MERYL STREEP SHIRLEY MACLAINE NUIT LA...

Post on 12-Oct-2020

1 views 0 download

Transcript of MERYL STREEP SHIRLEY MACLAINE NUIT LA...

D-2 LES ARTS ET SPECTACLES Quebec, Le Soleil, samedi 29 septembre 1990

' itterature

Automne Maillet... (suite de la page precedente)

l'enfant qui grandit, et peut-être aussi dans celui de Nounours, son pendant chez les ours. Sauf qu'en- core une fois, l’auteure n’a jamais eu l’intention de transposer des humains aux ours ou vice-versa, bien qu elle constate, apres coup, qu'on puisse aboutir a cette inter-pretation. Ce qu’elle a voulu, c’est

vraiment se mettre « dans la peau de l’ours ».

Apres La Sagouine et Les Cras-seux, ne restaient plus, en effet, que les animaux et, au plus bas dans l’echelle, l’Oursagénaire qui radote. Mais, attention, d’apres la théorie de Bergson, que l’auteure a appris à faire sienne, chacun porte en soi « un petit reste » qui

lui permet de se grandir. C’est ain-si que les animaux, les ours no-tamment qu'il lui est arrivé de croiser sur la route entre Chatham et Edmunston, a certains niveaux nous dépassent. Tout comme cet-te Ozite, une quasi-centenaire qui sort tout a fait de l’ordinaire. Sans préjugés

Faut dire aussi que des cente-

naires, Antonine Maillet se vante d’en avoir connu plusieurs dans sa vie, a commencer par cette amie de 108 ans, qui est « tombée parce qu elle s’est accrochée dans ses bottes. Elle s’est cassée une han-che ; ils l’ont opérée et elle a re-marche. Mais elle est retombée. Et la, on ne sait pas. » Cette femme n'a pas pour autant perdu le sens de l'humour A cet âge. ce sont les préjugés qui tombent, constate la romancière. Et parce

qu’il y a connivence avec la natu-re, il devient possible de commu-niquer au-dela de la raison

Science-fiction que tout cela ? Pas du tout. 11 n’y a qu'a regarder les enfants qui parlent a leur chien ou a leur chat, et on a l’impression qu’il répond C’est l’autre âge de la vie qui est sans bameres et qui, de ce fait, « fascine » Antonine Maillet, sans oublier les pauvres, La Sagouine sur sa « chaise a rou-lettes », comme on dit en Acadie.

■ Léo Ferré en spectacle

L’heure de tombée pour l’édition du samedi ne permettant pas la publication de la critique du spectacle de Léo Ferre au Grand Theatre, le texte sera publié dans notre édition de demain.

, COMPETITION

C OFFICIELLE %

FESTIVAL DES FILMS /: -- OU MONDE 1990 '

NUITD'ÉTÉ EN VILLE

»

JEAN-HUGUES ANGLADE MARIE TRINTIGNANT

MERYL STREEP SHIRLEY MACLAINE“

UNE RÉALISATION ÉLECTRISANTE. DIGNE D’UN OSCAR.

— Bruce Williamson, PLAYBOY

AUDACE, AUDACE UNE NUIT,

UN COUPLE

“Un dialogue magnifiquement

tourné... d’une

intelligencerare...

- Huguette Roberge LA PRESSE

DENNIS QUAID

©

LA COMÉDIE#!Attila le Hun. Ivan le Terrible. Al Capone.

Ils ont tous déjà eu sept ans." 11 sur 10 !

VERSION ORIGINALE ANGLAISE

mctovounut w ow | c o upo ns «.usa

" Ce gamin m a fait faire des cauchemars !" - Freddy Krueger

Ce gamin est un vrai petit

monstre !" - Frankenstein

© ûf

HeartVERSION ORIGINALE ANGLAIS!

" J'aimerais bien qu'il soit mon fils." - Darth Vader

" Deux fois bravo !"

- Captain Hook

LI PARISPLACE OYOUViUE 894 0191

UN FILM DE

MICHEL DEVILLELE PARIS

PLACE 0 YOUVILLE 894 069

DUPONT £T B0UL CHAREST 529 9MSSH1-F( T1( >N OFFK.fKl LË. ('ANIMES l^X)

Le film est si beau, si ouvert que chacun

peut y trouver sa morale laïque et spirituelle.

LE QUOTIDIEN DE PARIS

JULIAN SANDS dans un film de PAOLO ET VITTORIO

TAVLANICHARLOTTEGAINSBOÜRG

NASTASSJA KINSKI

U GN-E-S- A I-N-T-êR-DJT-ëS*

VERSION FRANÇAISE DE

©

DEATH WARRANT

MAlOf ILM DISTRIBUTION

3. SEM gj*J

EN VERSION FRANÇAISE

CINtMA LI00 CINÉMA ST-CEORCESGlLESItSHOND POINT Lf VIS 137 0234 ST GEOPGES 0t BEÂuCE 221'540

MON

CINÉMA LIO0 CINÉMA ST-CEORCESGAl EB'ES ROND POINT LEVIS 837 0234 ^•É|Pr ST GEORGES DE BEAUCE 228 7S4C

LE SOLEILMÊME

LA NUIT

—^^T^rrCIITil MEILLEUR ACTEUR

MEILLEURE PHOTOGRAPHIE

CINÉMA LIDOLER IES ROND POINT l EViS 837-0234

&. PLACE CNARESTDliP0NT ET 80UL CH4PES7 S29 S74S

COUPONS ET LAISSEZ-PASSER REPOSES

" LE MEILLEUR THRILLER DEPUIS FATAL ATTRACTION lUn chef d'oeuvre orchestré avec brio et interprète d'une façon magistrale qui se classe parmi les meilleurs films de I' année,"• Jim Whaley. PBS CINEMA SHOWCASE

58 MINUTES POUR VIVRE

VERSION FRANÇAISE DE

@ HARD 2I ■ III 11111 I ■■

DUPONT ET BQUL CHAREST 529 9745 |

4

AFFICHE:

™r<s>LE

VERSION FRANÇAISE DE

" UNSUSPENSE INGÉNIEUX

ETFOUGUEUX.C est du pur Hitchcock... ça vous envoûte et vous secoue. Michael Keaton vous donnera des frissons."

Peter Tr.uers ROLLING STONE

MELANIE GRIFFITH

MATTHEW MODINE

MICHAEL KEATONUn film de John Schlesinger

MK HH» RIM *. DKANCim : «.«o.- - - - - - - - - -

MELAME GRIFFITH ÏAÏÏHEW.WOKE«WCHAELKEATDN *’*ot*’"PATIFIf HEIGHTS Ml LATRIE Al ETIALF’'HANS ZI AWES “M WARNER ^-.A.AIIl! AK 01 ’"^NEILSPIS.AK r-*.-DENNIS-RINES Tl’'• G.ARÏBARBER. DAVIDNKLS.AÏ l«rMAffiSGMINS«

JOERDTH’ ïlWilEPANE"’-SOiïTRCDINJILLIAAIS.VIHEIAI 'ïJOHNSCHLESINGEÎO

mm m a -, m mmm j o hn r is mm crnu)1 m mmv GOODMAN t 0. BRIMR W'^C0ÏÏ AllfiDER i [ARRï■Mm#■■0■■■ CJ"] aaw-

LtSGALE»l£SC»N4SDIÉBf 661 «5751

DUPON^ ET BOUL CHAREST 529-9745 G4LEPIES POND POINT iCviS «37 0234 UNIVERSAL

CINtMASClNH^^DFON

HARRISON F ORD

Cert*in«t personnes tueY«*ent par amour

J’ R I si MLINNOCÉN1

V(9$lON PtANÇâlSI Df

PRHMItllWiiOM

- PRIX DU FILM LE PLUS POPULAIRE -

QUÉBEC - SEATTLE - DEAUVILLE

LA SENSATION EN EUROPE ET EN AMERIQUE

PUMP UP..: EST AU SOMMET DU HIT-PARADE DU 14e FFM:C EST LE TALK OF THE TOWN DE NEW YORK A MONTREAL /"- Leonce Gaudreault, LE SOLEIL

“ UN FILM JEUNE,NOUVEAU.ACTUEL AUDACIEUX.C'EST UNE DOSE MASSIVE D'ÉNERGIE.À VOIR SANS FAUTE!’p- Denise Martel. JOURNAL DE QUEBEC

& PLACÉCNARCSTDUPONT IT.OUL CHA.Ijr S2.974S I

S CHICOUTIMIPlâCI DUPOYâuMt

LE MRISPlâCI OYOUVtUl 894 0i91

" UN DEBUT DE CARRIÈRECINÉMATOGRAPHIQUE DES PLUS CHARMEURS ET PROMETTEURS POUR SAMANTHA MATHIS."- David Edelstein, NEW YORK POST

FnjiviR» u

EN VERSION FRANÇAISEnsimw ïfnw’iiEWM rasmp^inmjr

rtf «p-'O mw*A' v' ûwiF'- w-ar r x t *.-X -qF f NEW UNf rlYRIU|

mc a m

CINÉMA IT-CÉONCCS I ALMAST GIOPGIS Of BfâuCf 221 7S«0 CONPiflf J GâGNONl

A. PLACE CNARESTOUPO-.TfTBOUl CNâMST 529 9745

r k