprétée d^avorablemenj jiar les contrôleurs (pénalisation). j

Plus loin, le lieutenant de Marelles est frappé d’une seconde pénalisation, parcé qu'en demandant un renseigffement a l’un des contrôleurs il a dépassé d’enviroit 40 mètres la piste, malgré qu’il ait perdu

Slanetsontei —par là même son élan i i temps. D’aiU

pTBBê'li^.as pwmièrh fw r .rière un autre. cheval au trot ! Le lieute­nant sàpte à terre^ fait 500 çaètreeainsiij^e-j ir onte.â’chevafen nlhtrîml eh f ^ t i l ’o a - ' bre ; puis reprend le trot. Arrivé à la route de Moret le cheval se reconnaît, relève la téte normalement,; allongç' son trot ét ait tournant de Bréau prend le galop et fa it quelques très belles fou­lées. L’honneur devait être sa u ftE s effet le lientenant de Marelles était classé se­cond pénalisations comprises.

Nous avons tenu à connaître l’état du (ffieval après;une pareille performance. Le lieutenant de Marelles nousdonneâcesujet les renseignements suivants : Dans les trois jours qui ont suivi, malgré' les massages méthodiques, les hmscles moyens-fessiers de la croupe se sont lé­gèrement affaissés, déprimés ; le cheval' mangeait autant, mais un peu plus lentement.

L’état général était d’ailleurs satisfai­sant, à ce point qpe le raid Trouville-Paris fournissait à Lampas, quelques jours après, l’occasion d’un magnifique succès.

Le lieutenant de Mazolles a bien voulu . nous confier aussi ses impressions sur le raid de Fontainebleau : Le terrain en avait été merveilleusement choisi, le parcours ravissant : cela vous donne un, coup de fouet que de se retrouver dans un milieu cavalier aussi appliqué à donner son maximum cfefforts; ta cor­dialité entre tous, a fa i t de ce ra id une réunion, une fête hippique inoubliable pour ceux qui ont eu le plaisir d y prendre part.

Nous ne voulons pas terminer ce trop coiirt compte rendu, sansremercierdeson amabilité le s^pathique officier de hus­sards, et le féliciter à nouveau de l’endu­rance dont il fit preuve et de l’habileté qu’il déploya dans l’entraînement de son courageux cheval Lampas, avec leque.l il a pu accomplir, à quinze jours dinter- valte, deux records en vitesse.

P. .Bonnioi.

Noos an Ænns i ion tbélàtralei

lie arÜstiqB rilV . Non»!

ièreraent le insablM pourj.» artistes de s e ' iü rleo rrtlJ“ iiles pdtir e iH oni;

on voudra bien, d'une Taçtm server la consigne que MM. les

née dans un intérft supérieur. ^

Derniers préparatifL’é c t e l r w ç M ^ P l ^ Hf»rt »

Le C o n c m d e l à.Hier, mtdgrè le m uvais temns.)j> .? ’;'

contin»é,.i#vec êslSvüé Ja.déporationAÎ rues et desjdàces:de.holce‘cit£M £iüiS<i|

deiTesmêillei

Pendah 'breuse n’a cei>TApport-au-Pa^t place __juger du coup éroil, delà pers]

V oulcz-vons c o n n a ître le P ro ­g ra m m e d é ta il lé d e l a R e p ré ­se n ta tio n 'p o p n la ire d o n n ée de­m a in so ir» S lm an c h e» soir l a p la c e H enri-rV » p a r le CERCLE ARTISTIQUE d e C répy-en-V a- lo ls ? D em andez le P ro g ra m m e officiel, le se u l z ^ ^ ro u v é p a r le C ondté d e s F ê te s (COUVER­TURE VERTE).

J î travers SeniisLes Fêtes de la Ville

R eco m m an d a tio n s p a r t ic u liè re sNous adressons un chaleureux appel au

public pour qull vouiHe-bien faire preuve de bonne volonté et faciliter aux commis­saires de la fôte l’exécution des consignes qu’ils seront chargés de faire observer. On ne perdra pas de vue ce principe que l’ordre est Japreraière des conditions pour obtenir le succès complet d’une fête.

On évitera soigneusement les bouscu­lades qui peuvent entraver et ralentir lé défilé du coilège, et malheureusement occasionner parfois les plus graves acci4 dents.

L e c o r tè g e f leu ri.Dans le but de pçrmettre à un pkij

jrahd nombre d’habitants de voir passet e cortèm devant leur demeure, on a àug-î

monté d^une façon jibtable la longueur dti parcours qu’accomplira l e 'c o r t^ fleufil

Or, le temps dont nous disposons étant fort restreint, les arrêts seront moins longs et nous nOus en rapportons à la sagesse des Senlisiens et de leurs hôtes pour laisser le passage libre et permettre pu défilé de s’effectuer sans à coups et dans le plus grand ordre. Ii Que personne nè'^é'prèsse, ne se bous­cule car chacun, sur un des points ÿieW conques de l’Hinéraire, pourra contempler

.essayé êtaSSi''tfe circulé d a n s * ^ ^

pow'guirlandes et:de ïé c la irM qui^nt*^ plus gracieuxMffet. .

A neuf h e m ^ ’ a en lieu le eoooert d> la place de la Halle, donné par la SoriM musicale. On peut dire que tout Sei& était là ; de l’intersection des rues Ront». ;maille et »SainUHilaire jusau'à la.<na^ l’Ajqiort-aïU-BDn, i à voie pàbâqiféLa noire de mondé. L’éelairage, <KHnpaslé| fleurs électriques en bandés souples, éUt féerique. Nos artistes ont été au-dessus de tout éloge et nous sommes heureux de Ig féliciter et de les remercier au nom'du Comité des Fêtes.: Entre, dieque morceau .de musisiM, M. Biscddi a eu l’amabil^ de oous^n entendre son éxcéUent phonôgiu&, (fniM netteté et d’une jpuiSsahce pariaîlés; qui nous ont pm-mis cTàpplpnifirdeg parfifiom d’opéra et if bpéfa-comigue de toutelAnU,

A l’issué du concert, la foule s’wFefl aHèe à travers les rues qui ont conswfi jusqu’à unie heure avancée la plus gnàdi animatiom'' Répétons-le I Que le temps se mette avn nous et nous aurons des fêtes splendû^

Dernière heure.M. Ruau est retenu à Vichy.

Nous apprenons que M. Rùau, mimstrs de l’Agriculture, a été appelé d’urgence i Vichy,, auprès'de sa mère très gravemefl malade.

Il a délégué M. Dopte, sous-chef de Cabinet, pour le représenter au Concours de Senlis.. *

• »

M. d’Auriac, qui a déjà pris possession de son poÿe, ne pourra se rendre à Senk, ce soir samedi.

Il est prob^le que M. Launois, secré­taire général de la Préfecture, sera pré­sent au banquet.

Le# T ra in s sp é c ia u x .ALLER

; Let 9 et 7 ju illet ;l«ï*3*c. D î'S 'e . 4

matin matinChantilly.. départ Sj-Firmin.. » S èn lis .... airrlvée

9 16*9 26 9 34

10 48 *10 38

11 06

seir 2 21 ■2 31 2 31

l«2*3»el.soir1 55

*2 04 *2 07 *2 10 *2 18 *2 22 •2 26 •2 312 35

Crépy-en-Vàlois. . . . . .7 . . . départ,Auger-Sainl-Viacent . . . »Le Im at. ....... »FresnOy-le-Luat ............ »Rhlly .............................»Baroery ......................... »Borest ...................... »Mont-l’Evêque. »Senlis.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . arrivée

(*) Arrtt pour prendi-e des voyageurs SâliS en descendre. -

RETOilRNuits des 6 au7 et des 7 au 8 JuUlett.. i^S'a^el.

Senlis................ départSaint-Nicolas-Auinont.... arrivéeSainl-Firm inî.... »V i n e n i l „ . . . » S a in t-M ax im in .......... »Chantillÿ.. . . . . . . . . . . . . . . »Paris. . . . . . . . . ■ . . . . . . . . . arrivée

Senlis........Mont-l’Evéqim . . . . . . .B o rest........i.i .V ./jîBarbery.. . . . . .R nU y....Frespoy-le-Liiat. . . Le Liiat..Aueèr-Saint-Lttal'.. . . .Cr?py-en-:Van»-s;’. .. .1 ... Ormoy-Villets.. . . . . . . .NanteuU-lerilandouia.. . , Le Flessis-B^evdle.. .^. Dammartià. . j . . . . . . . . . .

départ ^ arrivée

arrivée

12 20 *12 2? *12 29 *12 34 *1239 *12 4»

1 25 matin-

1” 2* 3* eli so ir .’

11 »*11 05 *11 10 *11 1* *11 21 *1» 26 *11 29 * H 3 3 „ * ïf4 f *11 58 *12 08 *12 17 12 27

(*) Arrêt pour descendre des voyageurs saUf en prendre.

route, mort cette ibis où évanoui dé nouveau.. Une battue à travers bois né pouvait manquer de k faire ^ouvrirL

Justin, en misant cetaveu', dohhaitlâ on astuce dej^nb^ ileté t

•4 S Dmtûnique n’kn pas mort, on lé retrouveitt. et on l'interrogera; il né manquera pas de dire qtie c'est tnei qui M aiA m oposédepas^ pttrle bois, ef si-je.ctéclare le contraimhul juge d'ins*

/truction, immédlatemôit le.' soupçon vient m'atteindre. • - --'-a •- : C'est pourquoi il n'uvaât ipas’liéMté-A .avouer son initiative, en lut.doianant;-il est prétexte pjyMmible.

I k magistrat étaitrsuivc«r'.'Tout à coup, il fit appelerje commis-:

boisî luiiilslrhéâôii

d'Inriri-l

■ê‘’êW éj'néud 'dién’da crhnêj '■ [i|^e7’Vsous y

;tin .'M ; ûeiÉiâsséblé.

niph-!.

Oufj monMeùr’lLhbrigedehtegaiMa__v er,e t ellu dé livré ottU

: 'Tr«.bi«î-3ife' aliohstfiHfUàrendresi pburjieéÉrtlnnèr aebèvtiteé'lébMé^ elle' sera plus précfs^l pour dmtiérsieur-Iç commisfeairè ?

— Oui, monsieur le juge d'inéfrùctioh» j ’jra i envagd,i-dés cetmniinf deux d e mçsngUBteiiiî,-;

jf.]a)tesjpré.véi}ir Tes., frères -Siipon, .qui ont à id p 4 '^ trâ^ p ô i^ vîètjinK,'

ùn donieqfiqué. n/la. féfme

ri - ;»I-j

Puis léjiigé d’inst'rhcèibn; son greffier lé médecin. Té cb m n û sii^ de police et Justni prirent le chémindù bols; ;

Ils trouvèrent les chosesdinsT‘état oCÎ les avaient laissées les deux paysans et le jardinier, c'est-à-dire le tronc d '^bré barrant la voie, les chevaux qui n'a^ vaientqin se relever, iu • 'voiture et les

jpiécesjd’or restées invisibles* jusqu'au Jphr. r t qu'avaient trouvées, ^ r le isoli les deux Agents du commissariat de Joigny.;. — vpilà un indice précieux, pensa le

'jugeffibstniction. ’ ,■ ,iTLifi'hxiUyaillédé cet or fait sUppcièer

rqueik/ivata été l'emobUedu crime 'En népoinHanttléor victime, les assasmns nuront laissé tomber'ces pièces d'or sur T#iSéiiger. QuA t-on trouvé dans Tes fKgfijtlpi/ck'Bob^ démahda-t-il.au c )^ k l^ a ire dé police.

— Ni argent, n f papier?; - — Ni a r g ^ , M phpiér j pas m&^vaUt porte-monnaie. . ■ i'. iT-.'

“LpAhgtdc doute l .s a ^ t le . magistrat nous sommés en jirésehcë d’un vol à mafn armée; p riéi^vF un assassinat.

Une pareille conclusion élo i^ait an- gulièrement la justicede labonhèniste. ;rilSuc là routBj plus élevéeqUé Té sen- . tier,! quelques curieux r^ardaient de

^m éd ec in , « il dessinait unpsu,.pro- Rpsa .aujuge; dinsftuct.on dé prendre Un iprqquis;deS lieux

(■ •’rOus'nouS réndr^'un gréhà' Sér- vice, docteur, répondit'%^mügistrat. Pendaift;«,tempsvjé c«»tinneraKmon .enquête. B e ^ p e ? votre déposition,

ajouta-t-il en s'adressant à Justini V oiis en étiez resté au- moment où là voiture quittait la route et s’engageait sous bois. I

— Eh bien, mqnsiëUr, les chevaux qui f tO!Ut d'abord marchaient au pas, à causq dé l’inclinmon du tMrain, reprire nf leur vive allure. Il ne pleuvait plus, et j'avais fermé le parapluie qui abritait Dominique et moi. Mais, à l’entrée dq bois, de violentes ràfales de vent se-i couaient les arbres et abattaient snù nous toute l'eau resiée au milieu des ;&uilles. Je rouvris donc mon parapluie et le plaçai devant nous. Un peu incliné en avant, defaçon A-nous protéger 1» figure contre l’eau qui tombait.

— C’était bien imprudent fit observeÉ le magistrat, car il pouvait surgir un Obstacle... .

— Quel-obstacle, monsieur?... 1# sentier n’est pas public et n'est utilisé que par les gens; du chéàeau et pour Fexploitation'du'bois. ' '• —j Cependant, ce tronc d'arbre qui barre le chemin et quià préparé la catas-f trophe.1... - : - ;

Il né s'y trouvait pasTorsque Doffii-I nique et moi nous sommes passéé'ici P Q u r i a l l e r ,^ercher m o n s i e u r A Ta gare ' et bien certaineinent Hsia é té p'acé* h parlés assassins péiMant le' tem ps qu^ s'est écoulé entre notre voyage d’aller r “ celui de nstoUr. i : - ', ' '

. Hn’y àvsitriea à dire A cette exphcà -: lion du: valet, ■'-(i ' i

Oh! les:b:lu>illê}d-eiyajent’l!oiM»-}»-évu

esm nocei^l

— Tout à coup, reprit Justin,1eschel vaux s’abattirent! la voiture s’airéti sous tm choc violent; Dominique fUl précipité de son siège et tomba à droite. Le parapluie s'était .échappé de meii mains. Je me cràm^'nnai I la lanterne de gauche, qui venait de s’éteindre, ef j’essayai de descendre. Au moment où mon pied allait toucher le sol, j'entendis la détonation d’une arme à feu. Je me retournai vivement et j'aperçus Domi-I nique roulant dans le fossé... là!... A la portière de droite, vers laque précipité monsieur, deux- homme*,» figure nmrcie, le criblaient de décl rmtâées, ce qui mé fit supposer étaient armés de revolvers.- Que Mdjeter sur les assassins?... J'en eusla pensée; mais setil et .-sans arme c'était courir à la mort sans- profit pour por- ;spnne. Je franChisTéfossé, munfonçànt spusle taillis, p a rla gauche, et je'- ' cou­rus tout d’une traite à la ferme des ■ffères Simmi, pour leur demadder aide.

Pourquoi pas au château ?\:. i j - ^ Parce que la ferme-est plus rap-

d'ict que là château, et qué me vers- les Petites-LQ^,:>c’ébùt

mehvrer sûrement r«ix assassins. J« tijauvai les frèrearSiaiion en train "dé ;pèendre kurrcpaé.-Âùx prenuerà mots que je teur dk,'ris»: 'éllèànère'nt u n k lo t- , îsièmnA dé.:me sfflVfè;- Afi 1

acki ndmsiéttrffix/ mtm pan-!. *gîsaitdà*WèBeBRer..;â7cet

l'éudroit, f»%uréèr^(todéd>aiMa)et 'de -'cqeps. ’C âéit' âfifiMfAy?â''F.,:;%in'f)àa

Mmçvi4Az,wuAlW^ce:fosêé,-é^■ ' ■ •-A.- . 'i'^du |^® i*aim qùe;'l« rtteéee9firé tw ^ lejugçd.in5lruction.i 7ftmdjdoaBiWé..i’ ' ‘ V •, ’ ' ’ '

. E t comme si l'évocation da drame eût avivé sa douleur, Justin eut dés larmes plein les yeùx et des sanglots dans la voix.

— Que M. le juge (Finstmction me pardonne, dit-Â avec un geéte de. déses­poir, je ne puis sunnonter mtm émo­tion.

Cette déposition, fit une grande Im- pressmh l’aùditoire, ét ifne ivient ‘ àresprit dé péiSonhe d'émettrè le moin­dre d o i^ sur sa sincérité.' D’autant imeux qu’elTé fut confirmée, de pOint ea point 'par^1«&~firèrm Sim<m, pour la phaséa laquelle ils avaient pris pért

-7-Les asaassnq Raient aanâmlne de deuz..avez-vqnsdit? demanda le juge d’instruction,..' —-Oui, monsieur.

sS îi tM e a diffltile d’êfn t i ^ nÿééis 44isêt'èg*â, à éàusé'du trou­ble cksd>]éqnel fêtais: ToUt' cè" qué je p u is a s , çést qiW Yém éttit plns giaad

IX miqérableineirt.vétns...Lq;m«giatiats‘adrcssnanxfinères S-

mon. ■ - ■ . ,» I . , i-7 Voué.z)êcoitiwssez,dans k .pays

qUcgns ysgahonds, pqint dé m ê i^ â s àuxquélé pmprraicûÀ s’appfi^Sr ces mdicatioSST ~ ' ■TS~ '

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. 'fjfsùtoré.ji ■ ,c-c :■ ;

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! Soldat. — j totermèd

i par Ijorché

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1 lé Lune.

' l ’Auguste]

; ^ g - < MiT erdnx jê

gn|uenm j

;>ltoa-ula4 Cersle Taïm

’ n o t r e l A î'ntih :lk Comi|

ése'^rie i ifatnes lès 1

Hepr éerts, retra loe, viend beautés ;

N’ouhlioil -Adenx}Mus sécola tous les ( incommodé ^ m is , dit

_js ,tra la venue à)

L et inStruetif agfféable

. "*■«À fie

débitants i ser leurs' i les nu.its d | du matin, < dn matin.

Lamboi, subir avec*i pliie» Il a t bien.- to u te s 1 pnffesséu

i- L e i

^i#,AT . ChMet, and |p r ê ^

chansonniq d’oaoeinteii risoisheu

N eûra

ment, de I

. veau conc

M-Calié Senlis, est

|tiM-retraite.! I / naud, ins;

; Berrand.

Berna, ./place Hen

fe28. Gasu[»'G llbére

■ Rjaé 1

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oncert te [la SociétéV'ut S e ^ i^s R o n o .

np o rtte pies, étaite u x d e 1 «B

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IparofioM nel>e««ti.' t S 'M tet co K o n é

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|2 12 '27

I S prix de aïolon dt p e lle s ; Sennelier,■ ^ înofitnfA

vice-président de \®icale des instituteurs de la ’ Seine,

Orchestre symphonlqne d e B e ê w r a i s .

neniain dimanche 7 jaillet, de 1 heure à .ieores de ’f^irés-midi teneeint» dn

f^^ours), conférence avec auditions sur \tChanson Populaire, par M. Auguste I *y^ concours de MM. Charles I iisueDin, compositeur de musique, pre- I s'y. (jg violon du conservatoire de

' tI W eur ténor ; te Mme Guyon-Delaspre, I toieuse so{«ano, et de l'orchestre sym- lloniqne du Cercle laïque de Beanvais I exécutants), dirigé par M. RonOette.

pRoeicuixsOuverture : Pastorale (Ch. Huguenin),

Itfur hautbois, par l'orchestre du Cercle ji. uc. Soliste : M. Matte.

Conférence de M. .\uguste Gaud. Première Partie.

Ijjants rustiques et satiriques. Berceuses,. Rondes enfentines, Cantilènes.

■ ). Le Petit’Ageasseon. (La petite pie). — • 0 Le Berger qui me fait la cour. — , 3. lA înt de. labour. — 4. Le Bal des Sonfis I jiér^use). — 5. Le Bouquet de Marj'o- Jjlije. _ 6. La Chanson t e ,1a Faucille. —

Les R egrets de la Vieille. — 8. La iffniiiie du Bossu. — 9. Le R etour du |>;!dat. — 10. Le Joli F rondeur, r Intermède ; M enuet ^Charles Huguenin),I [4 , 'l'orchestre au Cercle la’ique.

Deuxième Partie.Ijsstrifales. Rondes. Chansons d amour,

de noces et ’de guerre.L Que fait-tu sous ce feuillage '? — 2.

I k Soldat et la Bergère. — 3. La Ronde de l ï Quenouille. — 4. La Ronde d'Au Clair JèLu.ne. — 5. La Rondede la Saint-Jean. 1^ 6. La Chanson de la Marjolaine, paroles If.tuguste Gaud, musique de Ch. Hugue- I gn. avec chœurs. — 7. V’ià le Beau Temps 1 .ing. Gaud), harmonisée par Ch. Hugue- J jj, — 8. La Ronde de la Caille et de la luffdrix .Aug. Gaud\ harmonisée par Ch. iHcguenin. — 9. En Revenant des Noces. I .-10. La Complainte te Jean Renard.

Rou-pla-pla, par G. .Allier, orchestre du ICercle laïque.

♦ —

Concours de SenUs.De notre confrère, la Dépêche de VOise :A l'utile, on a su joindre l '^ é a b le !Le Comité des.fétes de Senlis a o rg an ^

las série de distractions toutes plus artis- làjues les unes que les autres.I Représentations, bataiMesde fleurs, con- liwts. retraites aux flambeaux, feux d'arti- lüM, viendront ajouter leur charme aux lleautés agricoles du Concours.

La coquette ville de Senlis, si hospita- l ’wre, a voulu donner à toute la culture de Iroise une preuve de son affectueuse sym- liatbie.I .N’oublions pas que le Concours s'ouvre lideux pas de la gare, sous l’ombrage d)ar- lires séculaires qui permettront de visiter Itoos les détails ue 1 Exposition sans être I incommodé par le soleil de juillet qui a jieomis, dit-on, de ne pas ménager ses Invons.I îles trains supplémentaires facijiteront làvenue à Senlis pour tous les visiteurs.,^ I Le Concours de Seafis sera donc le plus I instructif des Concours et aussi la plus I agréable des fêtes.

F e m e t o r e d e s d é b i t s .A l'occasion du Concours agricole, les

I débitants de boissons sont autorisés à lais- I sçr leurs établissements ouverts pendant I les nuits du 6 au 7 juillet jusqu’à 2 heures I dn matin, et du 7 an 8 , jusqu’à 3 heures

b matin.

A S id a t> V ii ic « a t .Nous apprenons avec plaisir que M. René

I lâaboi, élève t e Sanit-’Vîncent, vient t e I snbir avec succès ses examens de pldloso-

fhie. Il a été reçu avee la mention assez isen. , ' '

Toutes aos félîcifàtions à l'élève et'à ses I professéars dévoués.

B r a î# j $ t (v tie s# u * d re .Le B nnaiit A tenadrtKdoaiiera tenait-

tbe, à haath t« rc 8 et- ideàuiei.au Gafé^dn Chalet, u se so rée de rsaw iée tnete à sonprofit. . . ■ - v o - _ -

Rappuioas q|^^^)|jua£hui e ttem ain , le chansonnier t e n s e là n f e entendre dans feaceinte t e OoMUte i,’ de une h e u r é 'i liois heures.

■■ .

A E E a M B t e l r a i e a t .Ntesraroas te d te e é la "noraÎBafiOB,. à.

I o « » M i te t e e # d e T e u i^ teb e -nent, de M. Fomié t e Montonssé ; n

I iwnnlaêé. dans notre ville.-Par M.. ’

[veau coiH ^yen^'*

*• 'V K -M. CallardÿiQoiiservaliMir t e l**classe 4

Senlis, est admis à f t e e valoirses droits à k retraile. B -eeb n o q teeé par M- Cugi- laud, iaspeetete t e 4.*' classe àCIermont-

I ftrrand. ;

• i n e r t e s PewawteBanekeTjuktet, M . Le Conte,

bce - -■ : > '

FAITS LOCAUXB é lh * * e o « r t« — E tis PaouHiAiB.

La féte patronale aura lieu le dimanche 14 courant ; elle coïncide cette année avec la fête nationale. . L

B é tb isV -S t-P ie r re . — Obsèoces." — C’est au milieu, d’une assistance si nosœ brense que Téglise fut à peine assez w an te pour la contenir, qu'ont été célébrées, lundi dernier,-les obsèques te Mlle d a r-Fuerite Bdulnois, l'infortunée victime de

accident que nous avons relaté dans notre numéro du 30 juin.

Le Conseil municipal, presque au com­plet, la plupart des habitants et un grand nombre de personnes des environs e t de Pont-Smnte-Maxence', avaient tenu à aœ porter aux parents éplorés l'expression de leur douloureuse sympathie.

Les instituteurs et les institutrices des. environs et d'anciens m.embres de l’en­seignement, en retraite; avaient voulu,

œ tfi aussi, assister ou se faire représenter à la triste cérémonie, témoignant ainsi à leurs collègues toute la jiart qu'ils pre­naient à leur douleur.

Les enfants des écoles et les demoiselles accompagnaient le char funèbre, dispa­raissant sous un amoncellement de bou­quets et te croix en fleurs naturelléi et de couronnes.

L'absoute a éJé donnée par M. le Curé- Doyen de Pont-Sainte-Maxence, M. l’abbé Darras.

Avant la sortie de l’église, au nom tes jeunes filles, Mlle Berthe Lesuèur a dit en termes émus quelle peine leur avait causée la mort effroyable de leur chère Margue­rite et les r ^ e t s qu’elles en éprouvaient, et a prononcé 1 ’ « au revoir » suprême.

L’inhumation s'est faite le même jour, à quatre heures, au cimetière de Villers- Saint-Paul, après un service à l'église de ce village. Là aussi, il y avait foule nombreuse de Villers-Saint-Paul, des en­virons et de Pont-Sainte-Maience, venue pour exprimer à la famille dans le deuil qui la frappe si cruellement les condo­léances les plus vives, celles qu'inspire l’amitié dans les circonstances les plus douloureuses.

— Au CoxSERVATOiRE. — M. Luclen Boulnois a obtenu au Concours du Conser­vatoire, jeudi dernier, le premier prix de violoncelle.

Tous nos compliments.— RÊusioss. Réunions t e ce jour ;A dix heures, an café Braillon, des

membres de la Société « l'Epargne de Béthisy », pour remboursement des parts.

A deux heures, a la mairie, des membres de la Société de Secours mutuels des sa­peurs-pompiers et ouvriers.

C h a n tilly . — Amortissement de Tetn- prtrrü pour te service mtmicg>ai de dis­tribution d’eau. — Numéros des 28 obli­gations sorties au tirage du 23 mai 1907 et remboursables à partir du l " juillet :

32 202 *273 423 609 853 112497 210 337 464 697 991 1176

107 221 358 468 796 1070 1191201 222 393 606 844 1108 1200C ires -4 es-M eU o . — Suicide. — Pen­

dant l'absence de son mari Jean-Baptiste et de sa fille .Albertine, partis aux champs, M " Parmentier, née Esther Firon, s est asphyxiée dans sa chambre, à l'aide d’un réchaud à charbon de bois. La malheu­reuse, qui souffrait depuis longtemps d'une maladie grave, était bien considérée dans le pays ; elle avait à peine 34 ans.

C re lL — Les Vétérans des Armées de Terre et de Mer tS 7 « -7 t. 473’ section Creil. — Les membres de la 473* section sont prévenus qnelarecettedu 3* trimestre 1907, aura lieu à Creil, dans une salle de l’Hétel-de-Ville, t e deux heures à quatre beanéS, les dimanche 7 juillet e t 21 juillet. (Il n'y aura pas de recette le dimanche 14 juillet).

Les personnes qui désirent leur Inscrip­tion sont priées à se munir de leur livret militaire et de leur carte d'électeur.

Le Président,Hipp. Cazier.

r - l 'n e grave affaire de fabrication de fausses monnaies aurait amené jeudi, une descente du Parquet à Vemeuil, ou un dé- tô a o t a été arrêté a insi'que six ou sept cteaparses.

— M a u v a is e PuusAiinBiE. — Le sieur Cnlond est un individn qoi ne manque pas de culàt. Sous le coup d'un mandat d'amener à la suite te s évèaem^its.da 1* mai der- teSK telni-ci ayant ^ t t é Creil', il revenait ees jouis te n iK is ja ir ses a n a s a s eiw ûns

irencoBtrant n a a g t t e t e la force arm te te n i j^-fèdontait l'intervention, il lu i indîijna npfl soî djSBrt’bonne piîse à

^ « ir ,-e t . râ t le géoenr qu i ne it. q ^ V ^ ÿ j J a id pris t e sénpomis, se

retiKtiranquinem ent sans avoir été in-

— CoGuiT ne MEPPE. — Les ’V. y , au nombre ffune

>n, se sont rendus lundi et à Eu, :peiur a ss is ta au l’Ant^nobile -Club te

« ■ A c M d t et e 28 a 5 JuiBet.

I S. Gaüoa-ErieDdaïeB, ra e te b u t de 'V3-

IM G ü b ^ ilA ed B Â isd , route CAaœoat.4 S t e

aaoavan

i M èn a » ,V lf tôB, rue de 'Vineveit.naoise.]iazia. F;

^oir à

veAm

— Après 11 heures bu smn. Xi- Lès en.tOttiBée, ont dressé jprocês-

n b e M“ Ganlard, dont le débit t e a i é à l’beaoe zéglemeiilaire.

— Acodexts de trav a il. — A l’usine â w ) Fouvrier Hansélaer a reçu un pla- fM ^ ^ 'ls ^ ^ fd g a n c b e . 1 2 jom sterepos. ' ’A là BiSte. usine, Idelot (Marcel), me- tHssier^s’i^ iile ssé avec son ciseau. Plaie dgjâ-maîn ^luche. 5 jours de repos, soins du iP Caillenx.,/A l'usine élévatoiie des eaux, lé chauf­

feur Oiérôn a ie (n un Uoe de charbon sur le gros orteil d ro it 8 jours te repos.

— Ditkbs. — n iarm ad e ouyeite au- jouriThui, M. Bter^s, rue Nationàlè..

— Ex TUE DU GoxcodÉs t e Movidiiher.— Depuis plusienrê sem altes, c j ^ u e soir et chaque dimanche, notre vaillante Compagnie s'entraîne afin de prendre part aujcopc.ourste,Mont(fidier. Nal-d'oute que : les’ succès, les plus éclatants ne récom­pensent ces ^fforts. »! — Travaux de voime. L’administra^ tion poursuit la réfection-du pavage com­mencée rue de Soissons l'année dernière et à laquelle vont être employés après retaille, les pavés de la rue St-Lazare.

M arché au b lé du 29 Ju in .Blé : 1'* qualité, 25 fr.; 2* qualité, 24 fr.

50 ; 3 ' qualité, 24 fr.Seigle, 18 fr.Avoine noire, 21 fr.; grise, 20 fr.; blan­

che, 19 fr.Oige, 19 fr.Farine; 1” qualité, 35 fr.; 2* qualité,

34 fr. 50.D u v y . — A LA « Jeunesse de Duty ».

— Samedi dernier, les jeunes gens de la Jeunesse de Dvmy, association récemment fondée par notre concitoyen M. Paul Flo- quet, ont eu la délicate pensée de lui offrir une magnifique plaquette en vermeil et un splendide bouquet pour le remercier de son dévouement.

Très surpris et ému, M. P. Floquet les remercia de leur initiative et l’on sabla le ctmrapagne an succès de la Jeunesse de D uvy.

F ta v ig ^ n y . — DÉsESPom D'rvROGXE,— Dimanche, vers onze heures et demie du matin, Boucard (Edouard), 33 ans, cultivateur en cette commune, était de­mandé chez sa mère, Mme Alphonsine Forest, âgé de 55 ans,-veuve Boneart, par son beau-frère, Félix Serain, cultivateur; il s’y rendit aussitôt et arrivé chez elle, il la trouva pendue au moyen d'une corde qu’elle avait attachée à un crochet qu i servait à suspendre une suspension de salle à manger. Aidé de son beau-frère, ils coupèrent la corde, mais Mme Boucart avait cessé de vivre. Depuis plusieurs an­nées, elle s'adonnait à la boisson et avait dit à plusieurs reprises que la vie lui était insupportable.

Le permis d’inhumer a été donné.F e lg n e u x . — Electioxs xunaPALES.

— Des élections parliélles ont eu lieu, di­manche, pour le choix de trois conseillers.

Le scrutin n 'a donné aucun résultat dé­finitif. Il y a ballottage.

Nombre de votants : 63.Ont obtenu notamment: MM. Gamier

Etienne, cultivateur, 28 voix; LepèreFer­dinand, rentier, 23 ; Mélaye Paul, rentier, 22 ; Simar Amédée, cultivateur, 16 ; La- doux Edouard, cultivateur, 14; Dubrenil Alfred, maçon, 12; Sagaer Pierre, culti­vateur, 1 0 voix, etc., etc.

G i l lo e e n r f . — Fête. — AujourdTiui ^m anche a lieu la fête du hameau te Bel- lival.

L e P le s s ls -B e H e v iU e . — Nous li­sons dans la G azette de VOise :

LE PLESSIS^ELLEVILLE. — Sous un rap ide, rr Au m oinent . t e mettre sons- presse, nous apprenons qn^m individn a mis fin à ses jours en se je tan t sous un rapide, entre LePlesâs-Belleville etDam- martin.

Il a été décapité.Nos renseignements nous permettent

de rétablir les faits. Personne, mercredi dernier, ne s’es» jeté sons un rainde entre Le Pleæis-Belleville et Dammartin. C’est entre T il le te ^ te ®t Sévran, su r le terri­toire du département de Seirie-et-ffise, qu’un inoonnu s’ést jeté teus les foües du tra in express e ta o n rapide n* 2 1 0 .

Ne nous hâtons pas trop d’annoncer les uouvellea^^nae Gazette.

H o o ta f a i r e * — Habxokie xcxicipa^ S im anchedeniier, lliannonié a iun id -pale accompagnée t e la ly r e A nûeeJe. et t e là'gew filt d r gjuiuasuque to ^ u i Y ù » ,a . fait une sortie jusqu’à Magenta, àprès avoir donqé une aubade a n i h ^ - tan tsdes p r în d ^ iK rnês ’t e Scmlmaire. A Magenta un vm dhonneur a été oSiert aux innteâens e t Mme SéhoHaert-Penel ! a o A st deux mashiSoues bouquets 4 X.

iO b - IS du m atin,.Os . En, vers midi. L’apite-

(dt consacrée à la risite du ils eurent la bonne for- rexcdfen te 'm nâqné dn à une retrmte aux '’

ütance.P a rtis te

étaieid 'êUdi du il I tép o it. tune (fenl U 9 * e td ’; beaux. |B

P u s ^ trapn iB courte nuit te 're p o s fls r a i la i f in t] K g h . 2 / 2 'tei dtafiA, tes uns t te ^ I n t e Criei, d’mdres teim b ■emte s u ^ b i , d 'o i e s eucore, le ptos S d n o m ite à 5 td lo m è tre s^ cette

ville, su r t e » r d fe~ la .m tenillqa e ligup) drmteiriiÉnBlH' LeMesflil%éinnieI- ' Sur ces idKXs pmatSi-'-sos eondteymis

* toutes te s 'p é ^ é h e s teinrse g m te -tam iiia par .b

-0 , nouB ansararétéieii- le magnifique duel entre “ ’ ^ - ^ q M l c e 'ten iiw

sn rrin t son æ m -

-Après une nouvelle visite an Trépoit où ûHée nnepaitiete.rescadre, 6 p i r e n t le train t e - 8 h. let-seHètnm vêpetedaes la

vers '3 heures du e a ^ B t t e èim élitebs

q u i v aù iM itd ep tese r.S H im e o ^ 41’aanée prochnme ]

7 ^ BèwBû tenanhe, M. L 'Hanssonaes,. aon-

,on n n te te te f te HigMia flaint-

A m sn eu E -— ® 8 f ven- mUMrqne- a 'd o n n é une

dû p rognm m d '‘4 fS ''’doit a àS en lis. 'lue eomme toujours ,1e

’ ,ét4.iaÿL. a-étejH duéme

et t e MUes Bba eAÜmÉÊm J k t e i r

accmui.nooféri-

t deux magnifiques bouquets 4 X- âu, prërid&t et .au chef de gmâqne,

nés d'un petit spech t e bienvé- hien toe—éi erigiisl a ail|inndn le

„ ,q u e président en quelques mots aimaoles et fort p lan tes . Puis les Sociétés sont rentrées à Moptataire par Tavenne te b Gare',’’«nchànlSes‘ t e tette'îBftèBente jpnrnte-

— üiŒ DÈuissioH. — Emn du sens q fe l’on attribue à sa démisâen, U . .F m b t tien t 4 prelM ter éneigiquemeatBOBtre b bruits suïvàut fesquèls il v auraR an^dgie entre sa démission a tle s laitd acbeds.

iqdgeat-sniiP-Oise»^'--- Tia: scolahé; Npus avons fhbnnéur d te i lq ^ er tespasonneSrApiete H r s e o b i r e r ^ p m ^ to u i les d im anekes t e »4 5 heures du te ir , jusqu'àn 13-aoùtineIn- ^eo ieB t,jte rd eb fe» M t« m d n eg g tp u ès.

Les possesseurs t e carton sont msUrn^ ment piWs de venir f â ré teôr Jte.ponF

^ d m '.— AoenUBit. n i ïê a n k ite 'te ’ W r

,.ât, itessounè, âgé denviiBB S ans, ha-Mtant Nogeat, «sLtembé aeedeBlellteiHit

«É as b nuit t e mercrete 4 j e a ^ «h gare-

’iteoadaism tet,daassaqfante, a eu les doigts t e p b } droit'O cm ^ète- m ent éeriêès é t riumenrs eûtes'tefbteées. t l M ^ , sur sa te m te te , ramené je u < ^ ,

i^ & i,« t« x a n im e î^ - te ’d o ite n i 'te ser- aiceiceln i-ci e r û n tX » T am putation teÿ e d Bt ’w te’BéwisBubBi -------

P b B t - « t e - M « x B b e e . l i é a ô i ^ ' BEsCoHsmÉGAiioKS.'-itjB m anfi 2 juillet, a eu tien au T ribunaT te Sentis,' b vente de d eû xp iëeés de tierre, terroir t e Pont,- appartenant 4 k Cei^r%atioB des Petits

te ilarie^ neasioBiiat ai^rofois à

H * a a ty « 4 - Soocss MiéBBroiGAT b'Bt TUBES.— Mllte Ihucelte Ballet et Henrietle.Mounot ont subi avte s u c ^ T éx ^ iëh " te certificat d’êtudes__ 1 , ’

Toutes nfls'féUcitations.S a ln l-V iM w t 4 e a 7.| iaMati-— Ecrasé

PAR os CHARIOT. — I k r te dernier, M. Éloi Leroux, 39 ans, chaiTbier, au service te S . Loore; roirépreneur t e chaiBWte suivait le chemin creux de- Ja carrière Bâillon, à Saint-Vaast, avec un a t l d ^ i e 7 chevaux, traînant une énorme pierre dé 9.300 kilos, lorsqu’un cri de douleur se fit entendre, le ro n x a r ré b aussitôt ses che­vaux et aperçut sous les roues t e chariot un homme a demi écrasé.

11 appela plusieurs ouvriers, MIL Joseph Firon, Jules Bmfly, Louis Dachet, à l'aide desquels il put retirer finfortunée vietime qui àvmt les desxjanÿes.éçrasées .et-.qni. expira peu après. C e â .u n jourêtalier' de Moul3 taire,'Ea$ii^ ’fS ë h ^ 4 2 ’àds, jquij.sè; t r o q ^ t en état cbnqilèt d’ivreste e t avait dû^ô q le r sur là’ route au passage ède, l 'a t t e l ^ .

— A ttaqué e t volé . — Lundi à 9 h. dn soir, Siogène Battavoine, 68 ans, journa­lier, à & n t- ’Vaast, revenait de Melfo, suivant le chemin de grande coinmuniea- tion 123, quand arrive à un détour, il se trouva en face de deux individi^ âgte de 18 à 20 ans, quisejetérentsurlu i aussitôt, le renversèrent pendant que l’un lui tm iiit la main et posait son coude sur sa bouche pour l'empêcher de crier, l’antre le fouil­lait et lui dérobait son porte-monnaie, puis ils prirent la fuite dans b direction de St-’Vaast.

Le porte-monnaie contenait une pièce de 5 fr. en argent, deux pièces te 2 fi*, en argent et 1 fr. en monnaie de M lôn.

Une enquête est ouverte.V e r b e r i e . — Echo des élections

m unicipales. — S nous comparons les résultats des élections de dimanche der­nier, BOUS voyons qu’il s’Mi dégage des idées nettes et précises de b pari des électeurs de Verberie, . «t nous espérons qu’au scrutin dé balottage de; tenahche où trois conseillers smmil élus 4 k majo­rité relative, ils affirmeront une fois de plus leur vplonlé bien arrêtée de marcher dans la voie do progrès, de la liberté; t e la concorde e t t e b paix, an votant pour des hommes intègres, indépendants et fermes et par eonséqnent-Ttees 4 soutenir les intérêts du pays. A mmanche prochain, aux urnes, pas d’abstentions, pas de dé­faillance.

— I vr e sse . — Lundi dernier, jntitet, Théry Etienne, âgé de 55 ans, chanteur ambulant, demeurant à Crépy eiD-Tteis, rencontré à Verberie en état d’ivresse manifeste a été mis au violon municipal et gratifié d’une contravention.

V i l l a ^ S a l a t - P a i a L — Les frtees Lombard Achille et Clément; sujets'belges, ' demeurant à Noyon et travaillant actuelle­ment chez M. C tenut, cultivateur, qui se sont pris de querelle à propos du travail et se sont assez sérieusement contusionnés, seront poursuivis pour violences récipro­ques ; ils auront, en outre, à répondre ü’une contravention pour défaut de visa de leurs feuilles (fimmatricnlalion.

'V ln e o iL — D otation d e la J eu n e ss e DE F rance . — Section de V ineu il-Sa in t- F irm in fa* / 824}. — Le dimanche 21 juillet, à deux heures, à k mairie, pre­mière féte annuelle offerte aux enfants de la section, sous k présidence d’honneur de M. le docteur Maire-Améro 1 ü , prési­dent généraL ’ -

Concert par la Muâque municipale de Chantilly, directeur M. Maubert éft ; dis- tribution de gâteaux mix enfants ; snrpriseq aux dames; bal d 'enfants; grand bad; tombok grétnite, dont les prineipâte lots so n t 1 .-1 ^ obtigtiioB-irilk t e Paris, une in tea g ^ te 3S ÿiècesiilÿâîeBttie.daBie, un réveil. '

3 bifiets de souscription donnent droit à une entrée ; les enfants non socfi^aires entreront avec deux billets.

On trouvera des lûUcds à l’entrée, ainsi que chez les principaux commerçants t e Viaeuil et des environs. .

— F ê t e te VnsniuLigo?- —:’î is te des numéros gagnants d e k toinbolà':

3» M7 933 ÎS03 2269941 1506 2212 2541 30M994 1514 2216 2342 3091

1313 2230 2SS6r 3128 1537 2265 ^

1020 1660 2287 3 Î ^1060 1781 2295 >2619 « t e 1067 1783 2302 12623 3S 0

,1673 iS lt .2 3 0 26M 3201 1079 1850 . ^ 2683 3214 1093 1856 2 ^ 3 tæJ09 i 1890 â W ,2783 3270 114it 1916 2380 •2749. , . . ^

1934 -23p8 ;2^ r w . 120? IV a . i 277d7v33Bê 1216. 1979 s a . 2790 3348 1221 2030 2411-2796 3330

>4343 , 27971261 2067 2426 1 2880 33ri 1277 * 2150 2431^2919 3421 1284 2168 2 ^ 6 j 2971 1387 2169u i s ’âldâ

Leeveux Btantee, LéiiiÉlC;l|qnteiie, te Cvoa.

De Bniyne Unie, Saiilaa MkéMifrJeiaae,

WM k ^ fJ je iia M b ; te

Feaitiae-tw-Gonms.GnQea caaire>LoaiseHüw

1DeaU cbiiéliosUie, Hariay Xtiétee-Vir-

giae, de Lasay-letec. - . i j- ,-,Boché Tvoune-LocieiiBe, Canifat Cfletiuie-

liai^rile.lJRgiletFeniiB teM irkM terbrjre Boueuse-Eugénie, Ridl -A ne9a#*b*î*» Vaudenucogarte CléniénliRe,;.--lte s-Xbmts-

LeièvreKèUehé, Lefiyre MoyerAlberltae, RoyerPalnjne, de Monlagay.

Démoogeot Audréa-Tvoune, de Peéoÿ. Laehaud>aip«rile-Ail|éUe,-LaBnéFenande-

Jdséphite.'de'ibBèfe;Cmrller Marthe, de Sllly4e-l0ag.-lAj.i

'iAr * ~ •* -■ ’St .♦- . ' 'C a n to n d e P o n t’ S * l | a 'x e n r e .

Lemaire Lucien, Lépiartle .Léixi, Fnnpieire Eugène, Rey Pierre, Satram Henri, de Ponl Sainle-Maxenee. '‘ . 1 4 " Doyen Désiré, de Fleur inOs.

Desjardins Arsène, GUiBot Louis, de Ponlr point

Paillard Louis, de Bhnis.Paràin Camille, de Rally..BoUot Léon, Deméâères Jean, Jnneanx

Roger, de Sainl-Vaast-dè-LongmontAnzemberger Marcel; Deirey» Marcel, D«-

bois Edouard, Flament Pierre,-Jeansen Fer- nand, Mahon Georges, te ry PanI, Pédion Lucien, Richard Henri, Simart Lnciea, de Verberie. • _

Ont obtenu la mention de deasm : Brnge LBCien,'Bneqnet Roger, Ddabieiièaa, DelMne Paol,’ Bemonclç André, Hahieux Henri, de Vedierie.

P m et.Daniel Ernestine, GeàtiM Sflène, LieCo

Madeleiné; Pieratd Maaé, de l’école de» fi de Poat.6ainté-!Haxencè ; DidaHe Sazaaae et Lob^geois Suzanne, instndtes.daas la fw H e.

Bonliet Oiarloue, Fonetet Germaine, de Flenriaes;. h -.

Ga|din Céline, DnchRnIbnr Cédle, Ijuidon Yvonne, Mercier Désirée, de Poatpoint.

Monnot Henriette, RdletMarcduè, t e Rvay.Cbanmat Maria, de nray-Hully.Balny Léa, Beanfoit Elise, Bourbier Fei^

nande, Consart Alice, Ducieqffyt.R.lise,^Mr, det Lucienne, Grand wnWfjijiO,1 y t o l ? Yvonne, Jourdain Clq(ildeAtefùvie,iMagMe,' Plateamr Marguerite j Tliérèse Geneviève, Trocmé Altréda, dè Verberie. ;

Ledère Rose, de Verneqp, '

721151321321661751972002Ô8

249264F55

575 578 ôSflf 1009 608: 1016 619 631 659 .697 703 796 729.768

te rres â te 'éiterêatefli avoué, S§ ftanespoM rlocom pted'un tiers, ’qiü s* fera, conncîitre ten s les 3 jours; '

.AuimôiÊyg'"3 fiîrofif' n â>airite'nsetaêTrihUhaT, 4 k vente t e

(lOes-teux m êtûes'^^Seès'snr nue mise à '^prix feSfis -e tq ^ v m M |^ ^ lro u v é

(TaCCnéreUF, z-teii -»-.'-rt f l ïw k io h t e n k arJuaOBmls-pimTarr

:-«V eele*» ttt sM VCBlr em qoet, p eu coA teux d es fi^ « s < V t â â k i i d é C 'l ee l ^ . ' i D - ^ s e n t C om ité <COl

'fè irc im ^yte ree l. Cerf

XarênbkKkitBRtemKlJHiadim Jim “ Dnmouki. Anteé-Germain, Fkcon Geoiges,.-Gadde. Mwcel,Engeae, I.aaleinPieàédaéaa,L Blifti I r —— «s»~Ajr i Api.u»Loignet R e a é - ;¥ f |^ Moria Gaston-Léon, PorteUed Georges, Poulaiu Ibsnce-Geo^es, ThnïmMl^il«-AIhMt,ileTlMil«na-le-HanaoBia.

Maariêr. tebertr^oaoiénMs^h, t e . B ttsÿ - ITesaey.

Eméry V in e ^ deF

Lagny lë-See.. . -Meateé-EdeowUjapeR

CléiKat, Toozé BefleSHe.’’ "- ' ’

,Delo(aK Affiert-Léon, t e 1 ': L e w i4 F te i in £ :d e 'i |)^ ._

Démoogeot, André-â^êu,. t e l

Carrier .àdnaia. Léger J '

ly-

iletlélÀll'jqli

.. ' - 'Filles."'■I^asseCT’HélèaÈi ééô le.publie d e d ia ^

•MniliiièinB; Çnentin, AlphoBiHeOy te Nanteaur

-S O d Ê T ÉDES

de rOise

CN^ifiop'tes bernieff! 6 0 ^ 4 tô itiâ g e ,ip M 8 t e 1D4 rièiiee; brôreté s .g '.-d . g .O r lS fp i^ ^ , anden e a k te u

t t e p a r ^ attashé 4 k , frôisjBiMS d’applieatiaB.dal

, a f t a t Te .m a lu e ,’ que- on^'âG^dARB j n ^ f a ^ R n i ' k oq^ 'ro rB illfe^riM èrite t.'t qu'anuiL :• • ,

r» r riiiiiindifiii ilii 8 0 0 amm ieflaidniLA’ fl est l e ^ l ^ ^ i é t a i r e , M . V ^ M , 8 ^ gageà m aiftenir toutes les harmes <— * q a m sM t kceiiles, rvqtnresj cassures, ëtiC 1 . k gnérisoD radicale jjhir da'_}Ê Û tlim ia tte s U U i^ itentiques 4 k s a id i l fb v s ' ?

Voîd Ote lettre t e constatàtioo :< Fai attendu 6 ans pour vmisr

de m on te tiè re g ten so n , diteBoe- â m d s, par votre aonvean band p ^ . Bepiis, je n'ai jamais vn 'r . . ,.m aheniie .|Jesaisbebrense t e VonSiOOr' voyer -cette attestatiim cOmine t e gm iy . mon éterodle reronnaïæaiice. -'rir.-t!

Madame DESBODRSES, Nouvelle C t tÿ '' Fossen’ 3iàLens{P.-de-C).

CoDSultsitioBs’gratnites chaqnem ois:' MÈ«i, U te l d n iio n d 'o r, le îte d ia q iM

TTI/WI- -’ V **Beauvaié, bétel de rEcn. le 9 te

mois " ' ' " ""Cbartor, héteTdn Petit-’Loois, k . X ^

chatee mois.tiétel du GrandrCeif, k IQ ^ , ,

chaque mtBS. , •- .Cân^ liOtel du Conimerçe, le 10 t e . .

chaque mois.Four toutes demandes e t c o rre ^ m ^

danecL s'adresser dirêctteient 3 1 4k,-riH 'te D nuce^e, PARIS. .

* - — ^

fr-rv; vnDBi.ipk.nL.

DépOte à-Senlis : p jbain iuM de’H S I i lM I I Ji . I ■ - . ' i*’i»8'

Le. G érant : Satbecx-Bt iNrsM» :»->« -en FORMATHM i

Capital te.400.o6o tr.(fktsée»4.<KraAçJt<mvtel00fr.cA<zciznc.

Aete reçu par'M* lüiiACNAT, notaire 4 SestiS,

et M« Mellotièe, notaire à MeUo (Oise).ÉMISSION PLBUQUE

de 3 .6 0 0 A ettm is M grikde iOOCr. ckaeue.

Conseil d lA dnûnistra tw n .Dans ce Omseil, seront zqqwlés cmix

que leur comp^nce et kieonflanee des actionnaires d&gneront pour le plus grand avenir de l’entreprise.

O bjet de la Société.La Société a ponr but le t r a s ^ r t ra-

lite de voyageurs et de marchandises dans e département de l’Oise et exlensioim,

Elle se propose paiement d’o r g a n e avee les G u iÿ ^ ie s t e ’tmnisnw de

OD-pautines automdiUeslBMf qik le trtesr port des dierimx tecooroepar vaBS auto­mobiles. " i

R é se a u x â e m l é ï ^ ^ zBésfêm . C

A. Sentis, Chantilly, Lafeorteye, -Lu-ZcU!X>])0S

B. Chantilly, CtonvieHX, Précy-s«r-<Msé, NeuülycitTheUe,

a - Chantilly, Saint-Len-dJæereiïL Çra- r«eiH#Sai»t-1ûas*, H

ÿ.,]|^tâta ire, Creil, N og^ irrié iges ,

^*Chantilly,. Smlis, SdattænF-lë^tn-i’ rdoinn. ,. ' - ' " - '

A tenu». P o n t - S ^ ^ t o i « P | #B .'Sentis, Ermenonriue; Le Piessis-

BeÜevÛIe, MeaHx. ."C. Creil, Vameuil, Pai^-Ste-Raxoiiee,

Terberiq., ^ -=i ^D. Creil, Nogenf-les-Fîeiges, Xtonehy-

-O ham fiÊ fgtie,

ImpriaerfeAdmiiiistrativé etCon , 9-11, plàcede THô^-deLTOle, S e n ^

tr sTi isw ite p ÿ a i. C,

^ ^ s r a n x . )Les « d e n k k s i

5 0 /0 à s e s 'aetiom

onverie,.

(Ri v d rir ie a n trâ lq a a r tu

v m m e tjg

pelés, qprèsà m tedre des besoinsrsonnes déstreases t e

n m m m n p a BC e r m e a i s

!• Au

’te N B » n /i te w tdt: ind que k IT quytaction], à r

étudiez X ^ Rubok. banquiére. 4 Sentis ;•• banquÿ G uudiÿ te*'‘0^'^4’’Coiteiégpéi : i Q ' T. . r t -

banquier à Iknleuil-krXaiidoinn (Oise];;^ 3 * Chez X . .(ï8ilffîkB).4

*• Gbez- X.;-' jJanconit(OiaB); ii /f .i .îiJê ’/ . i r i .û" T * q i e z ^ - t e fljrriânjw «ulmOtater

Ü T I

A a n m tie en J a v U c ia l r e a . '' Asti^u !*•

Étnde dé » 8 A lIiriS 4 E in îB > avoué h Senlis.

P t i * » £ y o l é g a l e .

Suivant a^kMtteLenoir, huissier à Senlis, en daie du quatre juillet

. mil neuCt eal æ pl. enr^iglré 4 .Et 4 la reqnéte de la Sodélé ano-

nyinedes Ponts et Travaux en fer (ûeieas Ehddissemenis B.. ioret), qtanlison Siège soôalâ Paris, Jse Tidbbot, numéro 93, agissant anx reipiéte .et diligences, de Moarieur Germain Petit, son Ærecteur. ; , ’ '

Notifieatibn a été faiteà MoBsâv k Procureardc la Répkihque près leTribunal'citâidetieêiis-:- DetTexpéditia .d’aa.-aete d i y ^

an ^ I T e te Tribsualeirilde Senlis, lé riagt-dèq jn n m9 neuf cent s ^ , enr^tstré, eontfeuant-le dépM lait au^k Greffe de la copie collationnée,

.. sigaes eteare^slrée;D’én acte reÇu.p^M* i

notaire à Melîo, le vingt et an avril mil nenf cent sept, oaierisM, eoMe- nanti vente à Br.SoeiéMr-uasi mi ai,- mée; par : 1* Monsieur .Charles Desjardins, employé de buretn ',^ Madmne 3bric-.Uiae Rûliard, son épouse de lui autorisée,, dempa ensemble 4 Gehnabes, ViDaXAvi numéro 3 ; 2» Mônrneor ErnSfrï mas/détntant de tabacs,, .e ty W m kiæ De^anfias, son 1

/ MRthtmkée, teâMurant en Montataire, rue Mertian, unmérol.^3» Et'Monsieur'Hteeird D^fiMin» (préSomiaé en-tannUe Atexis);p»u-^*»=-* priékiiie, r t Madame ErnestiueRonsr^ mn, tau -épasip qu’a amluriaa, d e - , - num ak eatemWc à Moatataue, ipe

- dëjQmdA numéro i ; , - .c.;Dd vingt et nn ares quarante cinq' ; :

cent ares dè terre, terrair de Moola- tairt, heu ^dit la VaDée pn . raq v: Heai i-Joret, tenant d'oa cAlé à k i • ~l. Soci té d e s :to ts et Travamc,«5Bjfcr, d'an ré cTO’fegèteffieti- aVù -ïbM-. _ le d emin de fer, et d'tmtre'Dôttt'fir - iom itetreiL '-r«-^-

f i dastrtSs ’section-D, nuBéh)8 6*2; '« ;* qt4l3. ■■

H ijeiBmir,qMiw~iiiA tiigtisj k w ■ « prineipal de bniMlâit franes.

“ 1* Qne lriila antifiràrgin J r iX k it^ " ’ .' k ilt ronforméméat à’Hirtidé '2194

SITNHRî’C M H D sjg â id e q n id e d ro it ,lk le iaserip-

-paneeniaiLes irie it francs et ’ ’

«t-»!i (frisok soaéppiteâ

.u-Ttiéodore G r ^ ; - I iiiK liifn ln Tarhiflr CHfiàa r f '

Maite-Ani^Btee Godard, son é n o ^ :ry â n r

37 Et que tous ’ceitx du. d n 3 ^ . . , *î a pqunait . n r i s m serySkP»

i! Xgaie n'étant^^^g : requérante, eK A nd

L e G u i p à u v m'! «Ai* r»-

(hmsed uEtaLinmà Pans

iÉsartIte ’:SAINTE-MffiXTS j Ml

7 0 ns rp a rd 'a a îtfe n ,___chose intéresse

Tgtepaudte s eiîe#, Ijislni ’lera un t e ses fi ^ u v r e ’ lil tu i m( jSanetiouDffl-ii

gaz pauvre passionneÆ j^C iteflïricg; 4 ,-b en N ous som m es heureux

poni , ,. rs.terStenlts.Scbmîfit é£ ïSe’ ii

IX ^ o g è n ^ â. g ^ ■ à g a x p à u v re ' ***’

i toute ia- durée concours, e t feraltoîis lés jours un cours

■ sttt'tegazfaiivre.'

£7. an'TÎf

dotix's facU^^fÊÊÊÊÊr-r. as

C9, raé-Ww k a

•sVr.tsr t ‘t o'.etZ'Tîî;- i l ?*>■: i sifrî-riî

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m

de M« B E A ia H f t» ite s t .. _ . . . . . .

Louer en« la n lle dé Prat-

)!^ - 9 >ist«^|lazeaoe, i X i l A O V T 1 9 0 7 ,* Ni 2 heures de relevée,

par le.iBinistÈrê de M' Beauchamps, Bplaire à Pont-Sainte-Maxenee,

LES

I l ^ M E U B L E S■ci-après désignés,

^ipârtenant à l’Hospice de Pont- ' Sainte-Maxeece,

SAVOIR :Villa de Pont-Salnta-Msxanoa.

Premier Lot.U n e U a ls o n , sise rue d'ingrue

ou des Vendredis, contiguë à celle de Hospice de Pont, avec dépen-

9 t un grand jardin potager.Ce tout tenant d'un côté à la rue

Samt-Ainand, conduisant à ia rivière d'Oiâe et aux bâtiments de l’hospice, d’aMlre côté MM. Poulin-Thierry 11 Beaecharaps, d’un bout M. Chiliy, M. BebnM tc et autres, d’autre bout ia ioe^ïfngrue ou des Vendredis,

Mise à prix : 3 5 0 francs.. Deuxième Lot.

Deux petites chambres, un cabinet et dPrgrenier faisant partie des bâti­ments de l’hospice et situés au- d e ^ s de la maison ci-dessus dési­g n é , ayant leur entrée par l’allée tnn-ersant cette maison et par un escalier au bout de cette allée.

Mise à prix ; 5 0 francs.Tsrroip da Pontpoint

i» 18 ares de p r^ en la P ^ r ie de» Sames, vers obé.

8 * 1 2 ares de pré, en la même

' . . Tdrralp d’Houdaneourtares 36 de terré, lieu dit

^ ^ ^ ^ t e e s 57 de terre, lieu dit les

^ ^ ^ 9 ares 15 de terre, Heti dit

{ T a m lr da Basioouptaces36 de terre, lieu dit la

Longue Haie.p 19 ares 15 de terre, lieu dit rttéi __laidésignatipn complète, voir affiches apposée» dans Pont-

. SaiDlé-Jlaxence, Pontpoint, Baà- conrt et celles environnantes.

Pour tous renseignements, d^éiser :

1* Au Secrétariat de la Mairie de fenlrSaintê^axence ;

2*-Et a M* B e a u c b a m p s , no­taire asdit Potit-Sainle-Maxence, dé­positaire du. cahier des charges. 597

xandre Aubert, manàtïmêri «ittO B enlisj _

I t td f ie u r compàÿaiÿ et pUidhnt p s r ï ^ w j r g e s Mdraiid, son’ avoué constitué; B’unppart;

êontrc Maidame Jeanne-Mprtine- Franooise Ifoywaert,'-,épouse de Monéietir Aübert, spéàümmé, avec lequel elle demeuré ■dè'’droit, Inais résidant d i fait à .Iftteil '^ e in e ^ t- Ois'e)j‘aycnue dé'Hanterré, û" l'i

Défenderesse défaillante jD’àiitfé part ;

Il appert ;Que le divorce a été.qnohoiicé

d’entre les époux Aubert-lleywaeti, à la requête et au profit de Monsieur Aubert. ,

Pour extrait :S i^ é : HÔRAliD. .

Et enregistré. 595

A rt. 6 .Suivant acte reçu par M'* Petit et

Detaunay, notaires à Sentis, le pre­mier juillet mil.neuf cent, sept, Ma­dame Elisa-Victorine SOl}pEAU,’de meurant à Sentis, veuve de Monsieur Pierre - Henri LECHAUGUET1E, a cédé à Monsieur Charles-fiiisleve GlENGER, demeurant à .Se.nlis, le fonds de commerce d’hôtel-reslau- rant exploité à Senlis, :ru0 de la Ré­publique, numéro 4 7 , ayant pour enseigne é Môtel du. Grat)d Cer£_», nvoycnnant un prix et sous des condi­tions exprimés audit acte.

Entrée en jouissance fixée au quinze juillet mil neuf cent sept.

Domicile élu pour M. GTERGEB en l’Etude de M* Petit, notairè. ! » 8

la Ferme de l’Evê-

. tndé dèJH* SAavbcéBSen

éti'dé toS àV Ô L . • a Aiü(%(Oiée

notaire “

i l :

BO IS T Î t lf iL lBd e ' ^ 2 ares 2> 4 cent.,

terroir d e Culse-ia<4(oUe(Oise).

L e D lm a u c iie 7 Jn U lq t 1 8 9 7 ,à deux heures du soir, etfla Mali le de Cuise-la-Motte, et par le minis­tère de M” LOHDOS, notaire à Attichy (Oise).

lllise & p r ix : 4 0 0 f r a n c s .

Pour les renseignements, s’adres­ser auxdits M'* S.ALVTE-BEUVE et LONDOS, et a M» MAUGIN, notaire h Verhéne.

Etude de , , S A M X T K - B E U V E ,

avoué a Sentis.

su r saisie imrhb’b ilu * î\

Art. 3.Étude de M ' B E A U eH A M PS,

BOfairetrBont-Sainte-Maxenee.

A Louer par Adjudication «B la la Vaiti» d» Pont-

- SalBta-Xaxance,• 1*1 11 AOUT 1 9 0 7 ,

"Ù S heures <te relevée, par le.aüdistêre de M* Beavchahps,

BOtîârC(.*Pçnt-Saipté-Maxence,' LES

I M M E U B L E Sci-agçès désignés,

sis audit P u m t-S a in te -M a x e iic eet appartenant à ladite Ville,'

‘ . ' SAVOIR:1* U a T e r r a i n d’une contenance

d’e n v i ^ S a res 85, situé à rouest de l’ rae.Morand., 2 * u lJ C è l j r a in d ’une contenancé

d’e a w jg ta r e s ' 35, situé à i’e.st de , l* d il^ t|m e ..'',s ; ;

3* B Véàe P c rU o n de T ér- ndaf-vue tei qiùti dé là Pècheriè.

Pour -là désignation com(dète, voir les 'affic^'appo>séés dans Pont-

' Sainte-Haxence et les conuntilies ehypcoaiBaotes.

Potte tdus renseignements, da- i f i i ê j r j T ' "

l a v^prétàriat, dç la Maine de Fonlc^mV^’MïiTrààe •

« t u *

! ttû red u eU ieraesraarg és, ‘ 5#Jf ' 9 W

àl ie u d i t le B o is

comprenant :

Belle Méo iÊ c - u r i e

p o u r 3 5 G iiev au x d e C o u rs e s' e t D $ p e n c l a x i 0 9 A.

Cpntensàce : 7.148 mètfës.L’adjudicalion.aura lieu l'é

MARDI 9 0 j lW tL É T i ' 9 ^ ,heure de midi,

à l’audience des criées du Tribunal civil de &nlis, au Palais dé Xus't tice, rue de là République. .

S lise & p r ix 6 0 .0 0 0 f r a n c s .

S’adressier pour les renseigne­ments, à :

!• M' SiA®TE-BEUVÉ, avoué .à Senlis, poijr^ivant là vente ;

2» M' SAVARY, avoué à Sehlis; 3° M° L|OMME, huissier à .créil ; 4“ Au Greffe do Tribulîal.ci’d l de

Senlis, où le cahier des chaînes est déposé. .. -,

_ — it, 4.fJtùUêf,.it.me,heteee, A s jra procédé, pàr te,'tehiisiîire d^ t t ' ‘R 0 I3 X ï camaaissàirà-püséur à” Shnlià, ff la vente aux enchères psJ4iquçp,de

anciea & moderned’ObJcts d’Art, d e B ibelots, d ç 9 T ableaux d e MâlIrc, de Ortâtmres e t de 4 b e lle s p isscr ies d’Aubusson, dépen» dant de là succession dé M. le ba­ron de X... — Pour la désignaiion on consultera les alBchès.,

Études de M« SAHMTÈ-BEUITI,avoué à Seiilis,

et de 3B Pte'T lT, notaire à Senlis.

A . V K M T D A K aux snehérat publlquès,

par suite de conversion de saisie immobilière,

UNE

M A I S O Ns is e b CHiUVTÎlXY,

Quai de la Canarâière,avec D épendances.

L’adjudication aura lieu le D im a n ­c h e 3 8 d u i l le t 1 007i à data; heures de relevée,, en la Mairie de Chandlly, pâr le ministère de M'PetiL notaire à Seùlis, commis à cet effet.S'adresser pour les renseigne­

ments, à : i* M' SAINTE-BEUVE, avoué à

Sèhlis, poiirsnn'ant la' vente ;2 » M' SÀVÀRŸ) avoue à Sentis ;

- 3" M» PETIT, notaire à Sentis, dé­positaire du eahier des eharges.

J S , A D J U O - B Ren l’Étude de H* BALÉZËÂUX,'

notaire à Chantilly,le 8 Juillet 1907, à i hetire 1(2,

SdlXANÎTE-DO UZÉ LO’TS DE

Françaises, Suisses, Italiennes, Au­trichiennes, -Roumaines, Russes et valebics industrielles et linanciëres françaises et étrangères.Mises à prix totales : 30.Q.890 tv

Demander affiches ave.c détails, d p lois et des mises à prix. 556

Études de M *.SAINiTE-BEUyE, avoué a Senlis,

et de ilD P U A S B D IIT , notaire à Crépy-en-Valois.

A y È k B n MS tm tJCOTiLTIOlS

aux è n d ié ^ nàfiUiiee^ en 3 Lot^

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1 kilom. du canal de TOurcq 5 kilom. environ de la gare de

Lizy-sus-Ourcqf■ ■ .UN

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tisseur et un dësagrégeur à . son. Chute d’eau 2"78. Machine à vapëûr d e là forée nominale de 16 chevaux. CoBtenance 1 hect. 27 environ. Cette usiné peut convenir à tinitè espèce d’industrie. Entrée en jouissance au 1 " janvier 1^ 8 .S'adresser pour traiter, à M'I notaire àjÿeaux. " .587

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M A f S C i t N, A .;

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3'aJreséà.£ iL PIONNIER, 1^ w

J J A l î M i t o o j m o x 9èa&8, UTCo. - r,

I. & M* P&i»ïâÀtSe, '

LmjudiETUD8idu

(fEeole de voloaUfre de CIiamin(,

89Îè-i^le €H6è Chempyi lenistère de.JI*

Crépy^DF’V ^ is .'

dLV*<k«ùfl (O la r) .Pris 1m

pour les renseign hide de eut, notBuveoiuA* AM

Réniis AM«!

sent à3P E tà ff i ' fdL

-en-faloié’, des chareesl

Istade deti*Iicettcié ea droHp ftvea

presser à

XtpdedeH UNAT, Botaïqir ’ vftèSSéiî»

S ’uR/jugemeai par .par le ' Z& naal c m l éte peeB% q ■ ^aaee dreShniis, te troi» juillet mR ■CBreëHteept;

tfadàmé Màirie-Ça-(Hné" ,FéBj(r4finimi«-A!iMH

and boulanger, :avec «'.ff'iiofltalaire;

. n t f é ^lai-' 'Iteoiges'. Mdfsûid; tfon

huàteUL' içne,' lààréhàiad ' boulairger B ià Montataîre ;

'D’âofirè' pijri,' . «ftappet* ■ l.N;,:. xî -

. Q|B9liateae:;Paxteaâé’dd^rée .HÎtiàrM qaaot atix teeDS-d’avec, son

- e y j a i f r v t - , V, . . . . i . . . . .Fsur e x i n i t j . .

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Notu n’&vons pas «1 )0 ^ 1 1 0 1 de fonds de comœ^eë à Tendre d’oecasioD. Pour- taiU pami les lectenrs. une personne à le désir de Tendre son commerce, et un antre personne Toâdrmt acheter ce com** merce 4»xa dé bonnes conditions. Or, lies eux personnes qui ont le plus grand intérêt à se'conn'at^re né se rencontrer ront pas, fante de voir on d'écnre k tAgeâiCù ROZlAUe Inerte de Paris, à

n/-en-Yaloù. laquelle, consent de$ ..^nces de câpitanx aiix acquéreurs Ÿéfienz. 10^

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Étude de 11* PETIT, notûre À Senile!

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Étude de M* Fbux LOUAT, notaire A Senlis

place de la Halle, n* 42.

A îowr, HalM B sise1 Senlis, impasse du Tour-de-Vule,

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À vendre à l'amiable, 9 R em ises een tlrâes, avec ^ n d GrcBler: au- dessus; sises A SenMs, me de Meaux, n® 12 bù. — S’adresser à M* Loûat, pptsire.

Etudes de M*'. BEAUCHAMPS ét RICHARD,

notaires à PontTSaiàtc-Maxenee.

Vente aux enchères, à Pont-Sainte- Maxeucc, rue Neure, en la iraadson qu était occupée par M. Desaleux. le Di> maûche 7 Juillet 1907, .A 2 i* i/2 très jnééisei, par-le ministère de M* Beau* chatnps, notaire, d’éMj.ets R.fMUIers<

noitaire à I*rëey-su^-Oise.

Le public -est iofonné que la venté mobilière qui devait être faite à Précyrsur-Oise, le pim<mçhe 7 Juillet e lle Lundi 8 iuillét, en là maison àliQ Villa des Roses, ii’A iira p a s lie n r - 604

A louerg lfa isw t .B#wrare«l«e, nsek Sai^s,, rue des Pigeons-BIancs, n* 12. -•* .Südrèsseç à M* r e t^ .nota Cj.

: : 4 9 v n ^ vu à Umer msuM< *“ - I Vinr

«rec VÂM p i^ .tél ScraMr ou ___ft IC*!P6ât BOiÉM.'

9T ------------------------

Étude de mVG. L0MB0I3, notaire k Précy-sor^Oise.

B*nrgre«ls«« sise k Précy- sur-Oièè, rue de Gorée; à vendre par a^üdfêation publique et volontaire, à Pmj-sur-Oise, en l’Etude de M* Lom­bes» n6 t|ûre, le;Mardi 9 Juillet 1907, à deux heures de rèleyée, par le ministère de M* Lombois, notaire.

Étui9d<

da MVkPOBl

BKtiXSDt

ÉalÉTi, svec-JàréfiB ét S JMlèetti dakX ans e t Malf* sis. eomiltaae et tttnMr de RbbwtaL' à vShdte k l’i-

■— S’adresser k M* Rla^vd»

. .-vendre 3e' gré k gré. P ro p rié té '

rines 10.72 op. c., entourée de m^rs.

0ft3O-p*Ç

oFHHÜfè;

%A CHANITILLY,

plaécfXtia^aÿiet rue de Gonvieuxj 6 .,

''Vnfdi, en-l^ M éw 8 tlëB éWte8 <te-Tribuniil civil da.i . __

; ,de JuMice de ladite ville, rue la Répobliquq,. . ,'5. i -vfv

•B s e A p r ix t 3 7 .6 1 6 frmM .Bi't

Pour les renseigneasentt f Pê- dresser :

24 A M* MOBAND,’iTOùé'à S en l^* Rfl5sent .àte''V^ite I , 1

A l9 ':M Ù Ç N iï,, ntrtsïré i

Bleag’am éé'.

S’kdrêMer- '% M’. CL ^àenffUdu ^

-7

comp'rMkadk T tnaison de maître, Nuit pièc^ <bux; insçD^des, eu^ne, c^~- mni^ rjeœii s 'b.uând'àriê, ba$sêl-cç^> jar£u' •d’iigTêfeent.'et KàTM po-

' '.i;^:S’ddresser, jpdar'-^^iier i. -iiTBiet liai èiitrei È eimpi -de maçonnerie ik‘.IOea^ae< et peur :tbûter k M* De-

fe. 'MÈlAkéàirV lse k ambâ'u^. 'n* 8.' —,éiggttg wé'^dkii^rtmb3f&g\ V. j8.

S'adrésser k M* Deiauaa7 ,Tâotsir^ .

•CA M. 0.i-GAi»ISlRD, A

dans vRle impôrtaate de fQise., ' ,B ^ x

eUiéiitéte-eP. iravtmçsmeour(,j

nâtèiV'ito’iDfp' î lo û a i iti

/eb.ptotocoâlâé^ iue aoA ^ Bm , -gai, eiubâfère, j|ar-

dirâiia atramiist -

au et

[SOB'k __,^cdm-.

<m.ièU.jttfll<r "^Fértév notaire,

■OhiuiiJ.- îi *

MÉMÊ Éirucæ

stÿ w .« êê iâ JtoiâlB blép é» cîos de m e ^ sitnJè k Sàrrda; V à"'véndrr^'udtrattoxk,'éü'TAtâde et p ^ Je

Édmood.Bipharq, sor ' PoÂt-Bainté kfixcnce; le Dî-

faé-2d J$mè( IW , A dîner heures êt je iM-<£s ' reléT4iqi . -I ' ' . ' - .. iÊÊ0ÈÊfÊiéÊm

A^dé' de M* lifÀUGÔI; netairé ■ k Verbéàs fOise).

beriâ,- avec, turbine d’une force de Vf'O Æ B ^ tT -dî . de

the 'n mèbrës de là ;dè:!1 ré » é r^ ’A. fendff 0» é.wujsr

*r M|dson'd’ bitntio%m'> tès^ , . tcavûUaqt, Tastés bâtiments, haùgar, chantiers et temihs. —' S'adr. au notûre j>par toqs remscigqemeate «t pcrar . t^ te r . r- Grandes ucD-tês de

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BeUè - P ro p rié té • dite VtUa dee k Yerberî^ avenue

.de .Gpmpiègne, n*. 20, çoiqi^^o&nt : maison d^abitalion; éeutié.' remisé, jar­din d'agrément, jardin potager, d’ube .OOEdnnaoCe de 2 ;2 0 0 mè^e^ à- vendre par kdjô^àtion, te Dimanrhé 7 Juillet' 1907, k déu^.béures de reTerée, k Ver- berîeà en- l’Btude et par le ministère dé M* ^ 9 ^ 5 notaire.

« S k R tT P bR

Adjudication, le Jeudi 18 Juillet 19Ti7, k deux heures de relevé, par Te ministère de M* Desable, notaire, d’une P rop rié té , située k C^eil, rue Saint- Gricq-Casaux, n* 7..

Etude de M* QUENTIBR, notûre à Ouflibly (Oise).

A vendre ou à louèr imé propriétéappelée le IfiAtUn nvefa ^ lû e k.Chapt- bfy (Oisû, sur la ‘route n^ionale de Paris k Calais. — S’adresser k M*Qoen tiàr, notûre.

Étude de M* Jülbs . ROBERT, notaire k Baron (Oise). .

A vendre k l’amiable, n e Selpop, sisrÀ Moatlognott, et divénee Piiocs de Tèrre, Prd et Soü, sises tiro irs de Baron et M< ntlofirnon. — S^adrèssêr k M* Roberii.notûre k B»roa«

Etudes de M" MEZIÉRE. notaire k Betr, et de M* THIROUIN, notaire

à Acj-en-Mulüen.

Adjudication volontaire, en la Maison d’Ecole de^' Garçons dë Thnry-en-Va- ’ois, par le ministère de M*‘ Mézîère et Thirouin; notaires, le Dimanche 21 Juil­let -1907 *k deux heures, de divers Immenliles t’is communes de Boul- larre,-Authcttil-en-Valois et Thtmy-en- Yalots, en hatnre dë prés plantés terres et bois, appartenant k M*' veuTe' Col- lîaet et aux enfants de M.; Gollinet. — Entrée en jouissance de .suite. — Pour tons renseignements, s'adresser aux no- tmres.

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k Senlis, demande u ii a p p r e u t i a s s e z fo rt» s'os

JH$T, M. C4RRE, épicier à Senlis,, demande u n a p p re n ti» 383

i|^**On demande des o u v r ie r s m é c a iü ç ie a s cfaet M. YEGEltéltl^, constriïëteur- méennicien, avenue Bèauséjour, k Crépÿ - en - Valois (Oise).- 424

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Paris.

Étude de M* FERRY, notaire notaire k Béthisy-Saint-Pierre.

Récoltes en B lé vt .AtoIbo, àfaire sur 37 parcelle^ sises, terroirs de MorienviU et Fresnr> j-la-Rîvièrë, conte­nant '3 hectares 95 ares ^ centiares, à Vendre par adiudicàti(m volontaire, k Fresnpy-lâ-Rtvière, en la Mairie de cette commune, le Dimanûie juillet 1907, k une heure, par lé ministère de M* Ferry, notaire.

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'Étiïdés dé M* DBSABIE notairè k‘O*^-(0ise),

ét de M* LAINE, notaire k Tierzon . ■ ■ (Çherj.

A viènCdre i ruèiâisle; en totalité on ûtôée k

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>. M.* BALE ;^ .a o ta irek Çhimi

publique

}isT>lfflandi«7 iuiUdt 1907

me;| v(ërr<Âa de <ioû^nxet Btéqy-sar-;yr..'

Aiadè de M« D|SABPL notûrt.. . k (Oise)^ ,

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